Protagoniste des Fauteurs d’Ordre, nouvelle de Jean-Philippe Jaworski, le conseiller Praetor travaille avec zèle à la purification du pays.
L’ancien monde a été détruit et les survivants vivent dans une cité tentaculaire où l’État y a le monopole de l’air pur. Bienvenue dans le monde de Air!
Milieu du XXIe siècle. Les riches sont ultra riches, les pauvres ultra pauvres. C’est le point de départ du roman de Vittorio Catani, Le Cinquième Principe.
Ben Larson travaille pour Spiga, une multinationale de l’alimentation. En apparence, c’est un cadre ambitieux et doué. Mais, derrière Ben Larson, il y a Aaron Sloane, ancien réfugié climatique qui a usurpé l’identité d’un membre de l’élite pour retrouver celle qui l’aime. On est en 2074, les corporations dominent un monde ravagé par les crises et le changement climatique, bienvenue dans Incorporated!
En 2045, le monde de Ready Player One n’est pas très riant, c’est pourquoi la plupart des gens, lui préfèrent la réalité virtuelle proposée par OASIS. Son fondateur, James Halliday, est mort cinq ans auparavant et a laissé en héritage une course au trésor qui donnera au vainqueur les clés de cet univers virtuel.
Visiblement, les récits d’anticipation à cinquante ans dans l’avenir sont à la mode. En même temps, ce n’est pas très étonnant. Après Walkaway, voici une bande dessinée française, Résilience, dont le premier tome, Les terres mortes, vient de sortir.
Au hasard de mes divers achats de livres électroniques par Humble Bundle, je me suis retrouvé avec Uglies, de Scott Westerfeld, premier tome d’une série “jeune adulte” qui en compte trois (ou quatre, ça dépend comment on regarde). J’en avais entendu parler à l’époque de sa sortie (2005) comme étant un des meilleurs exemples du genre et, du coup, ça m’a incité à le lire.
Prenez un de mes auteurs préférés, à savoir Charles Stross, une réflexion pessimiste – mais pas forcément irréaliste – sur l’avenir et ajoutez une référence à un texte fondateur d’Internet et vous obtenez A different cluetrain.
Alors que le troisième volet sort ces jours au ciné, séance-rattrappage DVD pour Catching Fire, deuxième épisode de The Hunger Games. Si le premier pouvait ressembler à un remake plus ou moins réussi de Battle Royale, l’originalité de la série transparaît plus clairement avec l’ajout d’une grosse dimension politique dans le monde dystopique post-post-apo de Panem.
This Is How You Die est le second tome de Machine of Death, l’anthologie sur les machines qui prédisent la façon dont les gens vont mourir. Et si le premier était sympathique par ses prémisses et servait à poser l’ambiance, celui-ci se lance plein pot dans le délire.
Dans la série des suites casse-gueule, Homeland, de Cory Doctorow, est la suite de l’excellent Little Brother, un roman jeune adulte dans une Amérique contemporaine douloureusement similaire à notre époque, mais où un attentat terroriste a précipité la ville de San Francisco dans un état de surveillance presque totale.
C’est un hasard qui m’a fait lire, presque en parallèle, Anamnèse de Lady Star et ce Demain, une oasis signé Ayerdhal et, du coup, j’y trouve quelques points communs: de la science-fiction française, une civilisation hypertechnologique dystopique, une certaine réécriture de l’Histoire et l’espoir d’un monde meilleur (ce qui va de pair avec les dystopies, en général; ou alors c’est à se flinguer).
Cette fois-ci, si j’ai reçu pour Nawel les quatre premiers volumes de Judge Dredd, The Complete Case Files, un des monuments de la bande dessinées britannique et de la bande dessinée de science-fiction tout court, on va dire que c’est de la faute au site io9. Et aussi à un certain pote anglais de l’époque du CLIC, dont le nom rime avec “Martin Jennings”, mais que je ne citerai pas ici; il se reconnaîtra.
Il y a des bouquins dont on achève la lecture avec une banane irrépressible ; Ready Player One, premier bouquin de Ernest Cline, est de ceux-ci. On y parle de jeux vidéo, de réalité virtuelle, de passage à l’âge adulte et des années 1980 ; ceci explique sans doute cela.
Ces jours, la planète n’a d’yeux que pour Londres et la collection de jeunes personnes déguisés en panneaux publicitaires sous couvert de sport, événement désigné sous le terme de Jeux olympiques (JO pour les intimes). Je mets le lien officiel rien que pour les embêter, vous verrez pourquoi.
Trois-quarts de siècles après la rébellion de treize districts, la nation de Panem organise chaque année les Hunger Games, un combat à mort opposant vingt-quatre “tributs”, deux jeunes gens entre 12 et 18 ans tirés au sort dans chacun des douze districts survivants.
John Shirley, sur io9.com, propose une vue contrastée de l’avenir avec sa présentation The Next 50 Years: Why I’m Optimistic Because Everything Will Be Terrible.
Et s’il existait une machine, un peu comme comme une unité de test sanguin, qui serait capable de dire comment nous allons mourir? C’est le point de départ de Machine of Death, un recueil de nouvelles.
Le très intéressant article comparant les dystopies d’Aldous Huxley (Le meilleur des mondes) et Georges Orwell (1984), paru aujourd’hui sur le blog de Hugin & Munin, me rappelle furieusement un graffiti lu non loin de l’université de Genève: “Ils ne veulent que notre bien… mais ils ne l’auront pas!”
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