Je n’ai pas spécialement envie de parler de l’actualité récente – genre, du début de cette semaine – mais au hasard de mes flux, j’ai vu passer un bref document qui mérite d’être partagé: le Breaking News Consumer’s Handbook: Terrorism Edition, que l’on pourrait traduire par “Les Médias pour les Nuls: Spécial Terrorisme”.
Il est peu probable que vous ayiez pu échapper à la tempête fécale du nom de GamerGate. Je n’ai pas vraiment envie de m’étendre sur le caractère ultra-vomitif de toute cette affaire. Par contre, j’aimerais pointer vers un article du site Popehat, intitulé Ten Short Rants About #GamerGate.
Or donc, il y a trois semaines, dans “vendredi vraie vie”, je vous parlais d’un entretien avec Gérald Bronner, réalisé il y a un an à l’occasion de la sortie de son livre La démocratie des crédules. Sans surprise, ce livre, je l’ai acheté et lu dans la foulée et, à part une couverture hideuse à force d’être quelconque (elle a dû être réalisée sous Word), il est très bien.
Période d’élections en France, de votations en Suisse, autant d’occasions pour les partis politiques en général, et leurs branches les plus extrémistes en particulier, d’écrire des conneries plus moins massives. L’exemple le plus grave étant sans doute notre inimitable MCG, comme on peut le voir sur cet article chez Gaël von Mêmepasmal (avertissement sans frais: ça pique le cerveau de l’intérieur et ça brûle les rétines en même temps).
C’est long, mais c’est important: l’entretien de Ragemag avec le sociologue Gérard Bronner, intitulé « Nous sommes des feignants intellectuels » est une de ces lectures qui mérite qu’on lui consacre un bon quart d’heure. Oui, c’est long; j’avais prévenu.
Vous l’aurez compris au titre: je trolle un peu. Je reviens aussi sur un sujet sur lequel j’ai tendance à faire une fixation: la place de la critique dans la création. La faute en revient conjointement à Fabrice Colin, qui a écrit sur son blog (please follow) the golden path l’article par pitié ne me faites pas de mal, et à Laurent Kloetzer, qui l’a partagé.
J’avais prévenu: ma nouvelle Irrwisch Terminal dans l’univers de Tigres Volants était une expérimentation à plus d’un niveau. D’une part, au niveau de la méthode d’écriture: un premier jet plus ou moins écrit à l’arrache, dans le train entre la Belgique et Genève. Ensuite au niveau de l’envie d’écrire de la fiction dans un format un peu plus accessible au lecteur lambda que des scénarios de jeu de rôle.
Bon, je ne vais pas continuer à tourner autour du pot (blague eyldarin) plus longtemps: la nouvelle dont je vous parlais en début de semaine est en ligne, sous le titre Irrwisch Terminal. J’avoue: le titre n’est pas vraiment l’élément qui me satisfait le plus dans ce texte.
Hier soir, je suis tombé sur un article du blog Some Space to Think, écrit par un auteur de jeu américain du nom de Rob Donoghue, intitulé The Critical Audience. Cet article m’a interpelé à cause d’une citation dans le troisième paragraphe, que je vous traduis à la louche.
J’ai décidé de lancer le label “Créatifs grandes gueules“. Par ce label, j’autorise de façon explicite toute personne qui en a envie, quelles que soient ses affiliations ou opinions, à faire une critique de Tigres Volants ou de tout écrit public ou semi-public signé de ma main.
Au hasard des rencontres sur la GenCon de ce week-end, j’ai eu une discussion qui m’a laissé une impression bizarre. Pour résumer, une personne travaillant pour une maison d’édition de jeux de rôles (entre autre) m’a reproché d’écrire et, surtout,… Continue Reading →
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Chroniques, critiques et protocoles
Il y a quelques temps, je suis tombé par hasard sur les réactions de fans d’un groupe dont j’avais fait une chronique plutôt négative (je ne vous dirai pas de qui il s’agit, je pense que vous trouverez très bien tous seuls et le but de ce billet n’est pas de les casser). En soi, pas de souci; ça fait partie du jeu. Je reviens sur le sujet à cause d’une remarque, qui était (en gros) que je n’avais pas écouté l’album.