Après avoir résolu l’énigme de l’épisode précédent, Enola Holmes, se lance à son tour, au début de ce Enola Homes 2, dans une carrière de détective conseil.
Enola a une famille bizarre: père décédé, deux frères caractériels et une mère géniale. Lorsqu’elle disparaît, Enola Holmes part à sa recherche.
Dans “Sherlock Holmes and the Vampires of Eternity”, de Brian Stableford, nous avons Sherlock Holmes, des vampires, l’éternité, mais pas que.
Paris, 1889: Tour Eiffel, spirites, assassins fantômes et superscience. C’est l’univers de la bande dessinée Naissance du Tigre.
Dans Le secret des Enfants-Rouges, de Claude Izner, le libraire Victor Legris s’embarque pour une enquête dans le Paris populaire de 1892.
Carnival Row, c’est une série télé de huit épisodes que je le qualifierais de « steampunk avec plus de punk que de steam ».
À Octogônes, j’ai croisé l’auteur uchroniste Sébastien Capelle et je lui ai pris La Pierre de la Victoire, une nouvelle qui se situe pendant la Commune de Paris.
En cette année 1878, dans la ville (fictive) de Rapid City – quelque part dans le nord-ouest de ce qui n’est pas encore les États-Unis – vit Karen Memery, l’héroïne quasi-éponyme du roman d’Elizabeth Bear Karen Memory.
Je crois avoir déjà mentionné une fois ou trouze mille que je ne suis vraiment pas un fan des vampires. Pourtant, je me suis lancé dans la lecture de Anno Dracula, de Kim Newman, après avoir lu son Moriarty. J’avoue… Continue Reading →
Vous connaissez l’histoire: un génie et son ami, associé et biographe qui partagent une colocation dans une pension tenue par une charmante vieille dame, dans le Londres de la fin du XIXe siècle. Eh bien Professor Moriarty, de Kim Newman, reprend et retourne l’histoire en la regardant par l’œil de l’antagoniste.
À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, un policier nommé Ragon résout des enquêtes par la seule force de sa connaissance des livres et de la littérature. Il consigne ses notes dans des petits carnets que lui avait offerts son épouse, des Feuillets de cuivre qui donnent son nom à l’ouvrage de Fabien Clavel que j’ai lu récemment avec grand plaisir.
Après une excellente première saison, la série américano-britannique Penny Dreadful revient pour une deuxième dose d’horreur gothique dans un Londres victorien du plus bel effet. Retour gagnant? Oui et non.
Jack of All Trades est une série télé assez ancienne (une quinzaine d’années) qui était passée sous mon radar avant que Ghislain ne m’aiguille dessus au hasard d’une conversation sur la carrière de Bruce Campbell et sur les inspirations Feng Shui.
Que peut bien réunir, dans le Londres de la fin du XIXe siècle, une jeune fille de bonne famille, un gentleman explorateur et son serviteur africain, un médecin-légiste et un as de la gâchette américain? Des histoires horribles, bien entendu, les fameux Penny Dreadful, fascicules dégoulinant d’hémoglobine qui donnent son nom à cette série courte (huit épisodes d’une heure).
Quatrième tome en date de la série steampunk “Clockwork Century” de Cherie Priest (le dernier, Fiddlehead, vient de sortir), The Inexplicables nous ramène sur les lieux du premier roman, Boneshaker: Seattle, sa cité emmurée, son gaz mortel et ses zombies.
Je dirais bien qu’avec Ganymede, quatrième tome de la série steampunk Clockwork Century de Cherie Priest, je continue sur ma lancée, mais je les ai un peu lus dans le désordre. Ganymede fait donc suite à Dreadnought, encore que “suite” n’est pas le terme le plus approprié: le contexte est le même et certains personnages réapparaissent, mais ce tome peut très bien se lire indépendamment.
C’est l’histoire de Mariolle, qui est un sacré gaillard, et de Gaillard, qui est un sacré mariolle. Ainsi pourrais-je résumer l’intrigue de ce troisième tome de la série L’homme de l’année, tome consacré à l’année 1815 et à celui qui proféra la fameuse injure à la bataille de Waterloo.
Clementine est chronologiquement le deuxième volume de la série de romans steampunk signée Cherie Priest, série intitulée “Clockwork Century”. Comme je suis un génie, je l’ai lu après le troisième, Dreadnought, mais ce n’est pas très grave: s’il fait parfois référence à des éléments du précédent, Boneshaker, s’il n’y a rien de critique.
Une infirmière, veuve de frais, se lance dans la traversée du continent nord-américain, toujours secoué par une guerre civile qui dire depuis dix ans; c’est ainsi que l’on pourrait résumer Dreadnought, de Cherie Priest. Ce roman, qui peut tout aussi bien se lire de façon indépendante, est en quelque sorte la suite – techniquement, le troisième de la série “Clockwork Century” – de Boneshaker, même si ce n’est pas immédiatement apparent.
Lentement, mais sûrement, je suis en train d’arriver au bout de l’œuvre de Nicolas Bouvier; Les Boissonnas, ouvrage de commande sur une dynastie de photographes genevois, est un des derniers que je n’avais pas encore lus.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑