Ah, que je n’aime pas chroniquer des albums qui m’ont déçu! Surtout quand ils ont 1) un passé glorieux et 2) des qualités rédemptrices. C’est le cas de The Chandrasekhar Limit, du groupe suisse Zenit. Si au moins il avait été complètement naze et le fait d’inconnus, j’aurais pu le casser sans vergogne ou, mieux, l’ignorer.
Mais Zenit est (avec Shakary) un des groupes qui sont nés des cendres de Clepsydra et, du coup, c’est dur de l’ignorer. Surtout que si, dans son ensemble, la musique de Zenit est un rock progressif de type néo-prog assez bateau (d’où déception), elle offre quelques plages instrumentales de toute beauté (d’où qualités rédemptrices dilemmogènes).