Draw Me a Sheep: Abracadabrantesque
Qu’obtient-on quand on mélange Saint-Exupéry et Jacques Chirac? Abracadabrantesque, de Draw Me a Sheep. Du bon, mais du secoué.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Qu’obtient-on quand on mélange Saint-Exupéry et Jacques Chirac? Abracadabrantesque, de Draw Me a Sheep. Du bon, mais du secoué.
Je ne sais pas à quoi carburent Arnaud Quevedo et ses potes, mais ce 2nd Life est le troisième album en autant d’années pour Arnaud Quevedo & Friends.
Il est des groupes vers lesquels on revient un peu comme une madeleine de Proust. The Tangent est de ceux-ci, avec Songs from the Hard Shoulder.
Bénis soient les longs week-ends, car ils me permettent de filmer et de monter les épisodes de Radio-Erdorin en temps et heure.
Horns, tel est le nom de ce projet et de son album éponyme (à moins que ce ne soit le contraire), qui mélange swing, jazz façon big-band et metal.
Il y a une année, je vous parlais de Arnaud Quevedo & Friends. Le groupe de jazz-prog a sorti depuis un nouvel album, intitulé Roan.
C’est au hasard d’un échange sur les réseaux que j’ai découvert Electric Tales, album signé Arnaud Quevedo & Friends – échange avec le susnommé, d’ailleurs.
Bientôt vingt ans que The Tangent trimbale son mélange prog-jazz-journal de bord. Auto Reconnaissance est le onzième album studio et il ne change pas beaucoup la formule. #progrock #retroprog
Il y a les groupes mainstream, les trucs expérimentaux et puis les machins franchement barrés, comme Quelque part entre la guerre et la lâcheté de Dronte.
C’est l’histoire d’un type qui savait pas trop quoi faire un vendredi soir. Il y a un contact sur Facebook qui lui dit “y’a un concert de Mörglbl au Bouffon de la Taverne, tu viens?” Et lui, il dit oui. Le type, c’est moi, mais j’imagine que vous l’aviez deviné.
Peu de groupes peuvent se vanter de faire vraiment du metal progressif, c’est à dire une musique vraiment puissante et vraiment complexe. Tetrafusion, quatuor américain originaire de Louisiane, s’approche de cet idéal avec son deuxième album, Dreaming of Sleep.
Dans la série “tonton Alias, c’est quelqu’un de compliqué dans sa tête”, aujourd’hui le rock progressif instrumental. En résumé: ce que je préfère souvent dans le prog, ce sont les passages instrumentaux, mais j’ai plus de mal avec les albums purement instrumentaux, comme ce Prisme de M’Z, qui ne manque par ailleurs pas de qualités.
Retour à un format plus classique pour ce deuxième Restes du samedi de la nouvelle année, avec trois groupes. L’un est plutôt connu – Diablo Swing Orchestra – le deuxième issu d’un groupe un peu connu – Offworld – et le troisième – Siljan – des p’tits jeunes qui débutent.
Dodecaedro de Glass Mind est presque l’illustration parfaite de la relation paradoxale que j’ai avec les albums instrumentaux: d’un côté, la voix est souvent le point qui me gêne le plus dans un groupe et, d’autre part, sans chant, les morceaux ont tendance à se ressembler.
Quand on pense au rock progressif et plus particulièrement au néo-prog, le Michigan n’est pas forcément la région à laquelle on pense en premier. C’est pourtant de Lansing, dans cet État américain, que vient Jim Alfredson, le claviériste derrière The Game of Ouroboros, ce premier album de THEO.
Il y a des gens chez qui le ouate-de-phoque – WTF pour les intimes – prend des dimensions d’art majeur. Déjà que Porcupine Tree nous avait gratifié de quelques moments bien délirants, mais voici que son batteur, Gavin Harrison, se prend de faire un album intitulé Cheating the Polygraph, où il reprend des titres du groupe à la sauce jazz, façon big band.
Je vous en reparlerai prochainement, mais il semble que j’ai enfin trouvé une utilité au réseau social Diaspora, que j’ai re-rejoint récemment: ça me permet de découvrir des nouveaux groupes et musiciens peu connus, comme Clément Belio et son fort bien nommé premier album, Contrast.
Manifestement pas dégoûté des concerts, me voici reparti, moins d’un mois après le Night of the Prog, pour les Docks de Lausanne. C’est le Canadien fou, Devin Townsend, et son “Project” qui s’y collent pour me refiler ma dose de métal épico-débile, avec en première partie Shining et leur jazz-métal barré de la tête.
Kindly Bent to Free Us, le dernier opus en date du groupe américain Cynic, apporte une preuve supplémentaire à l’adage qui dit qu’en rock progressif, il ne faut s’étonner de rien (adage que je viens donc d’inventer à l’instant, au cas où vous vous poseriez la question). Et surtout pas d’un groupe qui mélange free-jazz et métal progressif.
Ne vous fiez pas à la pochette: Conjure, le dernier album de Herd of Instinct, n’est pas un énième avatar de goth-métal symphonique. Le groupe texan signe ici un deuxième album instrumental qui allie rock progressif, jazz, RIO, space-rock et pas mal d’autres influences.