Un Général, des généraux
D’un côté, l’Algérie en guerre. De l’autre, une France instable au possible. On est en 1958 et c’est le contexte de la BD Un Général, des généraux.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
D’un côté, l’Algérie en guerre. De l’autre, une France instable au possible. On est en 1958 et c’est le contexte de la BD Un Général, des généraux.
Dans une gare en Macédoine, au début d’Oniromaque de Jacques Boireau, un homme attend. Il ne sait pas encore qu’il va peut-être changer le monde.
Jennifer Bradsley est une jeune veuve, qui s’est découvert un don certain pour le spiritisme. Elle voit les âmes des défunts.
S’il n’y avait pas eu la chronique de Lune, il y a des chances pour que je sois passé à côté de L’Effet Domino, de François Baranger. En effet, même si cet auteur (également illustrateur) est connu dans les cercles SF (avec le cycle Dominium Mundi), cet ouvrage-ci est un polar-thriller sis dans le Paris du début du XXe siècle.
Dernière livraison de la première fournée des Saisons de l’Étrange, Les Fantômes du nouveau siècle est une histoire fantastique qui se déroule en marge de l’Exposition universelle de 1900, à Paris. Oui, je sais: 1900, c’est encore le XIXe siècle, mais ici on s’en fout un peu.
Avec 1918, j’arrive au bout des cinq volumes que l’historien Jean-Yves Le Naour a consacré à cette Première Guerre mondiale, qui porte en elle les germes de tout le XXe siècle. Et ce n’est pas beau à voir.
Vendredi dernier – évidemment, il fallait que ce soit un vendredi – j’ai vu passer sur Twitter une infographie qui expliquait, en gros, que le vote du Brexit pouvait s’expliquer partiellement par le fait que l’électorat de 65 ans et plus avait massivement voté “Exit“, alors que les 18-25 ans, qui étaient plutôt “Remain“, avaient peu voté.
Foin des séries kilométriques, avec USA über alles, Jean-Pierre Pécau a le bon goût de signer un triptyque uchronique dont le troisième et dernier tome, sous-titré “L’Ombre rouge”, vient donc de sortir ces jours.
Il y a des commémorations plus joyeuses que d’autres, celles autour de la guerre 14-18 le sont assez modérément. Si le commun des mortels a une assez bonne idée de l’horreur de ce conflit, des ouvrages comme ce 1914, de Jean-Yves Le Naour, met en lumière des aspects peu connus en se concentrant sur cette seule année.
Au cours de mes études d’histoire, j’ai eu l’occasion d’étudier les complots, les conspirations et autres sociétés secrètes. C’est pourquoi, quand j’en ai lu la chronique de Tristan Lhomme sur Hugin & Munin, j’ai eu envie de lire La Synarchie, signé de l’historien français Olivier Dard.