Pendant que les éditions Dupuis préparent leur centenaire, Spirou et Fantasio partent enquêter. Avec un titre comme La Mort de Spirou, ça va mal finir.
Une joueuse perdue dans une univers virtuel y découvre un monde qui ne devrait pas exister, tel est le programme de ce troisième tome de Bolchoi Arena.
Quand commence 88 Names, de Matt Ruff, son protagoniste n’a plus que quatre-vingt huit noms pour des personnages de MMORPG. C’est un problème.
Marje ne s’était pas trop intéressée au Bolchoi, l’univers virtuel. Jusqu’au jour où, emmenée par son amie Dana, elle se lance dans le Bolchoi Arena.
Dans Tomorrow and Tomorrow, de Tom Sweterlitsch, Baxton enquête dans Pittsburgh, détruite par une explosion nucléaire dix ans auparavant.
Ralph Breaks the Internet commence six ans après le précédent opus. Après leurs aventures, Ralph et Vanellope coulent des jours paisibles, au milieu de leurs collègues des bornes d’arcade voisines. Paisible? Peut-être trop paisibles pour Vanellope, qui rêve de changement.
Dans un avenir proche, mais mal défini, la Métaquine est la drogue-miracle, qui booste la productivité des cadres dynamiques, soigne les cyber-addicts, régénère les victimes d’AVC et calme les élèves turbulents. Trop beau pour être de vrai? C’est là tout l’enjeu du roman de François Rouiller.
En 2045, le monde de Ready Player One n’est pas très riant, c’est pourquoi la plupart des gens, lui préfèrent la réalité virtuelle proposée par OASIS. Son fondateur, James Halliday, est mort cinq ans auparavant et a laissé en héritage une course au trésor qui donnera au vainqueur les clés de cet univers virtuel.
Dans un avenir mal défini, mais définitivement cyberpunk et déglingué, Kal vivote de petits boulots à la légalité discutable: piratage informatique, intrusion, intimidation, tout ce qui peut lui rapporter de quoi payer bouffe et médocs. Et, quand son esprit vagabonde, il “commute”, se projetant dans un univers virtuel de fantasy. C’est le point de départ de Les Commutants, roman de Nicolas Alucq.
Lorsque j’ai pris Anamnèse de Lady Star, signé L.L. Kloetzer, je savais déjà que ça n’allait pas être simple – ne serait-ce que pour l’emploi d’un terme comme anamnèse, qu’il m’a fallu chercher sur Wikipédia. Un mot plus simple aurait été moins précis et on peut dire que, dans cet ouvrage, ses quatre définitions s’appliquent.
Fractale (en non-japonais dans le texte) est un de ces animés intéressant par son principe de départ et frustrant par son développement. Il décrit un monde utopique, une terre régie depuis plusieurs siècles par un système informatique (Fractale, donc) créant un environnement illusoire, entre réalité virtuelle et réalité augmentée, mais où l’homme est devenu une créature sans volonté, dont les moindres désirs sont exaucés.
Il y a des bouquins dont on achève la lecture avec une banane irrépressible ; Ready Player One, premier bouquin de Ernest Cline, est de ceux-ci. On y parle de jeux vidéo, de réalité virtuelle, de passage à l’âge adulte et des années 1980 ; ceci explique sans doute cela.
Ce n’est pas excessivement nouveau, mais je viens de voir la démo d’une technologie en cours de développement chez Microsoft (oui, ça veut dire que Microsoft fait du développement; moi aussi, ça m’a surpris). Ça s’appelle Photosynth et l’idée est d’utiliser des photos placées sur des sites publics, comme Flickr, pour recréer en 3D des monuments ou des paysages.
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