The Pineapple Thief: Magnolia

The Pineapple Thief: Magnolia

Il est facile de comparer The Pineapple Thief avec Porcupine Tree – à commencer par les initiales et, désormais, la même maison de disque – mais, avec Magnolia, leur dernier album, le groupe britannique prouve une fois de plus que leur style va au-delà de la simple copie et ajoute notamment une énergie impressionnante.

 

Bruce Soord with Jonas Renkse: Wisdom of Crowds

Bruce Soord, c’est Pineapple Thief; Jonas Renkse, c’est Katatonia. Le premier écrit, le deuxième chante et mon tout, c’est Wisdom of Crowds, un album bizarroïde qui n’a à peu près rien à voir avec les deux groupes précités.

Le style de Wisdom of Crowds, c’est du pop-rock alternatif mâtiné d’électro, voire de lounge, tendance mélancolique. Il paraît que ça plait, mais si je ne peux pas dire que c’est un mauvais album, le style me laisse franchement de marbre.

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The Pineapple Thief: All the Wars

Je suis un peu ennuyé avec All the Wars: j’ai déjà dit tellement de bien de The Pineapple Thief, groupe anglais de rock progressif, dont les deux précédents albums Tightly Unwound et Someone Here Is Missing m’avaient enthousiasmé, que je me retrouve quelque peu perplexifié à l’écoute de ce nouvel album.

Non qu’il soit réellement mauvais en soi, mais j’ai la confuse impression que le groupe a perdu son côté magique et produit ici quelque chose qui sonne à mes oreilles comme une redite des précédents albums. Pas mauvais, donc, mais un peu décevant. J’attendais plus, j’attendais mieux.

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The Pineapple Thief: Someone Here Is Missing

Malgré des initiales et un label commun, The Pineapple Thief n’est pas Porcupine Tree et ce nouvel album Someone Here Is Missing est là pour rappeler que s’il y a bien des similitudes entre ce groupe anglais et la bande de Steven Wilson, elles restent bien en-deçà de ce que l’on peut entendre dans des groupes de la même mouvance, dite “post-progressive”.

Au reste, dès les premiers morceaux, on sent qu’on n’a pas affaire à des contemplatifs maniaco-dépressifs. En clair, ça pulse bien dans les chaumières! Les influences de The Pineapple Thief sont également à chercher dans les aspects les plus rock d’Anathema, mais aussi du côté de Muse. Mais ne rêvons pas: il y a certes des aspects plus pop, mais nous n’avons pas ici un concurrent direct issu du Vrai Prog pour la conquête du grand public.

Ou plutôt si: rêvons qu’un producteur ambitieux jette une oreille à Someone Here Is Missing et se dise qu’un “Nothing At Best” a de bonnes chances d’aller chatouiller les oreilles du fan de Muse dans le sens du poil. Imaginons que la patate de “Wake Up The Dead” couplée avec un célèbre réalisateur de clips devienne un succès viral et que la prestation scénique de “3000 Days” devienne l’hymne d’une nouvelle génération.

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Amaseffer “Slaves for Life”: Mon album de l’année 2008

Cet article est le numéro 3 d'une série de 16 intitulée Albums de l'année

J’ai coutume de penser que les traditions, c’est pour les cons (une coutume étant un peu une tradition, ça vous donne une certaine idée de la hauteur d’une telle déclaration), mais ça ne va pas m’empêcher de sacrifier à celle qui consiste à désigner dans ce blog l’album de l’année 2008. Le choix a été …

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The Pineapple Thief: Tightly Unwound

Progressif, post-rock ou les deux? Post-prog, peut-être? Au grand jeu des étiquettes stylistiques, il y a des groupes qui défient toute catégorisation, pas tant parce qu’il sont dans un genre à eux tous seuls, mais plutôt parce qu’ils sont à cheval entre deux genres raisonnablement bien établis. C’est le cas des Anglais de The Pineapple …

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