Incredibles 2

Incredibles 2

Pour la séance rattrapage DVD de cette fin d’année, c’est Incredibles 2 que nous avons choisi. Enfin, le plus difficile a été de trouver un lecteur DVD opérationnel. Bienvenue en 2018! Si cette suite est sortis pas moins de quatorze ans après l’original, elle se situe dans la continuité immédiate du premier.

Brave

Vous aurez peut-être noté que ce blog accueille pas mal de chroniques sous l’appellation “séance rattrapage DVD”. La raison en est que beaucoup de films – notamment des dessins animés – tendent à rester à l’affiche au ciné pendant trop peu de temps pour que je puisse les voir dans de bonnes conditions (une séance en VF 3D à 11 h du matin ne compte pas). C’est le cas de Brave, la production la plus récente des studios Pixar.

Brave, c’est quand même le plus Disney des Pixar que j’ai vu jusqu’à présent: il implique une princesse adolescente, des animaux (plus ou moins) mignons, un contexte ethniquement typé et des chansons. Merida, fille unique d’un roi écossais qui a unifié les clans locaux, s’enfuit pour éviter un mariage arrangé et cherche l’aide d’une sorcière.

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Up

Comme je parle souvent de rock prog, je tiens à préciser que cette rubrique sur Up concerne le nouveau film des studios Pixar et non un album de Peter Gabriel. Comme il est dans la rubrique cinéma, je suppose que la plupart d’entre vous l’ont compris, mais il y a parfois des étourdis. En plus, ça me permet de faire quelque chose de rare: un lien sur un site Disney.

Vous aurez remarqué que j’ai parlé de film et non de film d’animation. D’une part, parce que lorsque l’on parle de Pixar, c’est un pléonasme et, d’autre part, parce que Pixar ne fait pas des “films d’animation”, mais des films qui, accessoirement, se trouvent utiliser l’animation plutôt que des acteurs (autrement que pour les voix, s’entend). C’est leur grande force, mais parfois, ça cause quelques malentendus.

Un de ces malentendus est que c’est forcément un film pour enfants et drôle. Ce n’est pas inexact, mais c’est incomplet: Up, puisqu’on en parle, est un film qui n’est pas que pour les enfants et qui n’est pas toujours drôle. Le premier quart d’heure du film, qui raconte la vie du protagoniste, Carl et de sa femme se conclut par la mort de cette dernière; “drôle” n’est pas exactement le terme qui me vient à l’esprit. Elle est cependant nécessaire, car elle permet d’ancrer Carl dans l’histoire et de faciliter une certaine empathie entre le public et ce vieil homme bougon; le scénario aurait pu aussi la traiter par flashbacks et ellipses, mais je doute que c’eut été aussi efficace.

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