Le post-rock sait parfois être explosif. Parfois pas et Sigur Rós est assez typique de l’approche « parfois pas », comme l’atteste leur nouvel album, ÁTTA.
Il est paradoxal qu’un groupe comme Bruit ≤ fasse des albums extrêmement mélodiques, comme c’est le cas ici avec Apologie du temps perdu vol. 1.
Un jour, j’ai raté un album de Kauan. Je me suis promis de ne plus faire la même erreur et voici donc ma chronique de leur nouvel opus, Ice Fleet.
Yo, les vieux rôlistes! Dead Can Dance est de retour et, avec ce nouvel album Dionysus, vous allez enfin avoir du nouveau matos pour sonoriser vos parties! Ou pas.
Un titre en forme d’adieu, une musique plus planante et sombre que d’habitude, une couverture ultradépressive signée Fursy “Les Discrets” Tessier: Epitaph, le dernier album de God Is an Astronaut aurait, de prime abord, de quoi inquiéter. Le groupe irlandais songerait-il à remettre leurs harmoniques post-rock au placard – voire pire?
Allez, on reprend les bonnes habitudes avec les [whatever] du samedi, dans le cas présent une petite sélection d’albums courts, EP et autres, qui ont atterri dans ma liste de lecture ces dernières semaines. Sans surprise, il y a beaucoup d’instrumental, avec la bitpop de The Algorithm, le prog/post-rock de Flicker Rate et le post-rock ambiant de Vinc2.
Après la mise en bouche de Miscellany, le mini-album paru au début de l’année, c’était avec une certaine impatience que j’attendais la sortie de Belighted, le “vrai” nouvel album du duo russe connu sous le nom de iamthemorning. Après plusieurs écoutes, je suis un peu déçu et un peu frustré, la frustration étant principalement due au fait que je ne comprends pas très bien d’où vient ma déception.
Amateurs de choses réellement bizarres, bienvenue dans cette chronique du dernier album de Ulver, Messe I.X-VI.X. Comme son nom l’indique, il s’agit d’une messe, au sens musique classique du terme – commandée par le ministère norvégien de la culture. Parce que fuck yeah Norvège! C’est d’autant plus cocasse quand on sait que Ulver est, à la base, un groupe de black métal.
J’ai hésité un long moment avant d’acquérir ce live de Dead Can Dance, simplement intitulé In Concert. J’aurais peut-être dû hésiter un peu plus, car je me suis retrouvé avec Anastasis en prime – et à double, du coup.
De bleu! Revoilà [bleu], l’improbable duo franco-suisse composé de Gilles Grimaitre et Emmanuel Vion-Dury, qui, après Sincère autopsie de la finesse, revient avec un nouvel OVNI musical au nom encore plus improbable de clara altantsegtseg. Une collaboration avec plus de quarante artistes pour un résultat déconcertant, mais impressionnant.
Or donc, avec cet album Anastasis, Dead Can Dance est de retour, et il y eut moult réjouissances! Si vous ne connaissez pas Dead Can Dance et que vous connaissez des personnes qui ont été rôlistes dans les années 1990, évitez de le leur mentionner si vous tenez à vos rotules.
Si vous cherchez le contraste maximum avec les derniers albums chroniqués ici-même, ne cherchez pas plus loin que Valtari, le petit dernier de Sigur Rós. Le quatuor islandais, catalogué “post-rock” faute de mieux, nous livre ici une galette dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle donne dans l’ambiante.
Alors, en achetant ce Storm Corrosion, album éponyme fruit de la collaboration entre Steven Wilson (Porcupine Tree et un million d’autres projets) et Mikael Åkerfeldt (Opeth), vous vous attendiez à du gros métal qui râpe et qui pète, hein? Naïfs que vous êtes! Pour reprendre une tournure de phrase que j’avais déjà utilisé précédemment, il y a dans cet album considérablement plus de corrosion que de storm.
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