Et si une mobilisation citoyenne sans précédent en faveur de l’environnement façonnait le XXIe siècle? Fabien Cerutti lui a donné le nom de Terra Humanis.
Pendant la Guerre de Sécession, la rencontre de quatre aventuriers va changer le destin de l’Amérique dans le roman de Stéphane Przybylski, Burning Sky.
Une station spatiale utopique où les multiples cultures peuvent s’y rencontrer. Rossignol, d’Audrey Pleynet, s’intéresse à une femme qui va tout changer.
Comment faire la guerre quand on a connu trois siècles de paix? C’est la question que se posent les protagonistes de Perhaps the Stars, d’Ada Palmer.
The Will to Battle d’Ada Palmer, troisième tome de cette série Terra Ignota, ça doit bien faire trois ans que je l’attends et il est enfin là!
Quand un djinn majeur, se réveille d’un très long sommeil, il ne s’attend pas à être accueilli par un gurkha qui mange des pistaches.
Acadie, novella de Dave Hutchinson, commence pour Duke le lendemain de son anniversaire. Il se réveille avec la gueule de bois et une alerte.
Or donc, après Too Like the Lightning, j’ai attaqué Seven Surrenders, d’Ada Palmer. Oui, je sais que ce n’est pas très malin d’attaquer aussi vite le deuxième volume d’une tétralogie dont le dernier volume n’est pas attendu avant l’année prochaine.
Bon, on connaît tous le slogan: “espace, ultime frontière”; tellement ultime que les producteurs de Star Trek ont relancé la machine – douze ans après la fin de la précédente, Enterprise – avec une nouvelle série, intitulée Discovery.
Je viens de réaliser que Insistence of Vision est le deuxième bouquin de David Brin que je me tape en l’espace d’un mois. C’est Gromovar qui, il y a presque deux ans, en avait fait une critique enthousiaste et qui m’a incité à le commander.
L’utopie – pas l’uchronie ni la dystopie – est un genre peu à la mode. Ça peut se comprendre: ne dit-on pas que les gens heureux n’ont pas d’histoire? En tant qu’historien, j’aurais tendance à ricaner et, en tant qu’auteur, un peu aussi. Et ce petit recueil de nouvelles intitulé Un tremplin pour l’utopie est là pour me donner tort.
Troisième partie de la trilogie “Oméga”, Le Crépuscule des Damnés est également le vingt-et-unième tome de la bande dessinée uchronique Jour J, scénarisée par Jean-Pierre Pécau et Fred Duval, avec une fois de plus Maza au dessin.
Swisstopia est le nom d’un magazine, dont l’édition du 15 septembre 2035 est consultable en ligne sur le site de l’Office fédéral suisse du développement territorial. C’est aussi le nom d’un projet développé par la Haute école du paysage, d’ingénierie et d’architecture de Genève, qui a remporté le concours “Demain, la Suisse?”
Bruno Bellamy a publié récemment une petite bande dessinée, intitulée Romance de Mars, version “arbre mort” retravaillée de planches publiées sur son site, webcomics-staïle.
Comme beaucoup de gens de ma génération (c’est-à-dire dans une tranche d’âge de ±15 ans par rapport à moi) avec qui je discute, j’ai l’impression de plus en plus forte que les partis politiques ne s’adressent pas à moi. Ce qui explique peut-être pourquoi j’ai bêtement oublié de voter aux dernières élections cantonales…
Depuis le temps, vous devez connaître certains de mes réflexes pavloviens. Par exemple, il suffit de dire “bioshock” pour me voir faire comme Ian Fleming: des petits bonds partout. Du coup, l’annonce de la sortie de Bioshock Infinite sur Mac à la fin du mois passé a eu quelques effets délétères sur mon cerveau reptilien. Et sur mon compte en banque, aussi…
Dans la Bulle, seule structure humaine à avoir survécu au Virus, la vie des citoyens est contrôlée par le Processeur. À ce stade de l’évocation de Eternity Incorporated, roman de science-fiction de Raphaël Granier de Cassagnac, deux catégories de lecteurs de ce blog vont sans doute sourire : les joueurs de jeu de rôle, qui y verront une grosse inspiration Paranoïa, et les habitués de la collection Fleuve Noir Anticipation, à qui cela rappellera sans doute (et entre autres) une trilogie de G. Morris sur un thème similaire.
C’est brutal, une utopie qui ne veut pas mourir! Huit ans après la chute de Rapture, la cité sous-marine bâtie par Andrew Ryan pour appuyer ses thèses ultra-individualiste, Bioshock 2 nous renvoie dans cet univers rétro-futuriste déliquescent, cette fois dans la peau d’un Big Daddy, un de ces colosses en scaphandres accompagnées des Petites sœurs.
John Shirley, sur io9.com, propose une vue contrastée de l’avenir avec sa présentation The Next 50 Years: Why I’m Optimistic Because Everything Will Be Terrible.
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