« Le Premier jour de paix », d’Elisa Beiram
L’humanité n’est pas flambarde en cette fin de XXIe siècle. Pourtant, Le Premier jour de paix d’Elisa Beiram, apporte un espoir qui manque souvent en SF.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
L’humanité n’est pas flambarde en cette fin de XXIe siècle. Pourtant, Le Premier jour de paix d’Elisa Beiram, apporte un espoir qui manque souvent en SF.
Je suis visiblement sur une lancée d’albums mélangeant électro et metal, car voici Sidereal Light, Vol. Two de Crow Black Sky, nettement plus metal.
Deux contrebandiers, un job louche, un fabuleux trésor. Barbares, la novella de Rich Larson, ne semble pas briller par son originalité. Sauf que…
Volkor X ne vient pas en paix. C’est lui-même qui l’annonce et s’autoproclame seigneur galactique suprême. Et cet album, The Loop, lui donne raison.
Et c’est reparti pour une nouvelle saison de Star Trek, à bord de l’Entreprise, mais avec le capitaine Pike, puisqu’il s’agit de Strange New Worlds.
J’imagine que mes lecteurs connaissent Star Wars, mais peut-être pas comme racontées par Les Guerres de Lucas, de Laurent Hopman et Renaud Roche.
Alors là, normalement, le fan de SF me lâche « Keuwhâ? Tu ne connaissais pas QuanTika? » Alors oui, de nom, mais je ne l’avais jamais lu jusqu’à maintenant.
C’est un peu au pif que j’ai acheté La Cellule Fantôme, attiré par une histoire de science-fiction sur fond d’effondrement et de technologies interdites.
Paul était spationaute à bord de l’ISS, Bohémond chevalier normand au XIIIe siècle, ils chassent les orages temporels dans le monde de Bomb X.
Le Château des Étoiles, bande dessinée d’Alex Alice, nous offre un hors-série intitulé L’Univers en 1875, à la fois livre d’art et encyclopédie.
Après la fin à la civilisation, une communauté envoie deux des leurs en explorer les ruines. Mais, dans After®, d’Auriane Velten, cela va amener d’autres questions.
Dans un avenir proche, la magie revient et donne naissance à la cimqa, un divertissement qui donne son nom au roman d’Auriane Velten.
C’est encore l’esprit quelque peu intoxiqué par Tè Mawon que je me suis attaqué au nouveau roman de Michael Roch, Les Choses immobiles.
Sixième titre pour Renaissance, qui conclut le second cycle et la série en elle-même, en confrontant les protagonistes à une nouvelle menace: les Ouröbörös.
Et voici donc le fier vaisseau spatial The Orville, et son équipage quelque peu secoué, reparti pour une troisième saison intitulée « New Horizons ».
Buenos Aires, 2054. Avant le début des Jeux olympiques, une journaliste retrouve un athlète mort; c’est le point de départ de Les Purs, de Sébastien Capelle.
Que peut faire une nation stellaire en froid avec ses alliés et un peu tout le monde? C’est la question que pose The End of All Things, de John Scalzi.
Une vie en une chute, une vengeance sacrée, un manoir hanté de foire, une super héroïne de dix ans et une rencontre dans ce recueil, Échos d’Exoterres.
Une explosion dans une centrale nucléaire contamine une zone immense et des millions de réfugiés, Les Exilés de Mosseheim, se retrouvent dans des camps.
L’ancien monde a été détruit et les survivants vivent dans une cité tentaculaire où l’État y a le monopole de l’air pur. Bienvenue dans le monde de Air!