Loki, saison 2
Les trames temporelles se délitent, la TVA s’effondre, les trahisons s’accumulent: qui d’autre que Loki peut donc sauver le multivers?
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Les trames temporelles se délitent, la TVA s’effondre, les trahisons s’accumulent: qui d’autre que Loki peut donc sauver le multivers?
Et c’est reparti pour une nouvelle saison de Star Trek, à bord de l’Entreprise, mais avec le capitaine Pike, puisqu’il s’agit de Strange New Worlds.
Une des premières choses qu’annonce la narratrice de The Rewind Files, de Claire Willett, c’est « Vous avez entendu parler du Watergate? J’ai merdé ».
Dans cette deuxième saison de Star Trek: Picard, l’amiral éponyme se retrouve à enquêter sur un événement stellaire mystérieux.
Amateurs de voyages temporels, si en plus vous êtes clients en metal progressif, réjouissez-vous: Star One revient avec Revel in Time.
Je n’irais pas jusqu’à dire qu’il était temps que ça se finisse, mais que cette saison de Agents of SHIELD soit la dernière est plutôt une bonne chose.
Résumé de The Umbrella Academy: en empêchant la fin du monde, des super-héros déclenchent la fin du monde et partent dans le passé pour empêcher la fin du monde.
Les Miracles du Bazar Namiya, commence par trois paumés qui se cachent dans un vieux magasin abandonné et trouvent une lettre écrite trente ans plus tôt.
Avengers: Endgame, le film de tous les superlatifs! Le crossover le plus ambitieux jamais filmé, la conclusion d’une saga commencée il y a plus de dix ans et courant sur vingt-deux films, trois heures de film et un box-office éparpillé façon puzzle. OK, mais est-ce que c’était bien, au moins?
Game of Thrones? Pfah! S’il y a une nouvelle saison que j’attendais avec impatience, c’est bien celle de Star Trek Discovery. L’épilogue de la première saison promettait un chouette mélange entre mystères spatiaux et figures légendaires et, au final, je ne suis pas déçu.
Au début de Paradox Bound, de Peter Clines, Eli est un enfant de Sanders, petite ville du Maine dans laquelle il ne se passe jamais rien. Sauf quand une Ford A pilotée par Harry, une jeune femme vêtue d’une redingote et d’un tricorne déboule dans sa vie. Plusieurs fois.
Je suppose qu’après avoir chroniqué les trois premiers tomes d’Infinity 8, j’aurais dû faire de même pour la suite. Sauf que, si je les ai lus, ils ne m’ont pas laissé un souvenir impérissable – sans être mauvais, mais juste sympa, sans plus. Au contraire de ce tome 7, intitulé Et rien pour finir et que l’on doit à la patte de Boulet.
Matthias, étudiant glandeur dans un avenir proche où une épidémie a tué près de la moitié de la population, trouve un jour une lettre énigmatique glissée sous sa porte. Cette lettre le lance sur la trace d’une peinture du XVe siècle, sur laquelle il reconnaît sa mère et son oncle. C’est ainsi que commence Où s’imposent les silences, d’Emmanuel Quentin.
C’est rare que je n’aime pas un bouquin, c’est encore plus rare que je finisse avec une impression qui ne peut guère se résumer autrement que par “dafuq?” How to Live Safely in a Science-Fictional Universe, de Charles Yu, entre pourtant dans cette catégorie.
En faisant un peu de ménage pré-déménagement dans nos rayonnages, je suis tombé sur The Door into Summer, de Robert Heinlein, un autre classique que je n’avais pas lu et que j’ai dévoré en quelques soirées. Paru en 1957, c’est de la science-fiction de divertissement, un truc assez léger.
Quatrième et dernière saison pour Continuum, la série canadienne de voyage dans le temps de Simon Barry qui met en scène Kiera Cameron, une policière de 2077, propulsée à notre époque en même temps qu’un groupe de révolutionnaires qui comptent bien changer l’histoire.
En rédigeant il y a peu le billet sur Jack of All Trades, je me suis aperçu que je ne vous avais pas parlé de Sleepy Hollow. Ce n’est pas très malin, parce que cette série fantastique, vaguement inspirée par le film éponyme, mérite qu’on s’y intéresse.
Dans un avenir proche, un gigantesque monument apparait en Thaïlande, commémorant la victoire d’un certain Kuin vingt ans et trois mois plus tard. Ainsi commence Les Chronolithes, roman de Robert Charles Wilson, qui emprunte autant au thriller qu’à la science-fiction et qui joue de façon assez élégante avec la notion de paradoxe temporel. J’avais vu …
À la veille d’un assaut majeur contre les Mimics, les extra-terrestres qui ont envahi la Terre, le major Cage, des relations publiques de l’armée US, a la brillante idée de menacer un général britannique pour éviter d’être envoyé couvrir le front. Du coup, le voilà rétrogradé, classé déserteur et… envoyé sur le front. Où il meurt. C’est ainsi que commence Edge of Tomorrow, un des blockbusters de l’été.