“Information Doesn’t Want to Be Free”, de Cory Doctorow

"Information Doesn't Want to Be Free", de Cory Doctorow

Il fallait bien quelqu’un comme Cory Doctorow pour détourner une des phrases les plus mythiques d’Internet et, avec son essai Information Doesn’t Want to Be Free, sérieusement débroussailler la question des droits d’auteur, de la copie, des verrous numériques et, plus généralement, de la liberté d’expression et de création au XXIe siècle.

La guerre contre le terrorisme n’aura pas lieu

Les misères et les malheurs de la guerre

La semaine passée, je voulais écrire un article intitulé “Je ne suis pas en guerre” et, juste avant de commencer à balancer mes idées, je suis tombé sur Non, nous ne sommes pas en guerre, un article d’Eros Sana sur le site Basta ! (via Un jour, une idée), qui disait à peu près la même chose.

Charlie partout, Charlie toujours

Hommage à Charlie-hebdo de Pierre Berget

Un des slogans les plus marquants que j’ai pu lire ces derniers jours, c’est celui de Reporters sans frontières: “Ils veulent nous réduire au silence, ils n’auront obtenu qu’une minute.” J’aurais aimé pouvoir agir en fonction de cette phrase, mais je dois avouer que, dans mon cas, la minute ait duré un peu plus longtemps. Trop, sans doute.

La liberté de dire des conneries

Période d’élections en France, de votations en Suisse, autant d’occasions pour les partis politiques en général, et leurs branches les plus extrémistes en particulier, d’écrire des conneries plus moins massives. L’exemple le plus grave étant sans doute notre inimitable MCG, comme on peut le voir sur cet article chez Gaël von Mêmepasmal (avertissement sans frais: ça pique le cerveau de l’intérieur et ça brûle les rétines en même temps).

Con comme un homophobe devant un tribunal

Il y a des jours qui apportent leur lot de bonnes nouvelles, même dans le paysage politique français, qui rappelle parfois les bouts de désert dans le jeu post-apo Fallout, pixellisation comprise. Aujourd’hui, le quotidien Libération nous apprend qu’un politicien, accusé de propos homophobes, a été relaxé au motif que ses élucubrations étaient ridicules.