Le Paris des Merveilles: Les Enchantements d’Ambremer, tome 2

Un mage établi dans la bonne société, une aventurière et ses acolytes plus ou moins truands, une série de meurtres aux connotations occultes et des artefacts disparus. Le deuxième tome des Enchantements d’Ambremer, adaptation en bande dessinée des romans du même nom, va conclure l’aventure en apothéose.

L’histoire commence avec un Griffont – le mage – un peu cassé, ramené à son domicile par Isabel de Saint-Gil – l’aventurière, et accessoirement son épouse (mais c’est compliqué). L’affaire, déjà complexe au départ, ne se simplifie pas, surtout quand la police, puis la cour d’Ambremer – le royaume féérique – s’en mêlent. Surtout quand les enjeux s’avèrent impliquer un secret millénaire qui pourrait redessiner certaines alliances.

Conclusion oblige, ce deuxième tome des Enchantements d’Ambremer est pas mal plus mouvementé, avec pas mal de scènes d’actions bien remuantes. Il prend cependant de montrer au lecteur certains aspects particuliers du Paris des Merveilles, mais aussi d’explorer les relations entre Griffont et Isabel. Et… disons que c’est gratiné.

Par rapport au tome précédent, je n’ai rien de plus à ajouter sur le dessin de Willem. C’est solide et ça sert bien l’histoire. Et avec Pierre Pevel lui-même au scénario, l’adaptation est franchement fidèle au roman. Et au final, l’impression positive du premier tome des Enchantements d’Ambrer se confirme dans ce second volume, qui annonce d’ailleurs l’adaptation des deux autres romans.

Et c’est donc une bonne nouvelle.

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