« Le jour où l’humanité a niqué la fantasy », de Karim Berrouka

« Le jour où l’humanité a niqué la fantasy », de Karim Berrouka

Le dernier roman de Karim Berrouka, Le jour à l’humanité a niqué la fantasy, commence par le plan cul d’Olga qui fait l’hélicobite incendiaire dans son salon. Bon, ce n’est pas tout à fait vrai: il y a aussi la prise d’otage dans une médiathèque. Ces deux épisodes impliquent des lutins d’un mètre huitante-cinq. Ces …

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“Celle qui n’avait pas peur de Cthulhu”, de Karim Berrouka

"Celle qui n'avait pas peur de Cthulhu", de Karim Berrouka

Cthulhu revient parmi les siens! Eh oui, le réveil du Dieu ancien et néanmoins poulpique est proche. Sauf que la clé de ce réveil est une jeune femme, Celle qui n’a pas peur de Cthulhu, et c’est l’histoire de cette derrière que nous narre le fort narrant Karim Berrouka dans son dernier roman.

“Le club des punks contre l’Apocalypse zombie”, de Karim Berrouka

"Le club des punks contre l'Apocalypse zombie", de Karim Berrouka

Alors tout commence dans un squat, avec deux punks qui font les cons et leur copine qui râle parce qu’elle veut dormir. Le problème, c’est que le chambard est en partie dû à un soudain effondrement civilisationnel pour cause d’invasion de zombies: c’est Le club des punks contre l’Apocalypse zombie, de Karim Berrouka.

“L’Amicale des jeteurs de sorts”

Anthologie “officielle” de l’édition 2013 de Zone Franche Bagneux, où je l’ai acheté, L’Amicale des jeteurs de sorts me laisse un sentiment mitigé: il y a du bon et du moins bon dans cet ouvrage. Je suppose que c’est la forme de l’exercice qui, en partie, veut cela.

Je ne pense pas trahir l’esprit de Thomas Bauduret et de Christophe Thill, directeurs de la publication, en disant que le thème commun aux nouvelles qui la composent, c’est la magie dans son aspect le plus quotidien – les magiciens sont parmi nous, en quelque sorte. Une magie moins hollywoodienne, plus intimiste; plus inquiétante, aussi.

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“La Porte”, de Karim Berrouka

Dans la même volée que Les poubelles pleurent aussi, j’ai également acheté – sur le conseil insistant des personnes du stand Griffe d’encre – La Porte, une autre novella signée Karim Berrouka.

L’idée générale – et, j’en ai peur, la conclusion – est similaire, sauf qu’il s’agit là une sorte de conte fantastique absurde, mettant en scène deux loups-garous (aux noms fort évocateurs de Premier Loup-Garou et Deuxième Loup-Garou) dans leur chaumière, ayant affaire à toute une série de visiteurs du soir.

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