Quelque part dans l’Empire khazar, au Xe siècle de notre ère, deux aventuriers enchaînent les arnaques pour survivre, mais, dans Gentlemen of the Road, de Michael Chabon, le duo va se retrouver impliqué dans une épopée à base de trahison, d’usurpation, de prince et de princesse, d’honneur et d’éléphants.
Dans la série “demain, je commence ma thèse sur la procrastination” et pour compléter ce dont je parlais dans le compte-rendu de Zone franche, un petit mot pour parler de mes quelques projets d’écriture.
Si je vous parle d’une convention de science-fiction sise dans la salle des fêtes d’une petite cité de la banlieue parisienne, vous êtes en droit de supposer qu’il s’agit là d’un événement mineur. Les figures de style étant ce qu’elles sont, vous faites erreur : Zone franche est un festival majeur.
Il m’a fallu du temps pour m’attaquer à la lecture de Gagner la guerre, de Jean-Philippe Jaworski. D’abord parce que c’est de la fantasy, qui est loin d’être mon genre préféré (quelque part entre les histoires de vampires et les bilans comptables) et d’autre part parce que c’est un sacré pavé. Le terminer a été beaucoup plus rapide, malgré sa taille.
Pendant les travaux, les travaux continuent! Ceux sur le Tigres Volants Central, donc: la nouvelle mouture en beta dont je vous avais parlé récemment (l’ancienne est toujours ici). Le petit questionnaire m’a déjà livré des suggestions d’améliorations – merci à ceux qui ont pris le temps de répondre – et j’en profite pour répondre à quelques questions.
J’aime bien me tenir informé sur l’actualité musicale, surtout locale et régionale, mais ça ne fonctionne pas toujours. Dans le cas présent, c’est en faisant des recherches sur le nouvel album de [bleu] que j’ai découvert Wie er in die Welt kam, le nouvel (et, techniquement, unique) album du groupe genevois Equus, dont j’avais chroniqué l’EP Eutheria il y a pas mal de temps.
À mes yeux de bête occidental à gros nez, les dessins animés japonais ont tendance à soit être très bons sur la forme ou sur le fond; rares sont ceux qui parviennent à être bons en tout et, heureusement, rares également sont ceux qui se plantent partout. Gakutsuou, aussi connu sous le nom de Le Comte de Monte-Cristo, parvient à l’exploit d’être à moitié génial dans les deux catégories – mais également à moitié foiré.
Cleer, c’est une marque, une entreprise, une philosophie, “Be yourself”; une secte, peut-être. Cleer, c’est un roman de Laurent “L.L.” Kloetzer qui plonge dans cet étrange univers, aux confins du cyberpunk et du fantastique, avec un fond d’enquête-aventure et un soupçon de Dilbert.
Le problème, quand on est une grosse feignasse, c’est que même les choses raisonnablement simples prennent du temps. Témoin les travaux sur le nouveau Tigres Volants Central, qui commencent enfin à prendre suffisamment forme pour que je puisse vous proposer d’aller jeter un œil à cette nouvelle mouture.
Je vous dirais bien que The Last Colony est le dernier volume de la trilogie “coloniale” de John Scalzi, débutée par Old Man’s War et poursuivie par The Ghost Brigades, mais ce ne serait pas complètement exact. Il manque encore à l’appel Zoë’s Tale, qui est un point de vue un peu différent de ce qui se passe dans The Last Colony et, qui plus est, il existe d’autres ouvrages dans le même univers; cela dit, pour ce qui est de la trame de l’histoire, ces trois ouvrages précités tiennent assez bien la route dans le format trilogie.
Dans la foulée de Old Man’s War, j’ai attaqué sa suite The Ghost Brigades, également signé John Scalzi (et, l’ayant terminé, je me suis d’ailleurs lancé sur le suivant, The Last Colony. Encore que “suite” n’est pas le meilleur terme: certes, l’univers est le même et, chronologiquement, il se situe après les évènements de Old Man’s War, mais on ne retrouve que le lieutenant Jane Sagan des Forces spéciales – et encore, pas de façon principale.
Aux Portes de l’Enfer est donc la suite du premier Wunderwaffen, la série de bande dessinée uchronique à base d’air-porn quelque peu honteux (pour cause de croix gammée). J’en parle ainsi parce que, malgré une idée de départ assez intéressante (l’Allemagne nazie parvient à tenir tête aux Alliés grâce à ses armes secrètes), j’ai un peu l’impression que ça s’essouffle.
S’il y a bien un projet Tigres Volants sur lequel je n’ai pas beaucoup travaillé jusqu’à récemment, c’est bien les mises à jour du Tigres Volants Central, le site officiel de Tigres Volants. Oui, je viens de placer trois fois “Tigres Volants” en une phrase (et quatre fois dans ce paragraphe), ça va être bien pour mon SEO, sinon pour mon style…
Old Man’s War, le premier roman de John Scalzi, c’est de la science-fiction militaire dans un contexte de space-opéra, avec une différence majeure: le héros, John Perry, s’engage dans les Forces de défense coloniales à l’âge de septante-cinq ans.
Cet hiver, j’ai enfin pu combler une lacune dans ma culture SF en (re)lisant l’intégrale de la série des Lensman, signée Edward Elmer Smith (plus connu sous le nom de “Doc Smith”). Lacune d’autant plus frustrante que j’en avais lu les trois premiers en français il y a très longtemps, parus dans une collection qui atteint aujourd’hui des sommets de rareté et dont je n’avais jamais pu trouver la suite.
La Sorcière de l’Ouest (sous-titré Astraea’s Testament) est un de ces animés dont on se demande assez régulièrement d’où il veut en venir, de quoi il parle réellement, voire, sérieusement, WTF quoi merde! Quelque part, c’est très japonais dans la tendance au nawak qui ne sait pas trop ce qui se veut.
Vous aurez peut-être noté que ce blog accueille pas mal de chroniques sous l’appellation “séance rattrapage DVD”. La raison en est que beaucoup de films – notamment des dessins animés – tendent à rester à l’affiche au ciné pendant trop peu de temps pour que je puisse les voir dans de bonnes conditions (une séance en VF 3D à 11 h du matin ne compte pas). C’est le cas de Brave, la production la plus récente des studios Pixar.
Cette fois-ci, si j’ai reçu pour Nawel les quatre premiers volumes de Judge Dredd, The Complete Case Files, un des monuments de la bande dessinées britannique et de la bande dessinée de science-fiction tout court, on va dire que c’est de la faute au site io9. Et aussi à un certain pote anglais de l’époque du CLIC, dont le nom rime avec “Martin Jennings”, mais que je ne citerai pas ici; il se reconnaîtra.
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