Le Petit théâtre des opérations présente: Les Guerres napoléoniennes
Ma chronique sur le dernier tome du Petit théâtre des opérations m’a rappelé que j’avais oublié de vous parler du hors-série sur les Guerres napoléoniennes.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Vous allez rire, c’est dans cette branche que j’ai mon diplôme universitaire.
Ma chronique sur le dernier tome du Petit théâtre des opérations m’a rappelé que j’avais oublié de vous parler du hors-série sur les Guerres napoléoniennes.
On n’arrête pas L’Odieux Connard. Voici donc le cinquième tome de son Petit Théâtre des Opérations, ici consacré à une seule et même personne.
Un écolier de 2024, un adolescent de 1651, des événements paranormaux, une place d’arme et un canton en devenir. C’est Place d’âmes, de Sara Schneider.
La nouvelle série vidéo de Pacôme Thiellement, intitulée L’Empire n’a jamais pris fin, m’a happée au long de ces trois longs épisodes déjà parus.
La disparition de David Graeber a laissé un vide, partiellement comblé par des ouvrages posthumes, comme The Dawn of Everything, écrit avec David Wengrow.
Le 25 juillet 1940, alors que les officiers suisses se retrouvent sur la prairie du Grütli, l’Allemagne nazie déclenche l’Opération Tannenbaum, dans cette uchronie de Jean-François Amblard.
Avec un titre comme Les pires batailles de l’histoire, signé ici par Benjamin Brillaud, on s’attend à un grand bêtisier de la chose militaire. Pas ici.
Des choses se passent. Ça pourrait être le résumé du 3e tome du Petit théâtre des opérations, qui raconte des anecdotes militaires qui dépassent la fiction.
Avec ce deuxième tome, Le Petit théâtre des opérations revient sur quelques anecdotes piquantes, entre réalité historique et humour irrévérencieux.
D’un côté, l’Algérie en guerre. De l’autre, une France instable au possible. On est en 1958 et c’est le contexte de la BD Un Général, des généraux.
Il y a toujours quelque chose d’un peu gênant à aller commander un ouvrage comme L’Occultisme nazi, de Stéphane François. Mais c’est pour la bonne cause.
Je me suis laissé convaincre par mes camarades du forum uchronique “1940, la France” continue d’acquérir Enemy at the Gates, de Justo Miranda.
Selon une ancienne légende, un ouvrage sur les donjons et les dragons révolutionna le monde. Jon Peterson étudie son impact avec The Elusive Shift.
Une des plus sûres manières de me faire froncer le sourcil, c’est d’écrire quelque part « ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire. »
En cet été de l’an de grâce 1452, Henri II se meurt. Mais dans Le Non de la Rose, de Sébastien Capelle, il est roi de France… et d’Angleterre.
J’aime l’histoire quand elle ne se prend pas trop au sérieux. Du coup, voici deux petites ressources historiques et néanmoins facétieuses.
Je suis arrivé jusqu’à la fin de Crusaders Kings III, en 1453, avec ma dynastie irlandaise. Le voyage était cool, la destination… un peu moins.
Étrange petit bouquin que ce Les Ruines de Paris en 4908, d’Alfred Franklin. D’abord pour son concept, qui est résumé par le titre, mais aussi par son histoire.
C’est – sans surprise – par le forum 1940 La France Continue que j’ai appris l’existence d’un numéro de la revue française Historia consacré à l’uchronie.
Si Roma Æterna avait réellement été éternelle? Les douze nouvelles de Semper Lupa, recueil signé Meddy Ligner, tentent de répondre à cette question.