J’ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise. OK, c’est la même: les seventies sont redevenues à la mode. C’est en tout cas la conclusion à laquelle j’arrive avec pas mal de mes dernières écoutes et notamment ce Trippin’ with Dr Faustus du groupe de rock progressif britannique Amplifier.
Après les montagnes et ses fantômes, le groupe britannique Kylver s’en va explorer des îles mystérieuses avec The Island, titre de son nouvel album, un voyage entre post-rock et psychédélique sur fond de sonorités très seventies.
Après avoir écouté Astra Symmetry, le dernier album de Monkey3, je me demande si je ne vais pas lancer l’idée d’un nouveau genre musical: le rétro-post. Histoire de pouvoir caser tous ces groupes qui poussent le post-rock jusqu’à faire faire du rock prog/psychédélique comme dans les années 1970.
Je précise tout de suite que Elder et son troisième album, Lore, m’ont été recommandés par quelqu’un, mais je ne me souviens plus qui. L’argument étant “j’ai lu tes chroniques musicales (“ah, c’était toi?”) et à mon avis, ça devrait te plaire.” Pour reprendre une expression entendue récemment, disons que je ne déteste pas.
Comment qualifier The Mountain Ghost, le – court – album du groupe anglais Kylver? Post-metal vintage? Psychédélique lourd? Stoner progressif? Ou juste “excellent”?
Il m’a fallut un bon moment avant d’écrire cette chronique de Illusory Blues, de Messenger. J’avais acheté l’album à l’instinct, lors de mon dernier passage au rayon prog de Gibert Musique, et il stagnait quelque peu dans ma liste de lecture, entre deux titres plus intéressants.
Le groupe suédois My Brother the Wind rejoint la conspiration des albums qui ont décidé de flinguer l’optimisation des articles supposés parler d’eux avec Once There Was a Time When Time and Space Were One, un long opus instrumental mélangeant post-rock, psychédélique et rock progressif.
Il y a cinq minutes, j’ai finalement reposé The Armageddon Rag, de Georges R.R.Martin. Oui, ce Georges R.R. Martin. Pour la plupart des gens, c’est l’auteur de la série Game of Thrones; pour moi, c’est l’auteur de The Armageddon Rag.
Accrochez-vous à vos cages à miel: le nouvel album de Monkey3 arrive et, comme je l’avais annoncé sur Twitter, The 5th Sun (c’est son nom) démoule du poney mutant! Comme ça fait un moment que je vous chante les louanges de cet excellent groupe de post-rock suisse, il va falloir que je fasse chauffer les superlatifs, parce que c’est de l’encore plus lourd que d’habitude.
C’est en lisant la dernière fournée de Prog-résiste que je me suis intéressé à Crowned in Earth et, plus précisément, à leur album A Vortex of Earthly Chimes. Groupe anglais décrit comme un mélange de progressif et de stoner avec une influence (entre autres) Van der Graaf Generator, ça avait l’air prometteur.
Mini-billet pour un mini-album: l’EP Death Rides Southward des Montréalais de Tumbleweed Dealer est arrivé dans ma boîte mail (à deux ou trois clics près) et, après quelques écoutes des trois morceaux disponibles en téléchargement gratuit, je dois dire que c’est plutôt prometteur.
C’est l’histoire d’un petit groupe qui sort un petit album et qui déclenche un petit ouragan dans le microcosme du rock progressif. Ce groupe, un trio originaire de Boston, c’est Perhaps et l’album en question, c’est Volume One, trente-sept minutes d’un rock progressif psychédélique instrumental barré de la tête.
Il y a des albums qu’on attend avec impatience et qui déçoivent et, à l’opposé, des que l’on achète par habitude ou inertie et qui vous sautent à la gueule. The Black Chord, du groupe américain Astra, fait partie de la seconde catégorie.
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