Conan le Barbare niveau zéro

Dans “Conan”, il y a “con”. Je sais que cela va paraître au mieux hérétique et plus probablement trollesque à un certain nombre de mes lecteurs, mais, trois jours après, je suis encore un peu énervé. Car, ce lundi, j’ai comblé une lacune culturelle et regardé Conan le Barbare.

Ce n’était pas une bonne idée. Au moins ça me permet d’en dire du mal en toute connaissance de cause.

Car, avec d’autres bouses (du genre Matrix), Conan le Barbare fait partie du panthéon cinématographique des rôlistes. Si cela ne me mystifie pas tant que ça, ça me déprime quand même un peu. Ça explique aussi beaucoup de choses sur le fétichisme suspect du rôliste lambda envers les grosses brutes qui cognent en général, les barbares en particulier et, plus généralement, le med-fan.

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Wobbler: Afterglow

Si j’étais taquin, pour cette chronique de l’album Afterglow des Norvégiens de Wobbler, je ferais une redirection sur ma chronique de l’album de Deluge Grander, tant la démarche (sinon la musique) des deux groupes est identique.

Car Afterglow est un album de prog façon années 1970, jusqu’à la couverture, qui évoque Salvator Dali revisité par le petit frère d’un des musiciens (y compris cette fois-ci la typo, dont le seul bon goût est d’être lisible).

Musicalement, on reste dans les débuts de Genesis, avec des accents du style Canterbury et pas une once de modernité, ni dans le fond, ni dans la forme (à part peut-être le support, CD ou MP3). Cela ne veut pas dire que ce soit mauvais, juste que cela manque pour moi totalement d’originalité et, partant, d’intérêt au-delà du fait que, somme toute, la musique reste agréable.

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