L’été le moins chaud du reste de notre vie
Sur la table de la cuisine, il y a une enveloppe de vote. Dans cet enveloppe, parmi les objets sur lesquels je dois voter, il y en a un sur le climat.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Sur la table de la cuisine, il y a une enveloppe de vote. Dans cet enveloppe, parmi les objets sur lesquels je dois voter, il y en a un sur le climat.
La disparition de David Graeber est une de celles qui m’a le plus touchées. The Utopia of Rules touche du doigt les dysfonctionnements de notre société.
Je ne m’étendrai pas sur la prochaine votation en Suisse, mais sur une expression qui m’agace quelque peu: « écologie punitive ».
Et s’il existait une instance pour faire respecter les Accords de Paris? The Ministry for the Future, de Kim Stanley Robinson, répond à cette interrogation.
Au début de Attack Surface, de Cory Doctorow, une spécialiste de la sécurité informatique essaye de concilier son boulot et ses états d’âme.
Je suis tombé sur Relance, petite bédé surréaliste, mais qui m’a fait hurler de rire, signée du dessinateur Alessandro Pignocchi.
Comment je suis devenue anarchiste, d’Isabelle Attard, est un livre que j’ai lu en un peu moins de deux heures. Autant dire que c’est une chronique à chaud.
Comment, dans un monde de fantasy, une nation gèrerait l’existence de personnes dotées de pouvoirs magiques? Sylvie Denis répond dans Haute-École.
L’Interdépendance est un empire humain, éparpillé sur des dizaines de systèmes stellaires et relié par un “Flux” (Flow en anglais), des courants substellaires qui permettent de voyager plus vite que la lumière. C’est l’univers dans lequel se déroule The Collapsing Empire, nouvelle série de science-fiction signée John Scalzi et, au titre, on devine qu’il y a un problème.
Le climat change, la planète se réchauffe et c’est collectivement de notre faute. Voilà, c’est un fait et si vous n’êtes pas d’accord, vous pouvez tout de suite arrêter de lire. Ce changement climatique est une chose, ce qui est plus difficile à admettre c’est qu’avec ce changement, il va falloir un changement de mentalité majeur, comme celui que décrit Tristan Nitot dans sa dernière note de blog, intitulée Le déni.
Ces derniers jours, j’ai vu passer deux documents venant de deux sources différentes et qui parlent d’action concrètes pour lutter contre le changement climatique.
À la fin de ce mois, le peuple suisse devra voter sur la dernière initiative débile en date de l’UDC. Ça vire à la tradition: le parti populiste, ou un de ses séides, lance une initiative populaire bien démago sur un sujet sensible, reformule le bazar de façon à faire croire que La Nation Est En Danger, ou un truc du genre, et on est obligé de voter sur un nouvel étron.
Barne Mustii est un comptable. Pas vraiment le héros des légendes: il est harcelé par son patron, sa femme l’a quitté et il s’engueule tous les matins avec son miroir. Il faut aussi préciser que, dans le monde imaginé par Simon “Gee” Giraudot dans ce roman Working Class Heroic Fantasy, le miroir est magique, l’ex-épouse une elfe et le patron un gobelin.
Il y a quelques années, Thierry Crouzet a décidé de faire un break, de “débrancher”. Il en a profité pour écrire un livre sur le sujet, mais ce n’est pas de celui-ci dont je vais vous parler. En effet, il a aussi écrit “Ya Basta”, un essai quelque peu pamphlétaire, manifeste pour l’autogestion en réponse à notre société actuelle.
Il y a pas loin de dix ans, je chroniquais dans ces pages un ouvrage que je qualifiais d’OVNI: “L’Insurrection qui vient”. Aujourd’hui, je m’attaque à sa “suite”, “À nos amis”, toujours signée par ce mystérieux “Comité invisible”.
En fouillant dans mes archives, je m’aperçois que je ne vous ai jamais parlé de cet excellent webcomic qu’est Sinfest. J’ai dû le mentionner sur mon ancien site, Alias dedans, mais c’est vieux de chez vieux et ça mérite une vraie chronique.
Comme si le choix pour le premier tour de l’élection présidentielle française n’avait pas été assez difficile, voici le deuxième qui arrive, avec un choix entre une fasciste à peine déguisée et un ultralibéral ex-socialiste devenu la coqueluche des médias – et du patronat.
La semaine passée, j’ai enfin reçu l’information que je pourrai voter dimanche prochain pour le premier tour de l’élection présidentielle française. C’est une bonne et une mauvaise nouvelle.
Moi qui ne connaissais pas grand-chose de la Première Guerre mondiale (je connais nettement mieux la seconde et je ne suis pas super-enthousiasme à l’idée de devenir un spécialiste de la Troisième), je me régale avec la série de bouquins de Jean-Yves Le Naour sur ce conflit. 1917 est, comme son nom l’indique, le quatrième de la série.
Il y a peu – genre, mercredi 9 novembre, j’ai eu quelques échanges un peu vifs sur les réseaux sociaux avec certains de mes contacts. Un de ceux-ci concernaient un article récent de Ploum, intitulé (Ré)apprendre à rêver, et qui avait été qualifié de “platitude dépolitisante”.