Il y a des rendez-vous ludiques qu’il est difficile de manquer – même quand tout conspire contre. OctoGônes, la convention lyonnaise, est de ceux-ci.
Une semaine après mon retour de Cracovie, je reprends la route. Certes moins loin, puisque c’est pour OctoGônes, la convention de jeux lyonnaise.
Et allez c’est reparti pour une nouvelle édition d’OctoGônes, la grande convention de jeux lyonnaise – peut-être même la plus grande de France!
Je ne saurais dire si l’Ère du Grand Bordel est terminée, mais le fait qu’une convention comme OctoGônes ait pu se tenir peut être vu comme un signe positif.
Une sinistre malédiction pèse sur la convention Octogônes: le dimanche, il pleut. Cette édition 2019 de la grande convention de jeux lyonnaise n’a pas fait exception, mais c’est le principal défaut qu’on peut lui trouver. Le fait qu’on finisse sur les rotules ne compte pas: c’est comme ça à toutes les conventions.
Ce week-end, premier d’octobre, c’était la désormais habituelle convention OctoGônes, à Lyon. Je dis « désormais habituelle » parce que ça fat bien la sixième à laquelle je participe avec les amis et collègues de 2D Sans Faces.
Quand on est rôliste et dans un grand quart sud-est de la France, le passage obligé de la rentrée, c’est OctoGônes. Ça fait déjà quelques éditions que cette convention lyonnaise s’est taillée une solide réputation, avec des jeux de tous types, mais également un pôle littéraire.
Il y a des semaines comme ça où les événements s’entassent à grande vitesse. Techniquement, ça avait déjà commencé samedi passé avec le concours de cosplay à Yverdon (mes photos sont sur Flickr), le boulot n’a pas été en reste avec des réunions en rafale et ce week-end à Lyon va être plutôt actif. Jugez-en plutôt:
Pour les rôlistes européens, s’il doit y avoir une grande convention francophone de l’automne, c’est certainement OctoGônes, sis dans la capitale des Gaules – autrement dit, Lyon. Pour cette nouvelle édition, l’événement a quitté l’Espace Tête d’Or, devenu trop étroit, pour investir une nouvelle salle: l’Espace Double Mixte, sur le campus universitaire de Villeurbanne.
S’il est un rendez-vous incontournable de l’agenda rôliste en automne, c’est sans doute OctoGônes, la convention lyonnaise – comme son nom l’indique. Rendez-vous centré autour du jeu – sous de multiples déclinaison, plateau, figurines, rôle et grandeur-nature – mais aussi avec de plus en plus d’acteurs des littératures de l’imaginaire, cette cinquième édition était des plus réussies.
On reconnaît souvent les bonnes conventions au fait qu’on rentre à la maison sur un petit nuage, malgré la fatigue, et qu’il nous faut la semaine pour s’en remettre – ainsi que, pour un exposant, qu’on rentre avec beaucoup moins de stock qu’on est parti. L’édition 2013 d’Octogônes, la convention lyonnaise, en fait partie.
Il y a des conventions qui sont placées sous le signe de la malédiction ; c’est ainsi, on n’y peut pas grand-chose, mais ce n’est pas forcément rédhibitoire. Par exemple, cette convention lyonnaise d’Octogônes ne s’annonçait pas exactement sous les meilleurs auspices, mais elle s’est au final plutôt bien déroulée.
Ce soir, je décanille droit après le boulot pour Lyon et sa convention Octogônes, convention qui aurait dû marquer la sortie de la campagne Tigres Volants. “Aurait dû”, comme dans “ça n’aura pas lieu”: tous les exemplaires ont bien été imprimés et chargés dans le camion et ils arriveront bien vendredi après-midi, mais pas à Lyon. Tout a été livré dans l’entrepôt de notre distributeur, dans la banlieue parisienne.
Cette édition 2011 d’Octogônes a beau n’être que la deuxième du nom, je dois avouer que c’est un événement d’un fort beau gabarit.
Le double album live 20 ans et des poussières de Noz représente pour moi une première: c’est le premier album que j’achète en téléchargement seul. Je préfère toujours acheter des albums “physiques”, même si ce n’est pas très écolo, mais,… Continue Reading →
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