Alors que Mortimer part en Union soviétique, Blake va en Suisse pour une réunion ultra-secrète. Tous les deux se retrouveront pour Huit heures à Berlin.
Mary Donaher, fonctionnaire américaine, enquête sur le Grand Secret, qui, en l’année 1943, donne son titre à cette trilogie de la BD uchronique Jour J.
Au début de Attack Surface, de Cory Doctorow, une spécialiste de la sécurité informatique essaye de concilier son boulot et ses états d’âme.
Dans Summerland, de Hannu Rajaniemi, Rachel White est un agent britannique, dans un monde où on a découvert comment continuer à exister après la mort.
La fin du précédent tome de Jack Wolfgang laissait présager des tensions entre le loup gastronome éponyme, accessoirement agent de la CIA, et la panthère (également éponyme, dans le cas présent) qui accompagnait ses nuits. Ce troisième tome de la BD, intitulé donc Un Amour de Panthère, confirme la chose.
Neuvième volume de la série The Laundry – et troisième lu à la suite cette année – The Labyrinth Index, de Charles Stross, enchaîne sur les événements de The Delirium Brief et envoie Mhari et une brochette d’agents de la Laverie aux USA, affronter les Nazgûls.
Oui, je suis très en retard sur la série The Laundry, de Charles Stross. Fort heureusement, comme j’ai des amis géniaux (et une wishlist à jour), j’en ai reçu deux pour mon récent anniversaire, dont The Nightmare Stacks, septième de la série et faisant suite à The Annihilation Score.
Jack Wolfgang, critique gastronomique et agent de la CIA – et accessoirement loup bipède – se retrouve à enquêter sur l’assassinat mystérieux d’un magnat de l’économie chinoise. Se pourrait-il que ce meurtre soit lié à l’attribution du Prix Nobel? Spoiler: oui. D’ailleurs, ce deuxième tome des aventures de Jack Wolfgang s’intitule Le Nobel du pigeon.
Jack Wolfgang est un critique littéraire renommé, dont les articles paraissent dans le Times et le New Yorker. Le voici dans un bar, occupé à séduire fille d’un magnat de l’agro-alimentaire, dans le cadre de son autre travail: agent de la CIA. Ah, et Jack Wolfgang est un loup.
Deuxième séance de rattrapage sur le thème comédie d’action sur le thème de l’espion post-bondien: le récent film Kingsman: The Secret Service, qui, comme Knight and Day, joue la carte de la satire, mais avec quelques subtilités supplémentaires. Si l’intrigue… Continue Reading →
Le hasard a voulu qu’à une semaine d’intervalle, nous regardions deux films qui ont maintenant quelques années et qui, chacun dans leur genre, présentent une relecture du film d’action/espionnage à la James Bond plus sous le signe de la comédie que du thriller. Le premier, c’est Knight and Day.
Qui dit voyage en avion, dit occasion de voir des films que j’avais soit raté à leur sortie, soit qui n’étaient pas sortis du tout. Il me semble que ce The Man from U.N.C.L.E rentre dans la seconde catégorie, mais, ayant repéré la bande-annonce il y a quelques temps, j’ai profité de l’aubaine – en l’occurrence, dix heures de vol au-dessus de l’Afrique.
De retour d’urgence d’une mission diplomatique, le professeur Dominique “Mo” O’Brien découvre chez elle une vampire, qui se trouve également être une ex de son mari. La situation devient encore plus complexe quand son violon maudit s’en mêle, au point que le mari en question – qui n’a honnêtement pas grand-chose à se reprocher – doit lancer des imprécations en énochien ancien pour que tout le monde se calme.
Depuis le temps (et, surtout, la “Trilogie Baroque“), je devrais me méfier des bouquins de Neal Stephenson: son “petit” dernier, REAMDE, aligne plus de mille pages; il est presque aussi épais que large. À mon avis, c’est un bon quart, voire un tiers de trop.
Séance de rattrapage DVD hier soir avec le quatrième opus de la franchise Mission:Impossible, Ghost Protocol. C’est du bon vieux gros blockbuster d’action/espionnage, avec des gadgets improbables, des plans tarabiscotés et des destinations exotiques, dans le but de sauver le monde du feu nucléaire que souhaite lancer un illuminé qui pense que c’est le seul moyen de faire évoluer l’humanité.
Je vous préviens tout de suite: le lien entre le héros de la bande dessinée Casanova et le personnage historique vénitien est plutôt ténu, sinon que ça parle d’espionnage, de trahison et de sexe. Casanova Quinn est le fils du directeur d’E.M.P.I.R.E., un syndicat du crime qui règne sur notre planète à une époque plus ou moins contemporaine. C’est un voleur, un espion et un assassin, mais c’est surtout le mouton noir de la famille, là où sa sœur jumelle, Zephyr, est le meilleur agent de l’organisation.
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