On reconnaît souvent les bonnes conventions au fait qu’on rentre à la maison sur un petit nuage, malgré la fatigue, et qu’il nous faut la semaine pour s’en remettre – ainsi que, pour un exposant, qu’on rentre avec beaucoup moins de stock qu’on est parti. L’édition 2013 d’Octogônes, la convention lyonnaise, en fait partie.
La fine fleur de 2 dés sans faces – plus moi pour rétablir l’équilibre – avait fait le déplacement en force, avec armes, bagages, bouquins et bières. Et, pour dire qu’on n’avait pas vraiment de nouveautés (l’actualité la plus récente étant la campagne lupanar et la mise en ligne de Tigres Volants en Creative Commons), on a presque tout vendu.