Les Vacances de Jésus et Bouddha, de Hikaru Nakamura, part sur l’idée que Jésus et Bouddha vivent en coloc dans une petite chambre à Tokyo de nos jours.
Marje ne s’était pas trop intéressée au Bolchoi, l’univers virtuel. Jusqu’au jour où, emmenée par son amie Dana, elle se lance dans le Bolchoi Arena.
S’il existe un rendez-vous incontournable de la pop-culture asiatique – animés, manges, cosplay, jeux vidéos, web séries et autres – en Suisse romande, c’est bien Polymanga. Enfin, quand je dis “incontournable”, je n’y vais qu’une année sur deux et encore: pas pendant les quatre jours qu’elle dure. D’ailleurs, cette année, je n’y suis allé que le samedi – pour accompagner ma cosplayeuse d’épouse.
Cette année, petit changement de programme pour notre traditionnelle escapade cannoise: le samedi, nous avons délaissé le FIJ pour aller voir la convention MAGIC, à Monaco. MAGIC, c’est pour Monaco Anime Game International Conferences; cette édition 2016 était la deuxième de la formule.
Imaginez un salon dans lequel se retrouvent les otakus, les fondus du med-fan, les fans de superhéros, les distingués amateurs de steampunk, les auteurs, les joueurs, les cosplayeurs, les amateurs d’informatique et les créateurs de tous poils: c’est Geekopolis. Et c’est bien, mais c’est quand même un peu fatiguant.
Je vous avais déjà parlé de Kairos, bande dessinée d’Ulysse Massagne, à l’occasion de la sortie de sa bande-annonce qui déboîte tout. J’y reviens aujourd’hui après avoir lu le troisième et dernier tome. Et je confirme: ça déboîte tout.
Ce week-end c’était Japan Impact, septième édition de l’autre convention sur la culture japonaise née à l’EPFL. Comme toujours, j’y vais pour accompagner ma dame, grande cosplayeuse devant l’Éternelle, alors que techniquement pas grand-chose ne m’attache à ce genre d’activités.
Or donc, comme vous avez pu le lire hier, j’ai passé une bonne partie de ce week-end pascal à geeker chez les otakus, à savoir à Polymanga, sis au Montreux musique & convention centre – 2m2c pour les intimes. Bon, j’ai surtout joué le photographe officiel de ma cosplayeuse d’épouse, je dois dire.
Erdorin est en retard, mais ces dernières semaines, j’ai été sérieusement accaparé par un autre projet dans l’univers de Tigres Volants, mais, euh… disons, différent.
Un jour, quelqu’un s’est dit “et si je racontais l’histoire d’un architecte de thermes dans la Rome antique qui voyage dans le Japon contemporain chaque fois qu’il tombe dans un bain public?” Ce quelqu’un, c’est la mangaka Mari Yamazaki, auteur de Thermæ Romæ.
Encore un week-end placé sous le signe des geekeries – dans le cas présent, la deuxième convention Destination Tokyo de Sion, qui, comme son nom l’indique, était dédiée aux mangas, aux animés et, de façon plus générale, à la culture japonaise.
Il m’a fallu un petit moment avant de me relancer sur la suite et fin de City Hall, ce manga français steampunk-délire mettant en scène Jules Verne, Arthur Conan Doyle et Amelia Earhart face à un génie criminel masqué, ce dans un monde où le papier est une arme de destruction massive et bannie en tant que telle depuis deux siècles.
Désolé pour ce hiatus de quelques jours, mais j’étais dans mon élément naturel : la convention de geeks. En effet, cette année, grande première : je me retrouve dans un salon comme la Japan Expo / ComicCon de Paris sans la confuse impression de ne pas être exactement à ma place – outre que d’être aux côtés de mon épouse, s’entend.
Londres, juin 1902: un officiel est brutalement assassiné chez lui, semble-t-il par une créature de dix mètres de haut qui a ensuite disparu sans laisser de traces, autre qu’une simple feuille de papier. Simple? Pas vraiment: dans le monde de City Hall, le papier est une arme puissante et interdite, avec laquelle les auteurs talentueux peuvent donner vie à leurs créations.
Il y a des billets qui, j’en suis certain, renforcent très sérieusement les soupçons de masochisme qui pèsent déjà lourdement sur ma personne. Celui-ci, au sujet de ma visite à Polymanga ce dimanche, en fait certainement partie.
J’espérais que le coup d’essai de Mooloozone, l’énormissime Asterix no densetsu paru le mois passé, ne soit pas un billet isolé, mais il semble que le bougre derrière Mooloozone ne lâche pas l’affaire!
L’autre soir, en faisant un peu la poutze dans ma bibliothèque, je suis tombé sur mes trois volumes de la bédé Freaks’ Squeele de Florent Maudoux et je me suis dis que ça faisait longtemps qu’on n’avait pas eu droit… Continue Reading →
Je ne sais pas si le film Scott Pilgrim vs. The World sera bien, mais sa bande-annonce aura en tous cas eu pour effet de me faire acheter l’intégrale de Scott Pilgrim, la bande dessinée du canadien Bryan Lee O’Malley sur laquelle il est basé. Ça et les articles dithyrambiques parus sur divers sites que je fréquente.
En général, quand je parle de quelque chose “à la française”, ça veut souvent dire “en moins bien”, voire “en tout pourri”. Exemples: variété française, série télé française, etc. Il y a fort heureusement des exceptions et la bande dessinée… Continue Reading →
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