Quand un djinn majeur, se réveille d’un très long sommeil, il ne s’attend pas à être accueilli par un gurkha qui mange des pistaches.
Parue dans un seul volume avec Legion, The Emperor’s Soul est une autre nouvelle – une novella, pour être précis – de Brandon Sanderson, très différente du précédent, puisque se déroulant dans un contexte fantastique orientalisant, à la cour de l’empereur d’une nation genre Chine-avec-de-la-magie.
Septante ans après que l’avatar Aang ait rétabli l’harmonie dans les nations élémentaires du monde, un nouvel avatar arrive. Elle s’appelle Korra, c’est une adolescente de la tribu de l’Eau et elle a un très mauvais caractère. The Legend of Korra est donc une suite de la série Avatar, the Last Airbender, mais dans un monde et avec une approche qui ont beaucoup changé – mais qui déménage tout autant que la première série.
Bâtiments de bambou pour la reconstruction de l'Asie
Pendant les Années d'Ombre, une préoccupation constante a été le relogement des millions de réfugiés, particulièrement en Asie. Une des solutions explorées a été la mise en place de projets de construction incluant le bâtiment et de quoi le construire – en l'occurrence, du bambou.
Une grande quantité de bâtiments de ce genre ont vu le jour dans la première moitié du XXIe siècle, mais ils ont acquis une mauvaise réputation du fait de défauts de construction et de maladies dont souffrait le bambou utilisé.
En 2300, la méthode a été perfectionnée, notamment grâce à des processus copiés sur les Eyldar et les Atlani, mais elle n'est plus guère utilisée que pour des logements temporaires.
(Idée vue sur Inhabitat, qui hélas n'apporte pas beaucoup d'informations supplémentaires.)
Bâtiments de bambou pour la reconstruction de l’Asie Pendant les Années d’Ombre, une préoccupation constante a été le relogement des millions de réfugiés, particulièrement en Asie. Une des solutions explorées a été la mise en place de projets de construction… Continue Reading →
Si vous voulez de la science-fiction exotique, pas besoin de faire des milliers d’années-lumière ou des milliers d’années tout court: il suffit de se plonger dans The Windup Girl, le roman de l’Américain Paolo Bacigalupi, qui se déroule dans une Thaïlande de l’après-pétrole.
En 1935, Ella Maillart, accompagnée du journaliste anglais Peter Fleming, part de Beijing (qu’on appelait encore à l’époque Pékin) en direction du Sinkiang, alors interdit aux étrangers pour cause de guerre civile (et d’autres grenouillages géopolitiques). Oasis interdites est le récit de ce voyage de plus de six mois.
En 1932, Ella Maillart, jeune Suissesse assoiffée de grands espaces, parcourt l’Orient soviétique: Kazakhstan, Ouzbékistan, Kirghizistan; elle écrit plus tard son récit de voyage, Des Monts célestes aux sables rouges.
C’est Psychée, à qui je parlais de mon amour immodéré pour L’Usage du monde, qui m’a donné envie de lire L’épopée de la Croisière jaune de Jacques Wolgensinger.
Les carnets de voyage de Nicolas Bouvier (mais je vous conseille de lire plutôt la version anglaise de la page, bien plus complète), dont L’Usage du monde est la première partie, entraient jusqu’à peu dans l’immense catégorie, dite des “classiques que je n’ai pas lu”.
Il est rare qu’une série en dessin animé m’enthousiasme autant qu’Avatar: The Last Airbender (Le Dernier Maître de l’Air en français); je sais bien qu’en lisant ce blog, on pourrait avoir l’impression inverse, mais c’est parce que je ne parle que rarement des séries médiocres ou “juste pas mal” que je vois.
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