Il y a des albums dont on sait, à lire le titre, que ça ne va pas être joyeux, comme ce Tristitiam et Metis Tradam Portrare Ventis, de Philippe Blache.
Kaos, série qui transpose les mythes grecs dans une uchronie contemporaine et surréaliste, pourrait se résumer par « Zeus se découvre une ride et il le prend très mal ».
C’est précédemment d’une réputation très flatteuse de plusieurs critiques prog que The Passing, de Jacob Roberge, a atterri dans ma liste de lecture musicale.
Une scientifique et un pilote testent une nouvelle technologie sur un avion contemporain et… se retrouvent en 1917. C’est le point de départ des Ailes du Temps.
C’est toujours avec un plaisir non dissimulé que l’on retrouve Murderbot, le cyborg misanthrope, cette fois au format roman dans Network Effect, de Martha Wells.
Et on continue la série des bilans mensuels création et mécénat avec celui de février 2025. Qui, en théorie, devrait être un mois court, sauf qu’en fait, pas vraiment.
La doctoresse Mensah a été capturée par une corpo sur laquelle enquête Murderbot. Et, comme son nom l’indique, Exit Strategy, de Martha Wells, va impliquer une extraction.
Cet EP, Hidden Place de We Left in June, propose quelques éléments originaux dans le petit monde du post-rock. Du coup, j’ai eu envie de m’étendre un peu.
Ancillary Mercy, contient des combats spatiaux, un empereur fou, des extra-terrestres, des intelligences artificielles. Et des services à thé, parce que c’est le Radch.
Sur une planète isolée, quatre enfants tombent sur un antique vaisseau spatial. Ainsi commence Skeleton Crew, série en huit épisodes dans l’univers de Star Wars.
Une fois admis que la trilogie Imperial Radch d’Ann Leckie, dont Ancillary Sword est deuxième tome, n’est pas exactement du space-opéra, ça va mieux.
Le post-rock et moi, c’est compliqué. Oui, parce qu’au cas où vous ne l’auriez pas deviné, je vous confirme que you, Infinite est du post-rock.
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