Dream Theater: The Astonishing

Dream Theater: The Astonishing

Lorsque Dream Theater a annoncé son nouvel album, The Astonishing, les prog-heads de la planète ont doublement dressé l’oreille. D’abord, parce que Dream Theater et ensuite parce que le groupe américain annonçait un double album, trente-quatre pistes et deux heures et demie de musique.

Melted Space: The Great Lie

Melted Space: The Great Lie

Il y a métal symphonique et métal symphonique; The Great Lie, de Melted Space, appartient plutôt à la catégorie Métal Symphonique. Oui, avec des majuscules. C’est un projet qui, à l’instar des Ayreon de Anthony Arjen Lucassen, réunit plusieurs pointures du genre pour un metal-opera à grand spectacle autour du musicien français Pierre le Pape.

Corpo-Mente

Corpo-Mente

Je crois que l’album de Corpo-Mente est une double illustration que, dans le domaine de la geekerie, quelle qu’elle soit, il y a une tentation à toujours aller plus loin dans le délire. Première illustration: cet album, du groupe éponyme, mélangeant death-metal et opéra lyrique. Deuxième illustration: le fait que ce soit une chronique de Fred Bezies qui m’ait incité à l’acheter et à le chroniquer à mon tour.

The Enid: Invicta

Okay, celui-ci est bizarre. Oui, même pour moi. Il s’agit donc de Invicta, le nouvel album de The Enid, un de ces groupes de rock progressif britanniques à la fois légendaire et obscur (certain diront “légendaire, parce qu’obscur”) qui a traversé près de quatre décennies en sous-marin (avec un gros passage en plongée entre 1999 et 2007).

On pourrait presque croire que The Enid est le groupe à l’origine de l’étiquette “rock progressif symphonique”, à l’ouï du fait que Invicta est un album qui mélange rock progressif et musique symphonique orchestrale, avec plus ou moins de bonheur. Il faut signaler que c’est censé être le deuxième album d’un triptyque.

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