Dix ans après le départ des forces de Véga, la Terre voit revenir un nouveau robot-monstre géant et indestructible. Problème: Goldorak n’est plus là.
Cette année, petit changement de programme pour notre traditionnelle escapade cannoise: le samedi, nous avons délaissé le FIJ pour aller voir la convention MAGIC, à Monaco. MAGIC, c’est pour Monaco Anime Game International Conferences; cette édition 2016 était la deuxième de la formule.
Dans un futur proche, où des groupes de personnes dotées de pouvoirs surnaturels et emmenés par des rois dominent en sous-main la vie du Japon, le jeune et insouciant Yoshiro Isana est soudainement le centre de l’attention de deux de ces groupes, qui pensent qu’il est un des rois – et qui plus est, un meurtrier. C’est sur ces prémisses plutôt classiques que commence l’animé K, ou K Project.
Bon, sans aller jusque dire, à l’instar de Fulgan, que Pacific Rim, c’est “Goldorak contre les monstres mutants d’outre-espace”, force est d’avouer que ce blockbuster estival signé Guillermo Del Toro colle assez bien à cette description lapidaire.
À mes yeux de bête occidental à gros nez, les dessins animés japonais ont tendance à soit être très bons sur la forme ou sur le fond; rares sont ceux qui parviennent à être bons en tout et, heureusement, rares également sont ceux qui se plantent partout. Gakutsuou, aussi connu sous le nom de Le Comte de Monte-Cristo, parvient à l’exploit d’être à moitié génial dans les deux catégories – mais également à moitié foiré.
La Sorcière de l’Ouest (sous-titré Astraea’s Testament) est un de ces animés dont on se demande assez régulièrement d’où il veut en venir, de quoi il parle réellement, voire, sérieusement, WTF quoi merde! Quelque part, c’est très japonais dans la tendance au nawak qui ne sait pas trop ce qui se veut.
Fractale (en non-japonais dans le texte) est un de ces animés intéressant par son principe de départ et frustrant par son développement. Il décrit un monde utopique, une terre régie depuis plusieurs siècles par un système informatique (Fractale, donc) créant un environnement illusoire, entre réalité virtuelle et réalité augmentée, mais où l’homme est devenu une créature sans volonté, dont les moindres désirs sont exaucés.
Désolé pour ce hiatus de quelques jours, mais j’étais dans mon élément naturel : la convention de geeks. En effet, cette année, grande première : je me retrouve dans un salon comme la Japan Expo / ComicCon de Paris sans la confuse impression de ne pas être exactement à ma place – outre que d’être aux côtés de mon épouse, s’entend.
Il y a des billets qui, j’en suis certain, renforcent très sérieusement les soupçons de masochisme qui pèsent déjà lourdement sur ma personne. Celui-ci, au sujet de ma visite à Polymanga ce dimanche, en fait certainement partie.
Ce n’est pas sans un certain plaisir adolescent que j’ai découvert Trigun: Badlands Rumble, film récent qui reprend les personnages de l’animé pour une petite heure et demie de délire western/post-apo/science-fiction.
Dans l’animé First Squad, nous suivons un groupe d’adolescents qui combattent des créatures surnaturelles. Standard? Non, russe! Dommage que ça manque de rythme.
Eden of the East, animé en onze épisodes, commence par un jeune homme tout nu qui rencontre une jeune fille (habillée, elle) devant la Maison-Blanche à Washington. Ce n’est pas ce qui s’y passe de plus bizarre.
Je l’ai souvent affirmé: les Japonais ont accès à des psychotropes qu’on ne trouve pas chez nous. C’est une des principales explications que j’ai trouvées pour le scénario tarabiscoté de l’animé Durarara!!
Wakfu, c’est un peu la méga-bonne surprise venue de nulle part. Je veux dire, un dessin animé français aussi enthousiasmant que Gurren Lagann ou Avatar (The Last Airbender, pas le machin bleu – ni le film de Night Shamalamala d’ailleurs), qui l’eût cru?
Hier soir, nous sommes allé voir Suckerpunch. Vous avez vu la bande-annonce, le reste du film est pareil: filles sexy, gros flingues, bastons furieuses et c’est à peu près tout.
Et allez, encore un week-end au milieu des otakus, des cosplayers et autres fans de trucs plus ou moins japonais et autre geekeries assimilées: Isa et moi sommes allé à Marseille ce week-end pour la Japan Expo Sud. Je dois avouer une… Continue Reading →
Je viens de finir une série japonaise pas banale: Chiko, l’héritière de Cent-Visages. Pas banale par ses thèmes, sa construction et la toile de fond historique. Commençons par cette dernière: l’action se déroule dans le Japon des années 1950-1960, pendant… Continue Reading →
Il ne nous aura pas fallu longtemps pour mater le premier anime de l’année 2011. Et s’ils pouvaient tous être comme ce Summer Wars, de Mamoru Hosada (La traversée du temps) ce serait bien. Ce long-métrage me paraît assez typique d’une… Continue Reading →
C’est marrant l’aura que peut avoir une série japonaise comme Ghost in the Shell: Stand Alone Complex auprès de certains fans, qui en ont visiblement retiré qu’une minuscule scène saphique dans le manga et qui fantasment à fond les hormones… Continue Reading →
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