« Les pires batailles de l’histoire », de Benjamin Brillaud
Avec un titre comme Les pires batailles de l’histoire, signé ici par Benjamin Brillaud, on s’attend à un grand bêtisier de la chose militaire. Pas ici.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Vous allez rire, c’est dans cette branche que j’ai mon diplôme universitaire.
Avec un titre comme Les pires batailles de l’histoire, signé ici par Benjamin Brillaud, on s’attend à un grand bêtisier de la chose militaire. Pas ici.
Des choses se passent. Ça pourrait être le résumé du 3e tome du Petit théâtre des opérations, qui raconte des anecdotes militaires qui dépassent la fiction.
Avec ce deuxième tome, Le Petit théâtre des opérations revient sur quelques anecdotes piquantes, entre réalité historique et humour irrévérencieux.
D’un côté, l’Algérie en guerre. De l’autre, une France instable au possible. On est en 1958 et c’est le contexte de la BD Un Général, des généraux.
Il y a toujours quelque chose d’un peu gênant à aller commander un ouvrage comme L’Occultisme nazi, de Stéphane François. Mais c’est pour la bonne cause.
Je me suis laissé convaincre par mes camarades du forum uchronique “1940, la France” continue d’acquérir Enemy at the Gates, de Justo Miranda.
Selon une ancienne légende, un ouvrage sur les donjons et les dragons révolutionna le monde. Jon Peterson étudie son impact avec The Elusive Shift.
Une des plus sûres manières de me faire froncer le sourcil, c’est d’écrire quelque part « ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire. »
En cet été de l’an de grâce 1452, Henri II se meurt. Mais dans Le Non de la Rose, de Sébastien Capelle, il est roi de France… et d’Angleterre.
J’aime l’histoire quand elle ne se prend pas trop au sérieux. Du coup, voici deux petites ressources historiques et néanmoins facétieuses.
Je suis arrivé jusqu’à la fin de Crusaders Kings III, en 1453, avec ma dynastie irlandaise. Le voyage était cool, la destination… un peu moins.
Étrange petit bouquin que ce Les Ruines de Paris en 4908, d’Alfred Franklin. D’abord pour son concept, qui est résumé par le titre, mais aussi par son histoire.
C’est – sans surprise – par le forum 1940 La France Continue que j’ai appris l’existence d’un numéro de la revue française Historia consacré à l’uchronie.
Si Roma Æterna avait réellement été éternelle? Les douze nouvelles de Semper Lupa, recueil signé Meddy Ligner, tentent de répondre à cette question.
J’ai tardé à chroniquer le troisième et dernier tome de Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIb. Une première lecture m’avait laissé perplexe.
Il y a quelques années, le hasard a voulu qu’à quelques mois de distance, deux blogs me parlent d’ouvrages de Gilles Thomas, spécialiste des catacombes.
Il y a des défaites qui ont le goût de la victoire: le 26 novembre 1989, il y a trente ans, 35% des votants demandaient l’abolition de l’armée suisse.
Il est rare que je vous parle de magazines et si ce hors-série de Guerres & Histoire intitulé Et si… ça s’était passé autrement? a attiré mon attention, c’est parce que c’est un titre “grand public” (une des revues du groupe Science & Vie) qui parle d’uchronie.
Vous êtes déjà au courant que j’aime l’histoire, principalement l’histoire de Genève. Il se trouve que je suis également un grand fan des plans et des maquettes, trois passions qui se rejoignent dans un projet, Genève 1850, qui s’est ouvert ce mardi.
Début mai 1945, dans le Tyrol autrichien, un château va devenir le théâtre d’un des derniers affrontements de la Seconde Guerre mondiale. C’est le sujet de The Last Battle, un livre d’histoire de Stephen Harding.