Coheed and Cambria: The Unheavenly Creatures

Coheed and Cambria: The Unheavenly Creatures

Ça fait un moment que je ne vous avais plus parlé de Coheed and Cambria. Leur nouvel album The Unheavenly Creatures – ainsi qu’un article paru chez mon confrère L’Ours inculte – est l’occasion de revenir sur ce qui est un chouïa plus développé que simplement un énième groupe américain de metal progressif.

Coheed and Cambria: The Afterman: Descension

The Afterman: Descension est le second volet d’un double album de Coheed and Cambria, le groupe américain de métal progressif à tendances punk. C’est aussi un autre chapitre de leur concept de science-fiction, The Amory Wars. Ce qui serait très bien si j’avais la moindre idée de quoi ça parle.

Coheed and Cambria: The Afterman: Ascension

Coheed and Cambria continue son petit bonhomme de chemin musical et narratif, avec ce Afterman: The Ascension, premier album d’un dyptique qui fait également suite aux concepts albums précédents. Le tout formant un ensemble narratif connu sous le nom de “The Amory Wars“. C’est très concept.

Le métal progressif de Coheed and Cambria comporte toujours autant d’influences, qui finissent par se confondre dans le creuset à haute énergie du groupe pour former un alliage qui n’a plus grand-chose de commun avec les éléments originels.

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Coheed and Cambria : The Year of the Black Rainbow

Groupe américain de métal progressif à grand spectacle, Coheed and Cambria débarque avec son quatrième album, The Year of the Black Rainbow. Après quelques hésitations, je l’ai acheté et, au final, je ne le regrette vraiment pas.

À part « métal progressif à grand spectacle », qui est bien gentil mais qui n’explique pas grand-chose, il est assez difficile de qualifier la musique de Coheed and Cambria. Il faut dire que les influences s’y télescopent avec une force et une vitesse qui donnerait le tournis au LHC du Cern ; s’il existe l’équivalent musical du boson de Higgs, il y a des chances qu’il soit observable dans cet album.

À la base, j’ai un peu l’impression d’entendre le résultat d’une folle orgie qui, dans les années 1980, aurait rassemblé les membres de Midnight Oil (pour la voix) et AC/DC (pour le côté hard rock), quelque part dans le bush australien, et dont l’enfant maudit aurait fui aux USA.

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