Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag Marillion

Marillion: One Hour Before It’s Dark

Ah, Marillion! Un nom qui claque au vent de l’histoire du rock progressif. Et ce nouvel album, One Hour Before It’s Dark, est-ce qu’il claque, lui aussi?

Jump: Over the Top

La question du jour: à quel moment un album cesse de ressembler à un hommage pour faire figure de pompage embarrassant? Over the Top, du groupe britannique Jump, est à deux doigts de faire figure d’illustration à cette interrogation.

Marillion: F.E.A.R. (Fuck Everyone And Run)

Ah, Marillion! Ceux qui ont longtemps été mon groupe préféré ont sorti un nouvel album, intitulé F.E.A.R – pour Fuck Everyone and Run. Donc, vous qui entrez dans cette chronique, abandonnez tout espoir d’objectivité! Enfin bon; c’est mon blog, vous… Continue Reading →

Night of the Prog 2015, deuxième jour

Cet article est le numéro 3 d'une série de 5 intitulée Night of the Prog 2015

La météo, radieuse la veille, nous gratifie d’ondées matinales. Rien de tel pour se réveiller de bonne humeur qu’une tente dont l’atmosphère est saturée d’humidité et des douches privées d’eau chaude. Qu’à cela ne tienne: on n’est pas là pour se la couler douce, y’a Night of the Prog, deuxième jour! Avec un programme de folie, en sus.

Steve Rothery: The Ghosts of Prypiat

Trente ans après les faits, la catastrophe de Chernobyl continue de marquer les esprits et les musiciens, puisqu’après The Taste of Wormwood de Philippe Luttun, c’est Steve Rothery qui propose un album sur ce thème, The Ghosts of Prypiat. Oui, ce Steve Rothery: le guitariste de Marillion. Et oui, c’est son premier album solo, curieusement.

Synaesthesia / A Liquid Landscape / Dream the Electric Sheep / Clepsydra / Be Gabriel / Anathema / Marillion au Night of the Prog Festival 2014

Deuxième jour du festival Night of the Prog. Le lendemain matin, pas de repos pour les braves – ou si peu : on reprend la route de l’amphithéâtre pour midi.

Mick Pointer Band: Marillion’s “Script” Revisited

Mick Pointer, premier batteur de Marillion, puis membre fondateur d’Arena, est à l’origine de ce Marillion’s “Script” Revisited, publié sous le nom de Mick Pointer Band. Et j’ai beau retourner le problème dans tous les sens, je ne vois pas quel est l’intérêt de la démarche.

DeeExpus: King of Number 33

Le deuxième album de DeeExpusKing of Number 33, fait partie du lot de disque que j’ai raflé à Paris il y a dix jours; en général, cette descente sur le rayon “rock progressif” de Gibert Musique se solde par beaucoup d’achats impulsifs et, en général, pas mal de déceptions. Cette fournée aura cependant été particulièrement faste et cet album est probablement le meilleur du lot, un pur bijou de néo-prog contemporain.

Edison’s Children: In The Last Waking Moments…

Il y a des albums qui vous frappent immédiatement et d’autres pour lesquels l’impression est plus diffuse et prend un certain temps d’écoute avant de d’installer. In The Last Waking Moments…, de Edison’s Children, fait partie de la seconde catégorie.

Marillion: Sounds That Can’t Be Made

Je me rappelle d’une époque où Marillion était mon BEST FAVORITE BESTEST BAND EVAR! ou quelque chose dans ce goût-là. Cette époque est aujourd’hui lointaine, mais, au risque de me pourrir ma réputation d’anti-nostalgique hardcore, je dois avouer que je retrouve toujours dans les albums récents, comme ce Songs That Can’t Be Made, quelque chose qui me renvoie à cette période.

Steve Hogarth & Richard Barbieri: Not the Weapon but the Hand

Encore un album bizarre. Ça devrait être le dernier avant un moment. J’espère. Donc, Not the Weapon but the Hand est le fruit de la collaboration entre Steve Hogarth et Richard Barbieri. Si le premier évoque instantanément Marillion, le second me fait immanquablement penser à la variété italienne, qui m’est moins insupportable que la variété française pour la seule raison que je n’en comprends pas les paroles.

Harvest: Chasing Time

Deuxième album pour le groupe espagnol – pardon: néerlando-catalan – de néo-prog HarvestChasing Time reprend en grande partie les recettes de Underground Community, leur précédent effort, en y rajoutant une bonne dose d’énergie. C’est une bonne nouvelle.

Nordagust: In the Mist of Morning

Le nordagust, l’esprit du vent du nord, souffle indubitablement sur le nouvel album de NordagustIn The Mist of Morning. Contrairement à ce que laisse penser la pochette, on n’est pas dans le post-black métal, mais un rock progressif lent, mais riche.

Riverside : Memories in My Head

Les bons albums sont toujours trop courts et Memories in My Head de Riverside vérifie doublement cet adage, car non seulement c’est un excellent album, mais en plus il est réellement trop court.

Harvest: Underground Community

Underground Community, dernière galette en date du groupe espagnol Harvest, est plutôt du genre calme et subtil, avec des mélodies aux frontières du pop inspirées en grande partie par Marillion.

Gazpacho: Missa Atropos

Encore un album de Gazpacho ! Ça devient une manie. Rectification : encore un très bon album de Gazpacho que ce Missa Atropos. Si vous n’aviez pas suivi les quelques épisodes précédents, apprenez que Gazpacho est un groupe de rock progressif… Continue Reading →

Crystal Palace: Reset

Visiblement, les Allemands de Crystal Palace aiment prendre leur temps: Reset, leur dernier album en date, est le cinquième en seize ans d’existence et vient sept années après leur précédent (si l’on excepte un bidule acoustique sorti il y a à peine quatre ans – une paille!). Bon, en même temps, ce n’est pas un gros problème, ni même une sorte de record (dans cette catégorie, Starcastle va être dur à détrôner).

Moon Safari: [blomljud]

Cette fois, je ne vais pas vous faire le coup de “Moon Safari est un groupe génial et [blomljud] un excellent album et on ne m’avait rien dit”. Pas parce que ce n’est pas vrai, mais parce que je le… Continue Reading →

Ephemeral Sun: Harvest Aorta

Ça fait donc deux albums du groupe américain Ephemeral Sun en peu de temps et, comme je le supposais, ce Harvest Aorta n’a pas grand-chose à voir avec son prédécesseur, Broken Door. Passons rapidement sur le joli combo nom du… Continue Reading →

Pendragon: Concerto Maximo

Trente ans de Pendragon. Qui, en 1985, l’aurait parié? Certainement pas moi, qui voyait ce groupe comme le petit poucet de la “bande des quatre” (avec Marillion, IQ et Twelfth Night). Concerto Maximo, double CD live enregistré en Pologne en 2008, vient me donner tort. Il y a des fois où je suis content d’avoir tort.

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