MyHouse.WAD, plus qu’un mod, plus qu’un jeu
Vous qui me lisez n’êtes pas trop du genre à penser que le jeu vidéo, c’est un loisir pour décérébrés. Mais avec MyHouse.WAD, on atteint un autre niveau.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Vous qui me lisez n’êtes pas trop du genre à penser que le jeu vidéo, c’est un loisir pour décérébrés. Mais avec MyHouse.WAD, on atteint un autre niveau.
Ça fait plus d’un an que je me suis mis à World of Tanks. Je suis toujours un joueur médiocre, mais je commence à comprendre quelques trucs.
Lors de mon récent billet sur World of Tanks, un commentaire m’a interpelé, qui disait « dans le contexte actuel, je ne me vois pas y jouer du tout ».
Ça va faire six mois que je joue à World of Tanks et je suis un joueur médiocre. Mais aussi, je commence à me demander si je joue trop à ce jeu?
Une streameuse doit faire face à une armée de trolls. Dans le jeu, mais aussi en vrai. C’est le sujet de Don’t Read the Comments, roman signé Eric Smith.
Sur un coup de tête, je me suis récemment mis à World of Tanks, un jeu de combat où on joue des tanks. Qui tirent sur d’autres tanks. Beaucoup de tanks
Guy est un PNJ enthousiaste et optimiste dans le jeu Free City, jusqu’au moment où il rencontre la fille de ses rêves et il devient Free Guy.
Dernier jeu vidéo en date à occuper mes soirées: Slay the Spire. Un jeu « Rogue-like », même s’il fonctionne de façon assez différente.
Ma dernière acquisition vidéoludique est Loop Hero, un rogue-like. Oui, encore. Que voulez-vous: Nethack, Moria, Angband et autres, ça marque un peu…
J’ai longtemps publié plus de vidéos que je n’en regardais. Ce n’est plus le cas, au vu de ma boulimie pour les vidéos sur Hearts of Iron IV.
J’ai récemment commis une erreur tragique: j’ai acheté Crusader Kings III. Pire: j’ai commencé à y jouer. C’est rude. Crusader Kings III, c’est un jeu de grande stratégie signé Paradox, grands spécialistes du genre. Ce sont eux qui, entre autres, développent et éditent la série des Hearts of Iron, sur laquelle j’ai littéralement passé des …
Il y a quelques semaines, je me suis aperçu que le jeu vidéo Borderlands 3 était sorti pour Mac. À partir de ce moment, j’étais perdu pour l’humanité.
Le moins que l’on puisse, c’est que je ne suis pas un grand fan des jeux massivement multijoueurs – oui, les fameux meuporgues qui fascinent tant la jeunesse d’aujourd’hui. Pourtant, j’ai lu avec beaucoup d’intérêt Communities of Play, la thèse d’ethnographie de la chercheuse américaine Celia Pearce, qu’elle co-signe avec Artemesia, son avatar.
En 2045, le monde de Ready Player One n’est pas très riant, c’est pourquoi la plupart des gens, lui préfèrent la réalité virtuelle proposée par OASIS. Son fondateur, James Halliday, est mort cinq ans auparavant et a laissé en héritage une course au trésor qui donnera au vainqueur les clés de cet univers virtuel.
Je sais: je suis faible. Hearts of Iron IV est sorti – le 6 juin, normal – et je l’ai immédiatement acheté sur Steam. Deux semaines plus tard, c’est le moment de faire un premier bilan.
Oui, cette chronique parle du premier jeu vidéo Borderlands, celui sorti en 2009. Comme je suis quelqu’un d’ordonné et de méthodique, je les ai joué dans un ordre bien particulier, déterminé par une raison et une logique très précise.
C’est avec un plaisir non dissimulé (comprendre: une banane visible depuis l’orbite) que j’ai repris le chemin de Pandora. Pas celui d’Avatar, mais plutôt la planète SF/post-apo décalée du jeu vidéo de tir à la première personne Borderlands: The Pre-Sequel qui, comme son nom l’indique, est la suite-qui-se-passe avant de Borderlands 2.
On peut faire du métal avec tout, y compris de la musique de vieux jeux vidéos. C’est ce qu’a compris, en substance, le groupe suédois Machinae Supremacy, qui a même créé son propre style, le “SID metal”, en référence à la puce audio des Commodore 64. C’est même un de leurs principaux instruments, notamment sur leur dernier album, Phantom Shadow.
Le dernier bidule sur lequel je passe trop de temps, aussi appelé “jeu vidéo”, c’est Nuclear Throne, un jeu du développeur indie Vlambeer publié sur Steam, au look pseudo-vintage (gros pixels et résolution en 320×200) et au thème post-apo. On (= quelqu’un sur Casus NO) me l’a vendu comme un Rogue-like et, s’il possède quelques points communs avec ce genre que j’aime bien, il n’a en fait pas grand-chose à voir.
Il est peu probable que vous ayiez pu échapper à la tempête fécale du nom de GamerGate. Je n’ai pas vraiment envie de m’étendre sur le caractère ultra-vomitif de toute cette affaire. Par contre, j’aimerais pointer vers un article du site Popehat, intitulé Ten Short Rants About #GamerGate.