Villagers of Ioannina City: Age of Aquarius
Quand deux personnes distinctes me disent « tu devrais jeter un oreille sur Villagers of Ioannina City, c’est cool », je finis par acheter Age of Aquarius.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Quand deux personnes distinctes me disent « tu devrais jeter un oreille sur Villagers of Ioannina City, c’est cool », je finis par acheter Age of Aquarius.
Dans la série des concerts de post-rock avec des groupes que je ne connais pas, mercredi passé c’était Radio Moscow à l’Usine de Genève! Bon j’exagère un peu: si c’est effectivement un groupe que je ne connais pas, en première partie, il y avait Monkey3.
C’est par un biais inhabituel que j’ai découvert Haze, un album du groupe suisse Black Willows datant de 2012: via un ami des Mercredis de la SF qui, connaissant mes goûts pour le prog, m’a passé cette galette aux arômes très seventies, entre prog, psychédélique et hard-rock.
Allez, on ressort les pantalons à pattes d’eph’, les chemises à fleurs et les gilets en mouton retourné! Suivons donc l’avis – encore une fois – de Angry Metal Guy et embarquons avec Weedpecker back to the seventies avec leur nouvel album, sobrement intitulé III. C’est d’ailleurs un peu la seule chose qui soit sobre dans cet album.
Encore un album de metal progressif via les recommandations de Angry Metal Guy! Décidément, ce site est une drogue (et il me coûte presque aussi cher)… The Thirteenth Sun est un groupe roumain – ce n’est pas mon premier, mais ce n’est pas non plus une nation de suspects habituels – et Stardust est un premier album impressionnant qui parle beaucoup de fin du monde.
La chronique de Angry Metal Guy qui m’a incité à m’intéresser à Air, premier album d’Astronoid, citait en vrac comme influences Coheed and Cambria, Devin Townsend et Alcest. Selon l’expression consacrée, y’en a aussi, mais pas seulement.
Les Finlandais, c’est pas des gens comme nous. Et c’est pas plus mal, parce que les “gens comme nous” sont souvent chiants, surtout en musique. Dans le cas présent, les Finlandais en question sont le groupe Circle, qui viennent de sortir Terminal, une sorte d’OVNI sorti des seventies, mais avec un smartphone et des drogues de combat.
J’ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise. OK, c’est la même: les seventies sont redevenues à la mode. C’est en tout cas la conclusion à laquelle j’arrive avec pas mal de mes dernières écoutes et notamment ce Trippin’ with Dr Faustus du groupe de rock progressif britannique Amplifier.
Il est heureux que les Américains de Mastodon aient choisi de nommer leur nouvel album Emperor of Sand et n’aient pas cédé à la mode d’omettre le titre. Sinon, j’aurais été embêté, rapport au réseau social homonyme dont j’ai parlé il y a peu.
Après les montagnes et ses fantômes, le groupe britannique Kylver s’en va explorer des îles mystérieuses avec The Island, titre de son nouvel album, un voyage entre post-rock et psychédélique sur fond de sonorités très seventies.
Après avoir écouté Astra Symmetry, le dernier album de Monkey3, je me demande si je ne vais pas lancer l’idée d’un nouveau genre musical: le rétro-post. Histoire de pouvoir caser tous ces groupes qui poussent le post-rock jusqu’à faire faire du rock prog/psychédélique comme dans les années 1970.
Je précise tout de suite que Elder et son troisième album, Lore, m’ont été recommandés par quelqu’un, mais je ne me souviens plus qui. L’argument étant “j’ai lu tes chroniques musicales (“ah, c’était toi?”) et à mon avis, ça devrait te plaire.” Pour reprendre une expression entendue récemment, disons que je ne déteste pas.
Comment qualifier The Mountain Ghost, le – court – album du groupe anglais Kylver? Post-metal vintage? Psychédélique lourd? Stoner progressif? Ou juste “excellent”?
Il m’a fallut un bon moment avant d’écrire cette chronique de Illusory Blues, de Messenger. J’avais acheté l’album à l’instinct, lors de mon dernier passage au rayon prog de Gibert Musique, et il stagnait quelque peu dans ma liste de lecture, entre deux titres plus intéressants.
Le groupe suédois My Brother the Wind rejoint la conspiration des albums qui ont décidé de flinguer l’optimisation des articles supposés parler d’eux avec Once There Was a Time When Time and Space Were One, un long opus instrumental mélangeant post-rock, psychédélique et rock progressif.
Il y a cinq minutes, j’ai finalement reposé The Armageddon Rag, de Georges R.R.Martin. Oui, ce Georges R.R. Martin. Pour la plupart des gens, c’est l’auteur de la série Game of Thrones; pour moi, c’est l’auteur de The Armageddon Rag.
Comme son titre Once More ‘Round the Sun l’indique, c’est reparti pour un tour avec le nouvel album de Mastodon, le groupe américain de gros métal plus ou moins progressif qui dépote! En soi, c’est plutôt cool, mais, dans les faits, je me retrouve une fois de plus avec un album qui est certes bien foutu, mais qui ne m’émoustille pas plus que ça.
J’avoue: si j’ai souscrit au projet Dragon Kings, c’est parce qu’il combine jeu de rôles et rock progressif. Bon, après, sans trop de surprise, quand on dit “jeu de rôles”, on dit en fait Dungeons & Dragons. Quant au rock progressif, c’est plus du métal progressif avec une grosse influence seventies qui tache.
Accrochez-vous à vos cages à miel: le nouvel album de Monkey3 arrive et, comme je l’avais annoncé sur Twitter, The 5th Sun (c’est son nom) démoule du poney mutant! Comme ça fait un moment que je vous chante les louanges de cet excellent groupe de post-rock suisse, il va falloir que je fasse chauffer les superlatifs, parce que c’est de l’encore plus lourd que d’habitude.