Il y a des rendez-vous ludiques qu’il est difficile de manquer – même quand tout conspire contre. OctoGônes, la convention lyonnaise, est de ceux-ci.
J’ai parfois l’impression d’être maudit. Ou très con. Ou les deux. Par exemple en arrivant avec deux heures de retard à la convention La Boîte de Pandoure.
Ce samedi, je reprenais mon bâton de rôliste-pèlerin, direction Sierre pour l’édition 2024 de Poly-Games (c’est leur 25e édition).
À force, on y croyait presque plus. Et pourtant, Orc’idée est revenue en cette année 2022, avec une édition sur le thème des super-héros.
Les étoiles sont alignées, les Grands Anciens sont de retour. Ce Grand Ancien répond au nom indicible de Poly-Games, convention de jeux sise à Sierre.
Et donc, je suis allé à Divinasion, comme chaque ann… Ah, non: l’année passée, je n’y étais pas. Bon, presque toutes les années, alors. Divinasion, c’est donc la conv’ en Sion. Ha! Ha!
Bon, faut quand même que je vous raconte ma virée en Auvergne, la « retraite ludique » dont je vous parlais la semaine passée. À l’origine, l’idée est de Jean-Paul, qui est originaire de la région: il avait appelé ça Le Buron des Joueurs.
En l’an de grâce deux mille et dix-neuf, qu’il soit connu que, sis en les locaux de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne, dans les territoires helvètes, se tint la grande réunion ludique, dite Orc’idée, sous le haut patronage de Son Éminence la Cardinale.
Si on vous demande un jour quelle est la convention de jeu de rôle la plus paumée de Francophonie – les Chimériades étant hors concours, parce que la paumitude fait partie du concept – je vous suggère de mentionner RPGers, surtout si on pose un ratio fréquentation/éloignement.
Back to Cannes! Après une année de pause pour cause de “pas vraiment de chose à dire/montrer/faire” (et, si mes souvenirs sont bons, d’un peu trop de choses à la suite, genre Orc’Idée et Japan Impact), ma dame et moi avons repris le chemin de Cannes et de son Festival international des jeux.
Camarades ludistes, le dernier congrès de notre Internationale a eu lieu à la Maison du Peuple de Monthey, en République socialiste du Valaisistan, et j’ai eu l’honneur d’y représenter les camarades du kolkhoze 2d Sans Faces et ses fières productions!
Bon, donc, c’était la convention annuelle du Dé qu’a dents et c’était cool.
Que dire sur Ludesco que je n’ai déjà écrit. Cette édition de ce festival multijeux sis à La Chaux-de-Fonds est la huitième en date et la cinquième à laquelle je participe et, même si je n’y reste pas très longtemps, je suis toujours impressionné par sa taille – et l’augmentation d’icelle au fil des années – et par l’organisation de l’événement.
Or donc, ce week-end, j’étais encore en convention, à La Horde. La Horde, c’est la convention du coin de la rue. Bon, pas tout à fait, mais elle est à environ trente minutes de chez moi à pieds, ce qui change pas mal des bleds exotiques accessibles avec douze correspondances et des moyens de transport exotiques.
Je peux me tromper, mais il me semble que j’ai participé à toutes les éditions d’Orc’idée depuis sa création en 1992, à la Croix-d’Ouchy. On pourrait dire que c’est devenu une sorte de rituel, une habitude, une routine, mais ce n’est pas mon point de vue.
Allez hop, dernière convention de l’année: on saute dans le train, direction Monthey et la Convention du Dé qu’a Dents. Je rappelle le principe pour ceux qui n’ont pas suivi mes trois derniers billets sur le sujet (quatre si on compte la Convention des Fous): c’est une de ces conventions de club, au rayonnement surtout local ou régional, mais où je vais d’abord parce que c’est la Terre de mes Ancêtres – littéralement, ma grand-mère habitait à deux cents mètres – et parce que j’y ai plein de potes.
On arrive tout doucement vers la fin de la saison des conventions et cette Nuit du Jeu Oniris – vingtième du nom – à Neuchâtel est une des dernières de la région à laquelle je comptais participer. Il reste encore celle de Monthey dans deux semaines.
Les conventions Orc’idée se suivent et ne se ressemblent pas – pour moi, en tout cas. Après l’édition automnale à la Tour-de-Peilz, le retour à l’EPFL, mais en entresol, voici l’édition garantie 100% sans Tigres Volants! Bon, d’accord, j’en ai vendu quelques-uns, mais je n’en ai pas maîtrisé une seule partie – la faute à une actualité ludique quelque peu différente, cette année.
Les conventions de jeu à La Chaux-de-Fonds et moi, c’est une longue histoire. Si Ludesco, dont c’est la septième édition en 2016, est leur dernière incarnation, dans les années nonante, il y avait la Chazam – qui avait le bon goût de se dérouler en août, pas sous des mètres cube de neige.
Escapade traditionnelle de monsieur et madame Alias, deuxième: le Festival international des jeux de Cannes. Comme mentionné hier, nous n’y sommes allé que le dimanche. Et encore, pas longtemps: nous sommes entrés peu après l’ouverture pour en sortir vers 15 h.
La Nuit du Jeu Oniris est une institution ludique suisse romande, qui aligne déjà plus de quinze éditions et qui se déroule à Neuchâtel. En m’y rendant, je me suis d’ailleurs aperçu que c’était la première fois que je participais à une convention à Neuchâtel-ville.
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