Paris, 1633: son roi, son cardinal, ses mousquetaires, ses duellistes. Et, dans l’univers de la bande dessinée Gueule-de-cuir, son Zodiaque du Diable.
Un mage, une aventurière et ses acolytes plus ou moins truands, des artefacts disparus. C’est le deuxième tome des Enchantements d’Ambremer.
Paris, 1909: dans le Paris des Merveilles, la vie suit son cours. Mais dans le premier tome des Enchantements d’Ambremer, cela ne va pas durer.
Pour Les Artilleuses, on ne peut pas dire que le précédent tome se soit terminé de façon optimale. Le Secret de l’Elfe conclut cette trilogie steampunk.
Nouvelle anthologie dans le monde imaginé par Pierre Pevel, Malfaiteurs du Paris des Merveilles s’intéresse au côté le plus punk du steampunk.
Et voici des Artilleuses, le retour du trio de bande dessinée qui, dans le Paris des Merveilles, ajoute la fragrance de cordite à l’élégance parisienne!
Un braquage dans une banque parisienne, un objet mystérieux, le Paris des Merveilles et un trio féminin qui fait des trous partout, Les Artilleuses.
Vous savez déjà tout le bien que je pense du Paris des Merveilles, de Pierre Pevel. Je me suis jeté sur ces six Contes et récits du Paris des Merveilles.
Si je devais résumer en une phrase L’Héritage de Richelieu, je dirais « Les Lames du Cardinal, vingt ans après ». En effet, il s’agit là d’une suite officielle, signée Philippe Auribeau, de la trilogie de cape et d’épée de Pierre Pevel.
Pierre Pevel est à l’origine d’une de mes grandes frustrations littéraires et de sa résolution heureuse, avec la parution récente des trois volumes du Paris des Merveilles. En effet, après avoir lu et apprécié Les Enchantements d’Ambremer, il y a quelques années, je n’avais jamais pu mettre la main sur sa suite, L’Elixir d’Oubli. Et c’est donc ces deux ouvrages qui ont été réédités chez Bragelonne, enrichis d’un troisième, Le Royaume Immobile.
Je ne sais plus exactement qui m’a vendu les Chimériades comme la convention à ne pas rater, mais qu’il en soit mille fois remercié. Sise dans le Château de Buoux, une demeure bâtie entre le XVIe et le XVIIIe siècle entre Apt et Marseille, dans ce qui est maintenant le parc du Lubéron, c’est une expérience!
Il m’a fallu un peu de temps avant d’appréhender la trilogie de romans de Pierre Pevel connue sous le nom de Les Lames du Cardinal. Ce n’est pas vraiment ma faute (OK, si : un peu), mais je me méfie des pastiches et des pavés.
Il y a quelques semaines, j’étais tombé, en librairie, sur ce petit bouquin qu’est Les enchantements d’Ambremer, signé Pierre Pevel, dont la quatrième de couverture avait alléché le fan de Castle Falkenstein qui sommeille (que d’un œil) en moi. J’ai fini par l’acheter et le lire en quelques heures et je ne regrette pas l’investissement modique.
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