Quelques mots sur Cracovie
Or donc, je viens de passer deux semaines à Cracovie, ou peu s’en faut. C’était pour le boulot, du coup, je n’en ai pas vu grand-chose, mais j’en ramène tout de même quelques impressions.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Le n’Alias autour de le monde.
Or donc, je viens de passer deux semaines à Cracovie, ou peu s’en faut. C’était pour le boulot, du coup, je n’en ai pas vu grand-chose, mais j’en ramène tout de même quelques impressions.
À l’heure où vous lirez ces lignes, j’entame ma troisième journée à Berlin pour un séminaire de travail. Ouais, droit derrière OctoGônes.
Nouvelle escapade autour du jeu Via Fabula. Cette fois-ci depuis le col du Mollendruz jusqu’à la Buvette des Croisettes, dans le Jura vaudois.
J’ai été invité par les confrères d’Ars Ludendi pour tester le jeu Via Fabula au cours d’une petite balade entre La Sarraz et Romainmôtier.
À l’origine, il y avait un Plan Génial: retourner à la Japan Expo pour y faire des démos de Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures.
Ah, la Namibie! Le pays des grands espaces et des grands fauves! Ouais, sauf que, quand on passe plus de dix jours enfermé dans un centre de conférence, l’hôtel attenant et, très éventuellement, la capitale à côté, c’est moyen. Bon, à l’hôtel, il y avait des chats un tantinet sauvages, mais ça ne compte pas vraiment. C’est pourquoi je me suis décidé à prendre de suite trois jours de vacances et réserver un petit circuit-safari de trois jours au Parc national d’Etosha, dans le nord du pays.
Pour les ceusses qui me suivent sur les réseaux sociaux – ou, plus simplement, ceux qui ont lu mon billet d’il y a deux semaines, je rentre aujourd’hui de Namibie, après un peu moins de deux semaines de boulot et trois jours de safari. Je ne sais pas trop lequel des deux était le plus fatiguant (mais je vous laisse deviner lequel j’ai envie de refaire).
Bon, les copains, c’est pas pour me vanter, mais depuis ma chambre d’hôtel en Namibie et du haut de mes 36 heures sans dormir, je me sens un peu cassé. Car, je le rappelle pour ceux qui nous ont rejoint – ou qui ont oublié – depuis, ma virée namibienne de février 2016 avait pour but principal de préparer ce voyage-ci.
Escapade traditionnelle de monsieur et madame Alias, deuxième: le Festival international des jeux de Cannes. Comme mentionné hier, nous n’y sommes allé que le dimanche. Et encore, pas longtemps: nous sommes entrés peu après l’ouverture pour en sortir vers 15 h.
Cette année, petit changement de programme pour notre traditionnelle escapade cannoise: le samedi, nous avons délaissé le FIJ pour aller voir la convention MAGIC, à Monaco. MAGIC, c’est pour Monaco Anime Game International Conferences; cette édition 2016 était la deuxième de la formule.
Cette semaine, vous ne m’avez pas beaucoup vu faire le guignol sur les rézosocios et ailleurs, pour cause de déplacement professionnel. Ça ne m’arrive pas très souvent, mais là, pour le coup, ça a un peu rattrapé, vu que je me suis fait expédier en Namibie.
Seconde étape de notre séjour dalmate, Dubrovnik. En arrivant, après les aléas routiers précédemment décrits, j’ai poussé un soupir de soulagement. C’était sans compter le fait que la moitié de la ville semble au bord d’une falaise. Et que l’autre moitié à l’air d’être dans la falaise.
Entre Split et Dubrovnik, il y a deux cent vingt kilomètres. En gros. Soit on le fait en bateau, ça prend environ quatre heures, soit on le fait en bus et ça prend aussi environ quatre heures. Nous avons choisi le bus. Ce n’était peut-être pas l’idée la plus brillante du siècle.
Je ne vous en ai pas parlé avant, parce que je préfère ne pas trop mentionner en public le fait que je suis loin de chez moi, mais je reviens d’une semaine de vacances. Spoiler: c’était bien.
Le monde est rempli d’endroits où je ne suis jamais allé; Toulouse est de ceux-ci. Du coup, mon passage à RPGers coïncidant avec le début de mes vacances, j’ai décidé d’en profiter pour prolonger mon séjour d’un ou deux jours, histoire de découvrir la « ville rose ».
Imaginez un salon dans lequel se retrouvent les otakus, les fondus du med-fan, les fans de superhéros, les distingués amateurs de steampunk, les auteurs, les joueurs, les cosplayeurs, les amateurs d’informatique et les créateurs de tous poils: c’est Geekopolis. Et c’est bien, mais c’est quand même un peu fatiguant.
Quand j’étais môme, il nous est arrivé plusieurs fois de passer des vacances dans le sud de l’Espagne, en Andalousie. Vingt ans plus tard, je découvre, à l’université, l’histoire de la région au travers d’un séminaire sur l’Espagne musulmane; encore vingt ans – ou peu s’en faut – et je cède enfin au désir de redécouvrir ces lieux qui m’avaient si peu intéressés enfant.
Que retenir de dix jours de périples en Andalousie? Beaucoup de photos et encore plus de vues dites imprenables et qui, du coup, sortent très mal en photo. Soit. Mais aussi une myriade de petits détails, d’impressions et d’anecdotes diverses.
Et allez, me voici reparti pour la Belgique et ses fêtes médiévalo-celto-folk, en l’occurrence l’édition 2014 des Anthinoises! Au menu: de la bière, du jeu, de la musique, des costumes, des copains, le tout dans le petit village d’Anthisnes, dans la région de Liège, et son avouerie du XVIIe siècle.
Comme je l’avais mentionné dans mes billets précédents, j’ai passé trois jours à Washington, DC (là-bas, on dit juste “DC”, pour éviter de confondre avec l’état du même nom). Si j’étais méchant, je dirais que sans les mesures de sécurité à l’arrivée, ça aurait été quatre jours, mais ce serait très exagéré: je n’ai attendu qu’une heure et demie dans la file au contrôle des passeports.