Ça faisait un petit moment que je voulais me créer une page de liens, façon Linktree, mais je me méfie un peu des outils centralisés. J’ai trouvé Linkstack.
Sur ce blog, si je sors un nom comme Mastodon, vous allez immédiatement penser au groupe américain de stoner/prog-metal, surtout qu’ils viennent de sortir un album. Dans le cas présent, Mastodon est un nouveau réseau social – mais rassurez-vous, je parlerai de l’album plus tard.
Je sais ce que vous vous dites: résolutions de nouvelle année, gnagnagna. Ouais, je sais, il y a de ça, mais c’est aussi l’occasion, d’une part de revenir sur l’année passée et de jeter un premier regard sur la nouvelle…. Continue Reading →
Tiens, un outil de financement que j’ai quelque peu oublié de mentionner dernièrement – jusqu’à mon dernier bilan Flattr – c’est Liberapay. Il s’agit d’une initiative à but non lucratif, fondée en France il y a six mois, qui propose un système de dons récurrents, sans contrepartie.
Autre énième passage obligé, le billet “résolutions pour la nouvelle année”. Soyons clair: ce n’est pas mon exercice préféré, mais comme je m’y suis déjà livré depuis quelques années, autant continuer. Et d’ailleurs, “continuer” sera le mot-clé de cette année.
En ces temps où la méconnaissance d’Internet et d’un peu tout ce qui concerne le numérique nous vaut un vote aussi dangereux qu’inutile, Jérôme Choain, dit JCFrog, vient de poser une fort belle réponse à intitulée Lettre aux analphabètes sur son blog.
Ceux d’entre vous qui ont de la mémoire (ou un bon moteur de recherche) se souviendront peut-être de mes expériences passées avec Diaspora, le réseau social open-source. Pour être bref, ce n’était pas très positif. Pourtant, depuis quelques mois, j’y suis retourné et je suis actif sur Framasphère, le nœud Diaspora mis en place par Framasoft.
Après le bilan, il est aussi l’heure de penser aux résolutions pour 2015. On va faire simple: ce seront grosso-modo les mêmes que pour 2014. Je vais donc continuer vers l’objectif de légèreté, vers l’exploration et la promotion de solutions open-source et continuer également dans le domaine de la création.
Je n’aime toujours pas les traditions, mais comme cela fait quelques années déjà que sacrifie à celle-ci, autant continuer avec les résolutions de nouvelle année – et, pour commencer, en profiter pour tirer un petit bilan de celles des années précédentes.
Or donc, début janvier, je prenais la “bonne résolution” d’essayer plus de solutions open-source pour remplacer mes habituels logiciels. Qu’en est-il six mois plus tard?
(Indice: ce billet s’inscrit dans le cadre du défi “Summer of Fail – l’été de l’échec”.)
Un de ces quatre, il faudra que je vous fasse un rapport de ma transition vers plus de logiciels libres (spoiler: c’est contrasté). Je peux déjà vous dire que Firefox est devenu mon navigateur par défaut et que c’est sans doute la raison pour laquelle la récente annonce de la fondation Mozilla d’afficher des pubs dans le navigateur m’a quelque peu agacée.
Ce n’est un secret pour personne: j’aime bien les uchronies et les technologies rétrofuturistes. C’est pourquoi l’intérêt de mon confrère en trucs rôlistes idiots – j’ai nommé Thias – pour ce qu’il appelle un Jeu Dieselpunk a, par contrecoup, éveillé le mien.
Tiens, puisque, la semaine passée, je vous parlais de mes pseudo-bonnes résolutions (elles ne compteront vraiment comme telles quand je les aurai réalisées), en voici une que j’ai commencé à mettre en application: l’usage de logiciels open-source. On va dire que c’est une sorte d’effet Snowden en retard…
À la lecture du dernier billet en date de Charles Stross, intitulé avec la subtilité coutumière de l’individu Why I want Bitcoin to die in a fire, je suis en train de réviser mon opinion plutôt positive sur cette monnaie.
J’avoue: c’est moi qui ai tué Internet. Oh, bien sûr, pas tout seul et pas volontairement, mais, objectivement, c’est ma responsabilité. La raison de cet aveu est à trouver dans un récent article de Slate, édition française, intitulé Notre Mai-68 numérique est devenu un grille-pain fasciste.
Avant de parler de l’article ‘Host your own’ is cynical, de tante.blog, je dois dire que j’ai beaucoup de respect pour les gens qui font tout eux-mêmes, y compris – et, sans doute, surtout – dans le domaine de l’informatique. Principalement parce que moi, j’ai du mal, pour rester poli.
Donc, l’apocalypse n’aura eu que six mois de retard, vu que c’est pour juillet 2013 que Google a annoncé la fin de son service de flux RSS Google Reader. À moins que vous reveniez aujourd’hui de trois semaines au Tibet ou en Corée du Nord, vous en avez dû en entendre parler. C’est ennuyeux.
Dans notre série “je suis l’équivalent geek d’une victime de la mode”, j’ai décidé de tester les Bitcoins. Officiellement, il s’agit d’une monnaie dématérialisée, décentralisée et open-source; officieusement, pour les francophones, c’est une excuse pour faire des jeux de mots foireux à base d’attributs virils et de canards.
Cela fait un petit moment que je me suis intéressé au réseau social Diaspora. Lancé en 2010, au moment des premières sérieuses alertes sur ce que l’on qualifiera charitablement de libertés prises par Facebook avec les données privées de ses utilisateurs, l’idée d’avoir un réseau social open-source et décentralisé faisait du sens.
On va encore dire que je me fais une crise de la quarantaine, mais je pense sérieusement abandonner à la fin de l’année 2012 l’adresse électronique chez Span.ch que je trimbale depuis maintenant plus de quinze ans.
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