Charlie végète dans sa ville natale, quand on lui annonce la mort de son oncle. D’où une nouvelle carrière, décrite dans Starter Villain, de John Scalzi.
Que peut faire une nation stellaire en froid avec ses alliés et un peu tout le monde? C’est la question que pose The End of All Things, de John Scalzi.
Jaime rejoint une mystérieuse organisation non-gouvernementale, qui s’avère être The Kaiju Preservation Society, titre du nouveau roman de John Scalzi.
Dans The Human Division, de John Scalzi, l’Union coloniale a deux problèmes: elle est en froid avec la Terre et également avec les extra-terrestres.
Dernier chapitre de la trilogie de l’Interdépendance, The Last Emperox, de John Scalzi. Je vous rassure tout de suite: pas de Fin Scoubidou.
Un empire interstellaire qui voit que tous ses moyens de communication disparaître, c’est le thème de The Consuming Fire, de John Scalzi.
L’Interdépendance est un empire humain, éparpillé sur des dizaines de systèmes stellaires et relié par un “Flux” (Flow en anglais), des courants substellaires qui permettent de voyager plus vite que la lumière. C’est l’univers dans lequel se déroule The Collapsing Empire, nouvelle série de science-fiction signée John Scalzi et, au titre, on devine qu’il y a un problème.
Jusqu’à présent, les romans de John Scalzi que j’ai lus oscillaient entre le très bien (Old Man’s War) et le sympa-mais-peut-mieux-faire (Redshirts). Lock In, découvert via une chronique sur le site de Lune, est un roman d’anticipation flirtant avec le transhumanisme qui se situe assez clairement dans la première catégorie.
Dans le monde de The God Engines, de John Scalzi, non seulement les dieux existent, mais ils propulsent les vaisseaux spatiaux. De fait, la foi est une valeur primordiale, surtout pour le capitaine Ean Tephe, chargé d’une mission capitale pour l’humanité face à ses ennemis impies et malgré un dieu récalcitrant.
Zoë, fille (adoptive) de John Perry et Jane Sagan, embarque à la suite de ses parents pour aller fonder une nouvelle colonie sur une planète sauvage. Pour le reste de l’histoire de Zoë’s Tale, signé John Scalzi, je vous renvoie à The Last Colony, parce que c’est la même, mais du point de vue de cette adolescente pas tout à fait comme les autres.
Pour un jeune officier frais émoulu de l’Académie spatiale comme Andy Dahl, recevoir un poste à bord de l’Intrepid, vaisseau-amiral de l’Union universelle des planètes, est un rêve. Sauf qu’il s’agit d’un poste où le risque de mourir de façon spectaculaire est remarquablement élevé. Bienvenue dans le monde de Redshirts, roman de science-fiction signé John Scalzi!
Je vous dirais bien que The Last Colony est le dernier volume de la trilogie “coloniale” de John Scalzi, débutée par Old Man’s War et poursuivie par The Ghost Brigades, mais ce ne serait pas complètement exact. Il manque encore à l’appel Zoë’s Tale, qui est un point de vue un peu différent de ce qui se passe dans The Last Colony et, qui plus est, il existe d’autres ouvrages dans le même univers; cela dit, pour ce qui est de la trame de l’histoire, ces trois ouvrages précités tiennent assez bien la route dans le format trilogie.
Dans la foulée de Old Man’s War, j’ai attaqué sa suite The Ghost Brigades, également signé John Scalzi (et, l’ayant terminé, je me suis d’ailleurs lancé sur le suivant, The Last Colony. Encore que “suite” n’est pas le meilleur terme: certes, l’univers est le même et, chronologiquement, il se situe après les évènements de Old Man’s War, mais on ne retrouve que le lieutenant Jane Sagan des Forces spéciales – et encore, pas de façon principale.
Old Man’s War, le premier roman de John Scalzi, c’est de la science-fiction militaire dans un contexte de space-opéra, avec une différence majeure: le héros, John Perry, s’engage dans les Forces de défense coloniales à l’âge de septante-cinq ans.
Attention, le lien d’aujourd’hui pique méchamment! A Fan Letter to Certain Conservative Politicians, signée par l’auteur américain John Scalzi sur son blog Whatever, parle de viol et de politique. Plus précisément, des déclarations de plusieurs politiciens conservateurs américains, pour qui le viol est une sorte de punition divine et que les grossesses y conséquentes ne justifient pas un avortement.
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