Amarok: Hope
J’étais persuadé de vous avoir déjà parlé de Amarok, le groupe de prog polonais. Ce nouvel album, intitulé Hope, sera l’occasion de combler cette lacune.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
J’étais persuadé de vous avoir déjà parlé de Amarok, le groupe de prog polonais. Ce nouvel album, intitulé Hope, sera l’occasion de combler cette lacune.
Le week-end passé, c’était Guitare en Scène et dimanche, c’était le jour avec Wishbone Ash, Magma et Porcupine Tree à l’affiche. Excusez du peu!
Si je vous dis que Time Will Die and Love Will Bury It, de Rolo Tomassi, est entre Enya et le black-metal, vous allez penser que je me fous de votre gueule.
Si je vous dis que la première chose qui m’est venue à l’esprit en écoutant Blackbox, de Major Parkinson, c’est “tiens, du Alphaville version dark-prog”. À ce stade, vous avez le droit de fuir, mais ce serait dommage. L’album a été encensé par mal de chroniqueurs et non sans raison.
Je suppose que je devrais arrêter d’être surpris par le parcours de Ulver et oublier qu’il y a très longtemps, il s’agissait d’une formation de black-metal. Cela fait déjà pas mal de temps que le groupe a décidé d’explorer d’autres genre et leur dernier album, The Assassination of Julius Caesar, en est une illustration supplémentaire.