C’est un peu au pif que j’ai acheté La Cellule Fantôme, attiré par une histoire de science-fiction sur fond d’effondrement et de technologies interdites.
La nouvelle série vidéo de Pacôme Thiellement, intitulée L’Empire n’a jamais pris fin, m’a happée au long de ces trois longs épisodes déjà parus.
Or donc, American Gods est une série qui raconte comment, aux USA et de nos jours, des dieux se promènent et font des trucs. Ça pourrait être mieux.
Central Station, lieu éponyme du roman de Lavie Tidhar, c’est un starport, la porte vers le reste de la Terre, le système solaire et les étoiles.
Un beau jour, par hasard, l’étudiante Allison Ruth se retrouve un pouvoir incommensurable et un seul mot d’ordre: Kill 6 Billion Demons.
Planquez les bouteilles, cachez les oinjes et, de façon générale, mettez à l’abri tout ce qui est fragile: Sœur Marie-Thérèse revient!
Martin Gudessøn est flic à Stockholm. Lui et son équipe se retrouvent impliqué dans un imbroglio politico-religieux autour d’un enfant de cinq ans qui pourrait bien être le futur messie qui abattra toutes les religions polythéistes de la planète.
Qui parmi mes lecteurs ont lu la Bible? Vraiment lu, j’entends: l’Ancien et le Nouveau Testament, tous les livres évangiles et autres textes divers. Peu, j’imagine. C’est un peu pour ceux-ci que Mark Russell (Too Much Coffee Man) a écrit God Is Disapppointed in You, un ouvrage qui, en gros, réécrit le canon chrétien sans les bouts chiants.
Tout commence par le massacre d’enfants dans un petit village en Suède, la nuit de Walpurgis. Martin Gudesønn, capitaine de la police de Stockholm, enquête et ne tarde pas à se rendre compte que certaines personnes au sommet de l’État pourraient être derrière ce massacre et que, comme il y a un survivant, elles pourraient bien ne pas s’arrêter là.
Si j’étais taquin, je dirais qu’avec Jésus selon Mahomet, Gérard Mordillat et Jérôme Prieur cèdent à la très geek tendance des trilogies en quatre volumes, vu que leur ouvrage s’inscrit dans la droite ligne de leur “trilogie de Jésus” (Jésus contre Jésus, Jésus après Jésus, Jésus sans Jésus).
Dans le monde de The God Engines, de John Scalzi, non seulement les dieux existent, mais ils propulsent les vaisseaux spatiaux. De fait, la foi est une valeur primordiale, surtout pour le capitaine Ean Tephe, chargé d’une mission capitale pour l’humanité face à ses ennemis impies et malgré un dieu récalcitrant.
Quand on lit un titre comme Invraisemblances et contradictions dans la Bible, de Gerald Messadié, soit on est un athée convaincu et on ricane sur le pléonasme, soit on est un croyant et on hurle au blasphème. Et si, comme moi, on est un peu entre les deux, tendance historien, disons qu’on fait un peu des deux aussi.
Sigrid Kyle est une des dernières survivantes d’un corps d’élite, les Sections, chargés de lutter contre les religions non autorisées dans l’Arche, immense acropole qui surplombe l’Atlantique Nord, une cyclopéenne structure de béton qui abrite des milliards d’êtres humains d’un extérieur devenu un cloaque toxique. Elle est La dernière Walkirie éponyme du roman cyberpunk de Benoît Attinost.
C’est long, mais c’est important: l’entretien de Ragemag avec le sociologue Gérard Bronner, intitulé « Nous sommes des feignants intellectuels » est une de ces lectures qui mérite qu’on lui consacre un bon quart d’heure. Oui, c’est long; j’avais prévenu.
Cet hors-série de Charlie-Hebdo, intitulé La laïcité, c’est par où?, date un peu, puisqu’il est sorti en septembre 2013 – avant donc À bas la pub!, que j’avais chroniqué précédemment. Je l’ai trouvé cependant plus pertinent que ce dernier, peut-être parce qu’en ces temps où les fous de Dieu battent le pavé pour faire régresser les droits acquis, il est plus d’actualité.
Depuis le temps, vous devez connaître certains de mes réflexes pavloviens. Par exemple, il suffit de dire “bioshock” pour me voir faire comme Ian Fleming: des petits bonds partout. Du coup, l’annonce de la sortie de Bioshock Infinite sur Mac à la fin du mois passé a eu quelques effets délétères sur mon cerveau reptilien. Et sur mon compte en banque, aussi…
Momentum, le titre du nouvel album de Neal Morse, est plutôt bien choisi: l’animal est lancé et on ne l’arrête plus. Il doit y avoir quelque chose avec les compositeurs/claviéristes de prog: il y a quelques années, c’était Clive Nolan (Pendragon) qui enchaînait projets et albums.
Étant d’un naturel taquin, j’ai embarqué à Rome le Traité d’athéologie, de Michel Onfray; je pensais profiter de ces vacances pour terminer cet ouvrage, que j’avais mollement commencé, il y a quelques mois. Je dis “mollement” parce que j’en avais… Continue Reading →
You see, I had this weird dream (is there any other kind of dreams, by the way?) about going back to my old high school and talking with a priest about my religious convictions (or, arguably, the lack thereof). The… Continue Reading →
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