Rise of Mythos

Il y a les bons et les mauvais jeux free-to-play: le mauvais, il t’oblige à dépenser pour mieux jouer; le bon aussi, mais il est bon. Rise of Mythos (anciennement connu sous le nom Kings and Legends), le dernier coule-temps qui me scotche devant mon écran, fait partie des seconds.

De base, il s’agit d’un jeu de cartes à collectionner, de thème médiéval-fantastique plus-bateau-tu-meurs (genre “je prends tout D&D, je secoue et je mélange”), qui se joue sur navigateur compatible Flash. Oui, je sais, Flash c’est le Mal; sauf pour les jeux. Je l’ai découvert sur Kongregate, mais il est également accessible sur Gamefuse.

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Goblin War Machine

En fait, la xénophobie, ça peut être rigolo. Témoin le petit jeu en Flash Goblin War Machine. Bien sûr, de même qu’on peut rire de tout, mais pas avec tout le monde, il y a l’art et la manière; Big Block Games a choisi le thème de l’humour décalé pour ce side-scroller où vous contrôlez une improbable machine de guerre gobelin partie écraser les villages humains en ricanant.

Au fur et à mesure que les massacres s’empilent, on peut améliorer sa machine de guerre: plus gros châssis, plus gros canon, meilleurs amortisseurs et plus grosses roues. Certaines manœuvres spéciales permettent de faire monter un multiplicateur du score, le but étant évidemment d’obtenir, en plus des crânes nécessaires à l’amélioration de la machine, un gros score. Évidemment, en face, l’opposition est de plus en plus organisée et retorse, opposant à votre machine de guerre des armes secrètes toujours plus dangereuses.

Déjà, en soi, ce petit mélange et beat’em-all et de Car Wars a un côté hautement distrayant, mais le petit plus, c’est l’humour des textes (en anglais): ne manquez surtout pas, à la fin de chaque tableau, la biographie des monarques absurdes que vous avez écrasés et, surtout, ce qui est arrivé aux survivants (ou absence d’iceux). Mention spéciale aux historiens qui, à la suite de la tragédie, vont enquêter sur les anachronismes ambiants et finiront par faire s’effondrer la réalité, la remplaçant par la version ennuyeuse du Moyen-Âge que l’on connait aujourd’hui.

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Clockwords

Je sens qu’avec ce billet, plein de gens vont encore me détester. Clockwords (j’y joue aussi sur Kongregate) est une de mes dernières découvertes en matière de petit jeu très énervant, du genre à me faire faire des insomnies. Du coup, je me dis qu’il n’y a pas de raison que je ne partage pas avec mes petits amis de l’Internet…

On pourrait décrire Clockwords comme un croisement steampunk entre le Scrabble et Space Invaders: l’idée est de tirer avec un canon à mots sur des araignées mécaniques venues voler des plans à un inventeur génial. Vous, donc. Le principe du canon à mots est assez simple en pratique: taper des mots à toute vitesse en utilisant au maximum les lettres fournies (on peut en utiliser d’autres, mais elles sont beaucoup moins efficaces).

Là où ça se complique, c’est qu’entre deux parties, le joueur peut gérer sa “chaudière à lettres” en y rajoutant des lettres récupérées pendant le combat précédent et transmuter deux lettres de même valeur en une lettre de valeur supérieure. Le défaut est que ce qui définit la valeur d’une lettre est sa fréquence: moins une lettre est usitée, plus elle vaut cher.

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Rions un peu avec Ségolène Royal

Ce n’est pas tous les jours que la politique française peut nous faire franchement rire. Certes, ceux qui comme moi lisent le Canard Enchaîné ou Charlie-Hebdo trouvent dans ces publications de quoi ricaner, mais le gros rire franc est rare. Saluons donc l’initiative de Ségolène Royal, candidate socialiste malheureuse aux dernières élections présidentielles qui, grâce à son nouveau site Internet Désirs d’avenir, nous offre une bonne grosse tranche de poilade.

Protector

Une des dernières conneries sur lesquelles je passe un temps invraisemblable, c’est le site de jeux en technologie Flash Kongregate. Plus particulièrement, ces derniers jours, je m’amuse comme un petit fou avec Protector.

Protector est une (énième) variante de jeux de stratégie, dits “tower defense” — parmi lesquels le Desktop Tower Defense dont j’avais précédemment parlé. Le principe est de construire et d’améliorer une défense, composée de postes ayant des capacités offensives variables, face à des hordes d’envahisseurs suivant un chemin donné. Le genre est né, semble-t-il, d’un niveau de Warcraft 1.

Dans Protector, l’originalité est que certaines hordes ont des résistances à des éléments donnés, qui varient suivant les vagues (ce qui n’est pas nouveau), mais qu’une fois posée, une pièce de défense ne peut être changée. Ainsi, si vous construisez des mages de feu et que, plus tard, vous tombez sur une bestiole qui non seulement résiste au feu mais en plus l’absorbe pour se régénérer, ça va être très dur…

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Nanaca Crash: Mon vélo dans ta gueule

La dernière méthode stupide que j’ai découverte pour perdre mon temps au lieu de bosser sur Tigres Volants est un jeu Flash, dans la grande tradition du bidule avec les pingouins et du yéti, sauf que c’est avec des étudiantes japonaises à vélo et un bishonen.

Oui, ça a l’air obscur, comme ça, mais… en fait c’est encore plus obscur. Bon, allez zieuter le blog de Thias, qui en parle mieux que moi.

Tout ceci pour dire que je viens de faire le Score de la Mort:

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