Bioshock Infinite

Depuis le temps, vous devez connaître certains de mes réflexes pavloviens. Par exemple, il suffit de dire “bioshock” pour me voir faire comme Ian Fleming: des petits bonds partout. Du coup, l’annonce de la sortie de Bioshock Infinite sur Mac à la fin du mois passé a eu quelques effets délétères sur mon cerveau reptilien. Et sur mon compte en banque, aussi…

(Note: je vais essayer, autant que faire se peut, de limiter les spoilers, mais il risque quand même d’y en avoir un peu; vous êtes prévenus.)

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Accessoires indispensables du Mac moderne

Ces temps-ci, entre la réinstallation au propre de mon Mac Pro et le plantage du disque dur de mon portable (oui, encore), j’ai eu l’occasion de regarder la pléthore de logiciels installés sur mes machines et faire un peu d’ordre. Ce qui, du coup, me permet de vous proposer un petit panorama des logiciels que je juge indispensable sur mes machines.

Je passerai rapidement sur les suites Microsoft Office et Adobe Creative Suite; ce sont mes outils de travail principaux et, même si je passe plus de temps sur Internet ou Urban Terror, cela reste pour moi des incontournables. Inutile de me parler de leurs équivalents open-source: pour moi, ils s’apparentent à un burin et une plaque de marbre.

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Un Lion dans une cage propre

Pour ceux d’entre vous qui n’ont pas de Macs et/ou qui vivent en ermite loin de tout site d’information, la grande nouvelle de la semaine passée a été l’arrivée de la nouvelle version de MacOS X, surnommée Lion. Bien évidemment, j’ai rapidement fait la mise à jour de mon portable; il est probable que je l’eus faite même si le prix de cette mise à jour n’avait pas été dérisoire (CHF 29), c’est mon côté fanboy.

Pour mon ordi de bureau, j’ai attendu un peu plus longtemps – pour être précis, j’ai attendu que ma commande pour un disque SSD (et son adaptateur pour baie 3.5″) arrive et j’ai procédé à quelque chose que je n’avais plus fait depuis dix ans: une installation au propre. Pour être très précis, mes différentes machines de bureau sous MacOS X, depuis l’antique PowerMac 7500 jusqu’à mon actuel Mac Pro, avaient bénéficié de mises à jour, chaque nouveau système s’installant par-dessus le précédent. Un empilement de huit générations d’OS.

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City of Heroes

Je crois que les jeux vidéos en ligne massivement multijoueurs, ce n’est pas pour moi. Je tire cette conclusion de deux jours à tester City of Heroes, le jeu de superhéros dont la version Mac vient de sortir. Fulgan m’ayant passé un code d’essai de dix jours, j’ai plongé.

Je passe sur les enquiquinements techniques, comme un son qui graillonne, vu que je suppose que c’est dû à ma carte son USB externe. C’est gênant, mais pas rédhibitoire. Non, les deux choses qui me gênent le plus sont l’interface et le style de jeu.

L’interface, d’abord. Hormis le fait que j’ai une longue habitude des jeux de combat Quake-like, qui utilisent les mouvements de souris pour orienter le personnage et que là, je suis obligé d’appuyer sur une touche pour pouvoir voir autour de moi, la perspective de devoir jongler avec un million et doute écrans et commandes différents pour pouvoir avoir le bon combo me gave quelque peu.

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Un jour, mon MacBook Pro viendra…

Il y a des jours où être un FBDM d’Apple, c’est pas évident!

En général, c’est plutôt facile: iPod de 160 Go, Mac Pro huit cœurs avec 2 To de disque, MacOS X 10.5, par exemple, sont des produits pour lesquels la question de l’acquisition s’est à peine posée.

Ces derniers temps, le crève-cœur majeur a été les derniers MacBook Pro. Avec sa coque en aluminium à la finition irréprochable, l’engin est beau et clairement un appeau à Mac-head dans mon genre. À un détail près: l’écran. Brillant. Façon miroir. Avec les reflets qui ne vont pas du tout.

Or donc, hier, Apple, au terme d’un keynote de Macworld 2009 qui a brillé pour son absence d’intérêt autre, a annoncé la sortie de la version 17″ de la bécane. Avec, ô surprise, une option “revêtement anti-reflets”.

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Heisenbug

Il n’y a pas grand-chose de plus frustrant que des problèmes d’informatique. Surtout quand il s’agit de quelque chose qui ressemble à un plantage majeur de disque dur. Surtout quand ça affecte sa machine de travail principale. Surtout quand c’est dans un contexte de travail stressant. À l’étranger. Et surtout quand le problème disparaît lorsque la machine est entre les mains d’un technicien. On appelle ça un heisenbug.

Petit retour en arrière: je suis à Mexico, pour la XVIIe conférence internationale sur le Sida. J’ai été embarqué pour faire la mise en page d’une feuille d’information quotidienne pendant la conférence. Évidemment, pour cela, j’ai pris mon MacBook Pro préféré: deux ans et demi, un caractère de cochon, mais une bonne puissance de calcul et surtout tous les logiciels du graphiste moyen. Et donc, le matin de la mise en page du premier numéro, crash-boum-argh! Pas de démarrage, pas de dossier système, des erreurs disque plein les dents.

Après avoir mis sur pied une solution de repli, à base d’ordi sous Vista en espagnol (double argh!) et de versions démo des logiciels ad hoc, je suis donc allé chez un des spécialistes Mac locaux (avec un interprète, parce que j’arrive à peine à commander une bière en espagnol). Le type allume la machine et tout fonctionne.

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Mon MacBookPro et moi: la vie sur la voie rapide

C’est donc fait: j’ai sauté le pas et acheté un MacBook Pro. Je sais, je suis faible.

Je pourrais bien évidemment avancer l’argument de la performance et de la rentabilité. Seulement, comme toutes les applications professionnelles que j’emploie ne sont pas encore optimisées pour processeur Intel, ça sonne un peu comme un concerto pour pipeau et orchestre.

Cela dit, la machine est belle! J’aimais bien mon vieux “titane”, qu je trouvais quelque part plus élégant que les nouveaux modèles en aluminium, mais souvent geek varie. À preuve, à peine le nouveau monstre déballé, celui-ci avait déjà délogé l’ancienne machine dans mon panthéon personnel des Bécanes Qui En Jettent.

À l’usage, c’est du vrai bonheur: sur les applications optimisées, le “bouncemark” (nombre de rebonds de l’icône dans le dock) est très bas. Sur les autres, c’est un poil plus rapide qu’avec un G4 à 800 MHz (bon, les 2 GB de mémoire aident bien, aussi). L’écran peut aisément éclairer une pièce obscure, les touches du clavier s’illuminent en basse luminosité, l’engin a Wifi et Bluetooth intégrés et un graveur de DVD.

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Le message obligatoire du Mac-addict sur les nouveaux MacTel

Or donc, Apple a annoncé ses nouvelles machines à base de processeurs Intel, avec six mois d’avance. Je ne vais pas m’étaler sur l’étendue de la révolution, d’une part parce que ça n’en est une que pour ceux qui le pensent (ou pour les développeurs; les utilisateurs, eux, ne verront pas grand-chose de nouveau), d’autre part parce que ça fait plus de six mois que l’annonce a été faite. Donc, Intel; vivons avec.

Étant vaguement sur le marché pour un éventuel remplacement de mon TiBook vieillissant, j’ai sérieusement dressé l’oreille à l’annonce des MacBookPro. Outre le fait que le nom est une offense au bon goût, l’idée de mettre mes grosses papattes graisseuses sur un portable bipro avec une carte vidéo de grand malade a aiguisé mon appétit.

Bon, ce ne sera pas pour tout de suite: d’abord parce que les premières machines ne sont pas disponibles avant février, ensuite parce qu’elles ne semblent d’ailleurs pas exactement finalisées non plus, enfin parce que les premiers rapports semblent montrer que, si la technologie est prometteuse, elle n’est pas encore exactement au point — et de toute façon, les applications qui tournent nativement avec les processeurs Intel arrivent au compte-goutte (les autres tournentvia une sorte decouche d’émulation).

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