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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

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Le reste du premier samedi – Decipher: Intuition

Pour ce premier samedi de 2018, je vous propose un “reste du samedi” en solo, avec pour thème Alias et ses relations d’amour-haine, exemple numéro [beaucoup]: le djent. Illustration: Intuition, court album – limite EP – du groupe de metal progressif luxembourgeois Decipher. J’aurais vraiment voulu aimer cet album, recommandé par Clair & Obscur, et il s’en est fallu de peu.

Cleaver of the Mist: Sanctuary

J’ai un beauf de bon conseil. Bon, avant qu’il ne devienne de la famille, Fulgan était déjà un bon pote – ça n’a pas changé depuis – et on se retrouvait sur pas mal de trucs, notamment musicaux. Du coup, quand il m’a parlé de Cleaver of the Mist, groupe français de metalcore, je suis allé y jeter une oreille. L’EP Sanctuary a été acheté dans la foulée.

Last Scattering: Eidolon

Recommandé par Clair et Obscur, j’avoue que l’album Eidolon des Canadiens de Last Scattering m’a surtout tapé dans l’œil pour son titre, me rappelant le Tryptique Milkweed. La musique y étant proposé étant une forme très chaotique de death-metal progressif, ça a effectivement des accents d’invocation en énochien.

Ne Obliviscaris: Citadel

Citadel, du groupe australien Ne Obliviscaris, est ce qui arrive quand des extrémistes décident de mélanger 50% de métal progressif, 50% de death et 50% de violons folk. Ça donne 150%, ce qui n’est pas toujours un gage, sinon de qualité, du moins d’écoutabilité.

Parlez-vous death metal?

Je crois que c’est un exploit: on a trouvé plus prétentieux que le rock progressif. Je suis tombé, via Boing Boing, sur un article du blog Invisible Oranges intitulé Death Metal English, qui explique les différences fondamentales entre l’anglais traditionnel et celui des paroliers de death metal.

The Ocean: Pelagial

J’ai quelque peu hésité avant d’acheter le nouvel album de The Ocean, intitulé Pelagial. Non pas que mes expériences précédentes avec ce groupe de post-métal allemand (avec des vrais morceaux de Suisse dedans) aient été mauvaises, mais ça me paraissait un peu bizarre.

Finntroll: Blodsvept

Ça va peut-être vous surprendre, mais Finntroll, je découvre. Ce Blodsvept, qui est leur dernier album en date, c’est le premier que j’achète. Pour ceux qui ne connaissent pas, Finntroll a un nom qui a la tête de l’emploi, vu que ce sont des métaleux finlandais dont la musique donne dans le festif à tendance folkoïde.

Loch Vostok: V: The Doctrine Decoded

Il y a métal progressif et métal progressif. La variante que proposent les Suédois de Loch Vostok avec leur nouvel album, V: The Doctrine Decoded, est de la variante brutale: plus proche des standards du death métal que du Genesis des familles (j’allais parler de Pink Floyd avant de me rappeler qu’un groupe comme Enslaved s’en inspirait un peu trop pour que la métaphore tienne la route).

Obsidian Kingdom: Mantiis

Mantiis, du groupe espagnol Obsidian Kingdom, se définit comme du post-métal, mais je le trouve plus proche du métal progressif. De mon point de vue, c’est une bonne nouvelle: avec tous les récents albums de rock atmosphérique que j’ai chroniqué ces derniers temps, je commençais à m’endormir.

Negură Bunget: Vîrstele Pămîntului

Negură Bunget est un groupe qui m’a sérieusement tapé dans l’oreille et leur dernier album studio en date, Vîrstele Pămîntului, est dans la continuité de Om, précédemment chroniqué ici même.

Chaos Divine: The Human Connection

Je ne sais pas si c’est parce qu’ils sont australiens, mais, avec leur nouvel album The Human Connection, les cinq chevelus de Chaos Divine sont très doués pour faire un métal progressif qui met la tête à l’envers.

Dreamshade: What Silence Hides

Si j’en juge par sa production musicale de ces dernières années, j’ai l’impression que la Suisse est en train de perdre ses dernières inhibitions face au reste du monde, témoin Dreamshade et son nouvel album, What Silence Hides. Dans le genre death-metal mélodico-progressif, les p’tits jeunes de Lugano font très fort; Scandinaves et Teutons (sans parler des Grecs) n’ont qu’à bien se tenir!

 

Amorphis: Skyforger

Jolie claque métal que ce Skyforger d’Amorphis, découvert grâce une fois encore à La Citadelle: une grosse dose de métal progressif énervé, un soupçon de folk-métal viking, quelques pincées de symphonique assaisonné de growl, servez chaud! Je ne sais pas… Continue Reading →

James LaBrie: Static Impulse

Je n’irai pas par quatre chemins: Static Impulse, dernier album de James LaBrie, poutre. Il poutre même grave, comme on dit de nos jours.

Lugburz: Songs from Forgotten Lands

Parfois, les classifications du métal, c’est bizarre. Prenez par exemple Lugburz (attention! site MySpace qui pique les yeux; je ne plaisante pas) et son album Songs from Forgotten Lands: vendu comme un groupe de death-metal, avec l’imagerie nazgûl qui va… Continue Reading →

Opeth: Watershed

Opeth et moi, on n’est pas copains. J’avais déjà fait quelques essais et leur dernier album Watershed est là pour me le rappeler, hélas. “Hélas”, parce que ce groupe a techniquement tout pour devenir un de mes préférés: un métal… Continue Reading →

Loch Vostok: Reveal No Secrets

Je crois que je suis en train de développer une accoutumance au growl (mais pas une addiction, heureusement). Je ne vois pas d’autre explication au fait que j’arrive à apprécier un album comme Reveal No Secrets, de Loch Vostok. Loch… Continue Reading →

Isis: Wavering Radiant

Isis est un groupe bizarre. Enfin, pour être plus précis, mon intérêt pour ce groupe est bizarre: certes, c’est du post-rock comme j’aime, mais du genre à se complaire dans les vocaux gutturaux que je déteste. Le dernier album, Wavering Radiant est typique de cette tendance, ce qui n’est pas exactement fait pour me réjouir.

Enslaved: Vertebrae

Ce n’est pas tous les jours que j’achète un album de death metal, comme le Vertebrae de Enslaved ; c’est déjà arrivé, mais c’est rare et, souvent, je le regrette. Dans le cas présent, l’album m’avait été chaudement recommandé par… Continue Reading →

Isis: In the Absence of Truth

Je ne sais pas pour vous, mais j’ai l’impression que, toutes les décennies (à l’instar des clowns du métal dont je parlais précédemment), on nous annonce la mort du rock. En général, ce genre d’annonce passe par l’arrivée d’un nouveau courant musical, plus ou moins éphémère, mais massivement médiatisé.

Dans le cas d’Isis, le courant en question s’appelle “post-rock”. Je soupçonne que ça veut dire qu’ils sont allés tellement loin qu’ils sont ressortis de l’autre côté. Ne cherchez pas, c’est un concept!

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