Alors voilà, l’édition 2015 du Night of the Prog s’est terminée il y a presque une semaine, après trois jours de folie – trois, parce que c’était l’édition du dixième anniversaire. Je ne vais pas – trop – revenir sur les groupes, je vous ai déjà fait trois articles sur le sujet. Mais un tel festival, ce n’est pas que les concerts.
La météo, radieuse la veille, nous gratifie d’ondées matinales. Rien de tel pour se réveiller de bonne humeur qu’une tente dont l’atmosphère est saturée d’humidité et des douches privées d’eau chaude. Qu’à cela ne tienne: on n’est pas là pour se la couler douce, y’a Night of the Prog, deuxième jour! Avec un programme de folie, en sus.
Avertissement sans frais, je reviens de la Planète Prog, aussi connue sous le nom de Night of the Prog Festival, au Loreley Freilichtbuhne, en Allemagne. Si vous n’aimez pas le rock progressif, je vous conseille de faire un break de mon blog cette semaine, parce que ça va sentir la musique de vieux. Mais si vous aimez ça, je peux vous donner dix bonnes raisons d’aller à ce festival.
Il y a des fois où je devrais me méfier de mon enthousiasme. À dire vrai, je soupçonne que je devrais toujours me méfier de mon enthousiasme. Témoin mon départ pour cette nouvelle édition du Night of the Prog Festival, sis au Loreley Freilichtbühne, dans la vallée du Rhin.
Deuxième jour du festival Night of the Prog. Le lendemain matin, pas de repos pour les braves – ou si peu : on reprend la route de l’amphithéâtre pour midi.
Et c’est donc reparti pour le Night of the Prog Festival treize groupes et vingt-deux heures de rock progressif dans un des plus beaux sites du monde.
— Tu disparais pendant trois jours, puis tu nous appelles depuis un communicateur public pour nous demander de venir te chercher après un festival de musique ? Enfin, si on peut considérer cette hystérie comme de la musique.
C’est rien de dire que d’aller de Genève à la riante métropole Sankt Goarshausen, non loin du site de la Lorelei, est une expédition : trois changements de train, plus de huit heures de trajet. Rien que du bonheur !
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