J’aime bien les bouquins qui viennent péter les idées reçues. C’est pourquoi j’ai beaucoup aimé Le français est à nous!, signé Maria Candea et Laélia Véron.
En ces jours où on nous sert du “terrorisme” à toutes les sauces, il serait bon de rappeler un petit détail, que j’ai récemment trouvé sur le site de la BBC: il n’existe aucune définition consensuelle de ce qu’est le terrorisme ou un terroriste.
Comment aurais-je pu résister? Un roman de science-fiction signé par China Miéville qui parle de choc culturel entre Terriens et extra-terrestres et recommandé par Gromovar, en sus. Pourtant, au final, je ne peux m’empêcher de penser que Embassytown est un peu décevant.
Il y a très longtemps (trèèèèèèèèès longtemps), j’avais écrit un bref billet sur la notion de grawlix, la manière d’écrire des gros mots avec des caractères aléatoires. Récemment, je suis tombé sur Quimps, Plewds, And Grawlixes: The Secret Language Of Comic Strips, un article sur le même thème de John Brownlee sur le site Fast Company.
Mon dernier passe-temps en matière de jeu sur iPhone est W.E.L.D.E.R, qu’on pourrait le définir comme un croisement entre le Scrabble et les jeux de type Connect-4.
L’Art d’avoir toujours raison d’Arthur Schopenhauer est un classique qui décrit en trente-huit “stratagèmes” différentes façon de remporter une discussion, que l’on ait tort ou raison.
Derrière le Paravent: Tigres Volants : une lingua franca pour les Eyldar
Une idée amusante de MJ sur son blog: les Eyldar parlant le latin. Je ne suis pas sûr que ça soit entièrement justifié pour des raisons que j'explore dans les commentaires de l'article, mais on peut appliquer ça à d'autres langues “mortes” dans l'univers de Tigres Volants (l'anglais shakespearien, le français du 19e siècle, l'allemand littéraire, etc.).
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Ces deux semaines passées à Stuttgart m’ont permis de constater deux choses: la première est que mon allemand est meilleur que je ne le pensais. Je suppose que ces huit années à la Fédération luthérienne, passées à mettre en page d’innombrables documents en allemand, ont eu un effet positif sur ce point. La seconde, c’est que “meilleur” ne veut pas dire “bon”.
Je sens qu’avec ce billet, plein de gens vont encore me détester. Clockwords (j’y joue aussi sur Kongregate) est une de mes dernières découvertes en matière de petit jeu très énervant, du genre à me faire faire des insomnies. Du… Continue Reading →
J’ai récemment appris, via le blog Daring Fireball, qu’il existait un mot en anglais pour désigner la série de caractères typographiques utilisée pour représenter les jurons: cela s’appelle un grawlix.
Jeu de mots, jeu de vélo; après avoir parlé du second, je me permets de glisser quelques phrases et une poignée de liens sur le premier. Jouer sur les mots est un de mes plus grands plaisirs. J’en blâme San-Antonio,… Continue Reading →
L’eyldarin n’est pas une langue facile: peu structurée, c’est une sorte de gigantesque Lego linguistique, composé de mots qui peuvent s’assembler selon l’humeur du moment. Les choses seraient déjà assez difficiles comme cela si, en plus, les Eyldar n’avaient pas un amour immodéré des… Continue Reading →
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