OctoGônes 2023
Une semaine après mon retour de Cracovie, je reprends la route. Certes moins loin, puisque c’est pour OctoGônes, la convention de jeux lyonnaise.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Une semaine après mon retour de Cracovie, je reprends la route. Certes moins loin, puisque c’est pour OctoGônes, la convention de jeux lyonnaise.
Et allez c’est reparti pour une nouvelle édition d’OctoGônes, la grande convention de jeux lyonnaise – peut-être même la plus grande de France!
Je ne saurais dire si l’Ère du Grand Bordel est terminée, mais le fait qu’une convention comme OctoGônes ait pu se tenir peut être vu comme un signe positif.
Samedi passé, j’ai participé à une table ronde “Témoignages: création de jeux de rôle” organisée par OctogOnline. D’où ces quelques conseils.
Une sinistre malédiction pèse sur la convention Octogônes: le dimanche, il pleut. Cette édition 2019 de la grande convention de jeux lyonnaise n’a pas fait exception, mais c’est le principal défaut qu’on peut lui trouver. Le fait qu’on finisse sur les rotules ne compte pas: c’est comme ça à toutes les conventions.
Ce week-end, premier d’octobre, c’était la désormais habituelle convention OctoGônes, à Lyon. Je dis « désormais habituelle » parce que ça fat bien la sixième à laquelle je participe avec les amis et collègues de 2D Sans Faces.
Quand on est rôliste et dans un grand quart sud-est de la France, le passage obligé de la rentrée, c’est OctoGônes. Ça fait déjà quelques éditions que cette convention lyonnaise s’est taillée une solide réputation, avec des jeux de tous types, mais également un pôle littéraire.
Il y a des semaines comme ça où les événements s’entassent à grande vitesse. Techniquement, ça avait déjà commencé samedi passé avec le concours de cosplay à Yverdon (mes photos sont sur Flickr), le boulot n’a pas été en reste avec des réunions en rafale et ce week-end à Lyon va être plutôt actif. Jugez-en plutôt: