“La Tour de Babylone”, de Ted Chiang

"La Tour de Babylone", de Ted Chiang

Je ne lis pas souvent des traductions. Là, il se trouve que je cherchais quelque chose en petit format pour lire dans le bus et que je suis tombé, dans notre bibliothèque, sur La Tour de Babylone, un recueil de nouvelles de Ted Chiang que mon épouse avait acheté il y a quelques temps. Il est sorti en anglais en 2003 et en 2006 en version française (et 2010 pour l’édition poche que j’ai lue).

“Friponnes”, d’Étienne Bar

"Friponnes", d'Étienne Bar

J’avais annoncé une pause, mais j’ai quand même fini par venir à Friponnes, ce troisième bouquin se déroulant dans l’univers des Folandes, créé par Étienne Bar. Friponnes est un recueil de nouvelles qui se déroulent avant les intrigues des deux romans, une sorte de préquelle (mais avec moins de danseuses pestiférées).

“Un tremplin pour l’utopie”

"Un tremplin pour l'utopie"

L’utopie – pas l’uchronie ni la dystopie – est un genre peu à la mode. Ça peut se comprendre: ne dit-on pas que les gens heureux n’ont pas d’histoire? En tant qu’historien, j’aurais tendance à ricaner et, en tant qu’auteur, un peu aussi. Et ce petit recueil de nouvelles intitulé Un tremplin pour l’utopie est là pour me donner tort.

“L’homme qui vendit la Lune”, de Robert Heinlein

"L'homme qui vendit la Lune", de Robert Heinlein

Le truc amusant, quand on se plonge dans certains auteurs dits “classiques” qui ont écrits à peu près à la même époque, c’est qu’on peut comparer les styles. Après avoir vu le premier tome de Fondation récemment, je me suis attaqué à L’homme qui vendit la Lune, de Robert Heinlein, un autre géant de la science-fiction des années 1940-1950.