Légèreté, ouverture et création: mes résolutions 2015

Après le bilan, il est aussi l’heure de penser aux résolutions pour 2015. On va faire simple: ce seront grosso-modo les mêmes que pour 2014. Je vais donc continuer vers l’objectif de légèreté, vers l’exploration et la promotion de solutions open-source et continuer également dans le domaine de la création.

Audrey Horne: Pure Heavy

Audrey Horne: Pure Heavy

Audrey Horne – dont le nouvel album, le bien nommé Pure Heavy, vient de sortir – est un groupe norvégien qui a décidé de ressusciter l’esprit des groupes de hard-rock des années 1970 avec un son contemporain. C’est plutôt une bonne idée, mais ce qui m’ennuie, c’est que c’est déjà ce que j’ai écrit pour le précédent, à peu de choses près. Et celui d’avant, aussi.

Monuments: The Amanuensis

Monuments: The Amanuensis

Le nouvel album de Monuments, intitulé The Amanuensis, est une bonne nouvelle pour ceux qui, comme moi, avaient flashé sur TesseracT: visiblement, la notion de “djent mélodique” n’est pas seulement une facétie d’un seul groupe, puisque cet album s’en rapproche manifestement. Ce n’est pas très étonnant que les deux groupes sont nés d’une même origine, un groupe nommé Fellsilent.

 

Borderlands: The Pre-Sequel

Borderlands: The Pre-Sequel

C’est avec un plaisir non dissimulé (comprendre: une banane visible depuis l’orbite) que j’ai repris le chemin de Pandora. Pas celui d’Avatar, mais plutôt la planète SF/post-apo décalée du jeu vidéo de tir à la première personne Borderlands: The Pre-Sequel qui, comme son nom l’indique, est la suite-qui-se-passe avant de Borderlands 2.

Paquebots stellaires atmosphériques

Paquebots stellaires atmosphériques

Flattr: bilan pour décembre 2014

Cet article est le numéro 45 d'une série de 153 intitulée Bilans mécénat et création

Le dernier bilan de l’année pour mon activité Flattr est plutôt positif, puisqu’il est de €15.73 reçus pour €10 donnés. Il faut bien évidemment mettre le bémol que je donne moins depuis quelques temps – €10 au lieu de €15 jusqu’en juillet – mais je flattre moins, aussi: environ 40 clics par mois au lieu de 50. Je reste donc à un montant par clic raisonnable, de l’ordre de vingt-cinq centimes.

Deus Ex Machina / The Erkonauts / Hypocras à Genève

Deus Ex Machina à L'Écurie

Ce samedi, c’était non seulement une soirée métal à Genève, mais, avec Deus Ex Machina, The Erkonauts et Hypocras à l’affiche de L’Écurie, c’était une soirée métal genevois, de bleu! Après ce que l’on pouvait clairement définir comme une bonne grosse semaine de merde, j’avais besoin de ça.

Charlie partout, Charlie toujours

Hommage à Charlie-hebdo de Pierre Berget

Un des slogans les plus marquants que j’ai pu lire ces derniers jours, c’est celui de Reporters sans frontières: “Ils veulent nous réduire au silence, ils n’auront obtenu qu’une minute.” J’aurais aimé pouvoir agir en fonction de cette phrase, mais je dois avouer que, dans mon cas, la minute ait duré un peu plus longtemps. Trop, sans doute.

Pour des amis absents

À l’heure où j’écris ces lignes – le mercredi 7 janvier 2015, vers 19 h – je viens de perdre douze amis. Peut-être plus, ou moins, je ne sais pas, au juste: j’ai coupé Internet depuis 14 heures. Je ne sais pas, je ne sais plus; je ne veux pas vraiment savoir, en fait.

 

“La Trilogie de la Lune”, de Johan Heliot

"La Trilogie de la Lune", de Johan Heliot

Vous vous souvenez peut-être que j’avais chroniqué, il y a quelques mois, La Lune n’est pas pour nous, de Johan Heliot, remarquant au passage que c’était le volume central de la “Trilogie de la Lune“. J’ai fini par acquérir l’énorme pavé que constitue l’omnibus de cette trilogie uchronique qui débute par l’arrivée d’extra-terrestres à la fin du XIXe siècle.

Within Temptation: Let Us Burn

Within Temptation: Let Us Burn

J’ai eu droit à quelques regards bizarres quand j’ai avoué avoir acheté Let Us Burn, le double-live de Within Temptation. Pas tant que le groupe néerlandais, un des fers de lance du métal symphonique, ait une mauvaise réputation, mais plutôt que le principe même du live laisse perplexe pas mal de mes contemporains.

“The Quantum Enigma” de Epica, mon album de l’année 2014

Cet article est le numéro 9 d'une série de 17 intitulée Albums de l'année

Il y a des années où l’attribution du titre – moyennement convoité – de “album de l’année de tonton Alias” est laborieuse, au vu du nombre de candidats potentiels et d’autres où il s’impose comme une évidence. The Quantum Enigma d’Epica entre dans la seconde catégorie: ça fait depuis fin mai que j’en avais l’intuition et peu d’albums depuis m’ont fait hésiter.