« Terra Humanis », de Fabien Cerutti
Et si une mobilisation citoyenne sans précédent en faveur de l’environnement façonnait le XXIe siècle? Fabien Cerutti lui a donné le nom de Terra Humanis.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Et si une mobilisation citoyenne sans précédent en faveur de l’environnement façonnait le XXIe siècle? Fabien Cerutti lui a donné le nom de Terra Humanis.
Sur la table de la cuisine, il y a une enveloppe de vote. Dans cet enveloppe, parmi les objets sur lesquels je dois voter, il y en a un sur le climat.
Les Flibustiers de la Mer Chimique, de Marguerite Imbert, n’est peut-être pas le roman post-apo le plus original, mais l’ambiance est plutôt exceptionnelle.
Pendant que les éditions Dupuis préparent leur centenaire, Spirou et Fantasio partent enquêter. Avec un titre comme La Mort de Spirou, ça va mal finir.
Les librairies sont des lieux dangereux. On vient y acheter un livre ou deux et on repart avec L’Arithmétique terrible de la misère, de Catherine Dufour.
Imagine que, dans un siècle, l’humanité a cramé toute l’énergie fossile. Il se passe quoi? C’est le concept de Hot Earth Dreams, de Frank Landis.
Et s’il existait une instance pour faire respecter les Accords de Paris? The Ministry for the Future, de Kim Stanley Robinson, répond à cette interrogation.
Terre, 2084. L’humanité semble vivre ses dernières années lorsqu’arrivent d’immenses vaisseaux: « Nous sommes Renaissance, n’ayez pas peur. »
Emily Redwild revient dans sa ville natale, en ce XXIe siècle ravagé par le changement climatique, pour cette première saison d’Exil, de Stéphane Desienne.
Attachez vos ceintures, c’est le deuxième tome de Exodus Manhattan! Sur la Terre, ravagée par le changement climatique, comme sur la Lune, qui héberge un centre pour les délinquants dangereux, les choses s’accélèrent. La Nouvelle Croisade passe à l’action pendant que Leto et Hana essayent de retrouver Felicity, une enfant qui recèle des secrets qui pourraient sauver l’humanité.
Le climat change, la planète se réchauffe et c’est collectivement de notre faute. Voilà, c’est un fait et si vous n’êtes pas d’accord, vous pouvez tout de suite arrêter de lire. Ce changement climatique est une chose, ce qui est plus difficile à admettre c’est qu’avec ce changement, il va falloir un changement de mentalité majeur, comme celui que décrit Tristan Nitot dans sa dernière note de blog, intitulée Le déni.