Dernière livraison de la première fournée des Saisons de l’Étrange, Les Fantômes du nouveau siècle est une histoire fantastique qui se déroule en marge de l’Exposition universelle de 1900, à Paris. Oui, je sais: 1900, c’est encore le XIXe siècle, mais ici on s’en fout un peu.
Paris, 1935: des gagnants de la Loterie nationale meurent dans des circonstances étranges. Un trio de “gueules cassées” – des vétérans de la Grande guerre mutilés de la face – enquêtent, pendant que des scientifiques se livrent à des expériences étranges et que des agents étrangers conspirent dans l’ombre. Malheur aux gagnants, le dernier roman de Julien Heylbroeck, ressemble à du pulp, mais ça n’en est pas. C’est mieux que cela.
En théorie, le week-end de la Japan Expo aurait dû être studieux, avec multiples parties de Freaks’ Squeele dans l’antre des otakus. Comic-Con staïle, quoi. Ça ne s’est pas fait, du coup ma dame et moi y sommes allés en touristes.
À l’origine, il y avait un Plan Génial: retourner à la Japan Expo pour y faire des démos de Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures.
La forêt au cœur de Paris Un vrai projet d’immeuble végétalisé pourrait tout à fait être intégré dans la Commune libre de Paris, autour du XXVIIIe arrondissement.
Quelque part au XXIe siècle, la réalité virtuelle est dans tous les foyers et rares sont ceux qui s’aventurent dans la Basse Réalité – le monde physique. C’est donc les rues désertées de Paris que se déroule Inner City, roman cyberpunk signé Jean-Marc Ligny.
Décidément, la série Paris Maléfices prend du galon en avançant: ce troisième tome, Le Petit homme rouge des Tuileries, est le plus réussi du lot. Oh, il a toujours un peu les mêmes défauts des précédents, mais cette fois-ci, il y a une histoire qui me parait plus intéressante.
À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, un policier nommé Ragon résout des enquêtes par la seule force de sa connaissance des livres et de la littérature. Il consigne ses notes dans des petits carnets que lui avait offerts son épouse, des Feuillets de cuivre qui donnent son nom à l’ouvrage de Fabien Clavel que j’ai lu récemment avec grand plaisir.
Pierre Pevel est à l’origine d’une de mes grandes frustrations littéraires et de sa résolution heureuse, avec la parution récente des trois volumes du Paris des Merveilles. En effet, après avoir lu et apprécié Les Enchantements d’Ambremer, il y a quelques années, je n’avais jamais pu mettre la main sur sa suite, L’Elixir d’Oubli. Et c’est donc ces deux ouvrages qui ont été réédités chez Bragelonne, enrichis d’un troisième, Le Royaume Immobile.
Paris en vert (et contre tous) La Ville libre de Paris n’a jamais manqué de plans mégalomanes – pardon, de Plans Mégalomanes! – mais celui lancé par l’actuelle administration, consistant à transformer la cité européenne en grand jardin d’ici à… Continue Reading →
Dans ce deuxième tome de Paris Maléfices, intitulé L’Or du millième matin, on retrouve les deux agents du Bureau des affaires publiques, la très euphémistique et très mystérieuse officine chargée d’enquêter sur des phénomènes paranormaux dans la capitale, aux prises avec une entité dangereuse à la recherche d’une expérience alchimique.
Je commence à devenir prévisible. L’âge, sans doute. Toujours est-il que c’est sur la suggestion de Benoît Felten (hébergé sur le site des Hu-Mu) que j’ai découvert Les Incidents de la Nuit, de David B., une bande dessinée onirique qui se déroule dans un Paris que n’aurait pas renié Jacques Yonnet.
Avec La malédiction de la Tour Saint-Jacques, premier tome de la nouvelle série de bande dessinée Paris Maléfices, Jean-Pierre Pécau commence à me faire un peu peur: non seulement il semble être un grand amateur d’uchronie (surtout si ça implique des avions débiles), mais il a aussi un intérêt pour le fantastique urbain en général et à Paris en particulier. J’ai l’impression d’être confronté à mon jumeau qui a réussi.
Une inspiration un peu particulière que ce The Art of Remember Me, un livre qui présente les décors et les concepts visuels autour d’un jeu vidéo auquel je ne jouerai sans doute jamais, puisqu’il n’est sorti que sur console et Windows…. Continue Reading →
Ceux qui me suivent depuis un moment savent à quel point il m’est difficile de résister à un jeu de mot, surtout s’il est foireux. Alors toute une carte du métro parisien remplie de jeux de mots foireux et d’à-peu-près crapuleux sur des groupes de rock, vous pensez!
Il fut un temps où, quand madame mon épouse manifestait le désir d’aller à la Japan Expo, sans aller jusqu’à faire la gueule, je manquais quelque peu d’enthousiasme. Seulement, depuis quelques années, le grand raout des otakus de France et de Navarre s’est adjoint une convention sœur, la Comic-Con, dédiée aux bandes dessinées, aux webséries et aux jeux.
Image originale par Chen Kai, sur DeviantArt.
(Bon, à première vue, ce n'est pas exactement le Palais de l'Élysée qui est représenté là, mais on va dire que c'est une vision d'artiste, okay?)
Paris, 15 juillet 1993 Au lendemain du coup d’État trotskyste qui voit Arlène Laiguiller prendre le pouvoir à Paris, le Palais de l’Élysée, partiellement incendié et laissé à l’abandon au milieu d’un champ de ruines. Image originale par Chen Kai,… Continue Reading →
À mes yeux de bête occidental à gros nez, les dessins animés japonais ont tendance à soit être très bons sur la forme ou sur le fond; rares sont ceux qui parviennent à être bons en tout et, heureusement, rares également sont ceux qui se plantent partout. Gakutsuou, aussi connu sous le nom de Le Comte de Monte-Cristo, parvient à l’exploit d’être à moitié génial dans les deux catégories – mais également à moitié foiré.
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