Le rock progressif ne peut pas mourir parce qu’il ne sait pas s’arrêter. Illustration avec le nouvel album de Clepsydra, The Gap.
Deuxième jour du festival Night of the Prog. Le lendemain matin, pas de repos pour les braves – ou si peu : on reprend la route de l’amphithéâtre pour midi.
Ah, que je n’aime pas chroniquer des albums qui m’ont déçu! Surtout quand ils ont 1) un passé glorieux et 2) des qualités rédemptrices. C’est le cas de The Chandrasekhar Limit, du groupe suisse Zenit. Si au moins il avait été complètement naze et le fait d’inconnus, j’aurais pu le casser sans vergogne ou, mieux, l’ignorer.
Je ne suis pas un grand fan du sous-genre dit “rock progressivo italiano” et qui désigne le style musical typique d’une pétée de groupes transalpins qui me sont tous plus inconnus les uns que les autres. Néanmoins, je me suis laissé tenter par le premier album éponyme de Il tempio delle clessidre.
Il était une fois un groupe de rock progressif suisse qui s’appelait Shakary. Non, pas Shakira: j’ai bien dit rock, progressif et suisse! Jamais entendu parler? Moi non plus, jusqu’à peu. Et pourtant…
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑