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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag dystopie

« Les Fauteurs d’Ordre », de Jean-Philippe Jaworski

Protagoniste des Fauteurs d’Ordre, nouvelle de Jean-Philippe Jaworski, le conseiller Praetor travaille avec zèle à la purification du pays.

Air: Sous un ciel moins gris, tome 1

L’ancien monde a été détruit et les survivants vivent dans une cité tentaculaire où l’État y a le monopole de l’air pur. Bienvenue dans le monde de Air!

« Le Cinquième Principe », de Vittorio Catani

Milieu du XXIe siècle. Les riches sont ultra riches, les pauvres ultra pauvres. C’est le point de départ du roman de Vittorio Catani, Le Cinquième Principe.

Incorporated, saison 1

Ben Larson travaille pour Spiga, une multinationale de l’alimentation. En apparence, c’est un cadre ambitieux et doué. Mais, derrière Ben Larson, il y a Aaron Sloane, ancien réfugié climatique qui a usurpé l’identité d’un membre de l’élite pour retrouver celle qui l’aime. On est en 2074, les corporations dominent un monde ravagé par les crises et le changement climatique, bienvenue dans Incorporated!

Ready Player One

En 2045, le monde de Ready Player One n’est pas très riant, c’est pourquoi la plupart des gens, lui préfèrent la réalité virtuelle proposée par OASIS. Son fondateur, James Halliday, est mort cinq ans auparavant et a laissé en héritage une course au trésor qui donnera au vainqueur les clés de cet univers virtuel.

Résilience, tome 1: Les terres mortes

Visiblement, les récits d’anticipation à cinquante ans dans l’avenir sont à la mode. En même temps, ce n’est pas très étonnant. Après Walkaway, voici une bande dessinée française, Résilience, dont le premier tome, Les terres mortes, vient de sortir.

“Uglies”, de Scott Westerfeld

Au hasard de mes divers achats de livres électroniques par Humble Bundle, je me suis retrouvé avec Uglies, de Scott Westerfeld, premier tome d’une série “jeune adulte” qui en compte trois (ou quatre, ça dépend comment on regarde). J’en avais entendu parler à l’époque de sa sortie (2005) comme étant un des meilleurs exemples du genre et, du coup, ça m’a incité à le lire.

Dix-neuf thèses pour un avenir de merde

Prenez un de mes auteurs préférés, à savoir Charles Stross, une réflexion pessimiste – mais pas forcément irréaliste – sur l’avenir et ajoutez une référence à un texte fondateur d’Internet et vous obtenez A different cluetrain.

 

The Hunger Games: Catching Fire

Alors que le troisième volet sort ces jours au ciné, séance-rattrappage DVD pour Catching Fire, deuxième épisode de The Hunger Games. Si le premier pouvait ressembler à un remake plus ou moins réussi de Battle Royale, l’originalité de la série transparaît plus clairement avec l’ajout d’une grosse dimension politique dans le monde dystopique post-post-apo de Panem.

This Is How You Die

This Is How You Die est le second tome de Machine of Death, l’anthologie sur les machines qui prédisent la façon dont les gens vont mourir. Et si le premier était sympathique par ses prémisses et servait à poser l’ambiance, celui-ci se lance plein pot dans le délire.

“Homeland”, de Cory Doctorow

Dans la série des suites casse-gueule, Homeland, de Cory Doctorow, est la suite de l’excellent Little Brother, un roman jeune adulte dans une Amérique contemporaine douloureusement similaire à notre époque, mais où un attentat terroriste a précipité la ville de San Francisco dans un état de surveillance presque totale.

Cynthesis: ReEvolution

ReEvolution est un album de métal progressif du groupe américain Cynthesis. Ceux qui suivent attentivement ce blog, et plus particulièrement les pages consacrées au métal progressif (encore que je ne sois pas sûr que le pluriel soit de circonstance pour les désigner), se rappelleront sans doute que j’avais déjà chroniqué un album au nom similaire, puisque celui-ci fait suite à DeEvolution.

“Demain, une oasis”, de Ayerdhal

C’est un hasard qui m’a fait lire, presque en parallèle, Anamnèse de Lady Star et ce Demain, une oasis signé Ayerdhal et, du coup, j’y trouve quelques points communs: de la science-fiction française, une civilisation hypertechnologique dystopique, une certaine réécriture de l’Histoire et l’espoir d’un monde meilleur (ce qui va de pair avec les dystopies, en général; ou alors c’est à se flinguer).

Judge Dredd, The Complete Case Files

Cette fois-ci, si j’ai reçu pour Nawel les quatre premiers volumes de Judge Dredd, The Complete Case Files, un des monuments de la bande dessinées britannique et de la bande dessinée de science-fiction tout court, on va dire que c’est de la faute au site io9. Et aussi à un certain pote anglais de l’époque du CLIC, dont le nom rime avec “Martin Jennings”, mais que je ne citerai pas ici; il se reconnaîtra.

“Ready Player One”, de Ernest Cline

Il y a des bouquins dont on achève la lecture avec une banane irrépressible ; Ready Player One, premier bouquin de Ernest Cline, est de ceux-ci. On y parle de jeux vidéo, de réalité virtuelle, de passage à l’âge adulte et des années 1980 ; ceci explique sans doute cela.

Pourquoi je n’aime pas les Jeux olympiques

Ces jours, la planète n’a d’yeux que pour Londres et la collection de jeunes personnes déguisés en panneaux publicitaires sous couvert de sport, événement désigné sous le terme de Jeux olympiques (JO pour les intimes). Je mets le lien officiel rien que pour les embêter, vous verrez pourquoi.

Trois-quarts de siècles après la rébellion de treize districts, la nation de Panem organise chaque année les Hunger Games, un combat à mort opposant vingt-quatre “tributs”, deux jeunes gens entre 12 et 18 ans tirés au sort dans chacun des douze districts survivants.

Bonne nouvelle: l’avenir est sombre

John Shirley, sur io9.com, propose une vue contrastée de l’avenir avec sa présentation The Next 50 Years: Why I’m Optimistic Because Everything Will Be Terrible.

Machine of Death

Et s’il existait une machine, un peu comme comme une unité de test sanguin, qui serait capable de dire comment nous allons mourir? C’est le point de départ de Machine of Death, un recueil de nouvelles.

Considérations dystopiques comparées

Le très intéressant article comparant les dystopies d’Aldous Huxley (Le meilleur des mondes) et Georges Orwell (1984), paru aujourd’hui sur le blog de Hugin & Munin, me rappelle furieusement un graffiti lu non loin de l’université de Genève: “Ils ne veulent que notre bien… mais ils ne l’auront pas!”

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