Du neuf, du vieux, du long, du court, du bon et du moins bon: ce sont les Restes du Samedi, avec Magma, Yes et Septénaire.
C’est à une source inhabituelle que je dois la découverte de Brutus et de leur nouvel album Unison Life, dans un registre assez inhabituel pour moi.
Maserati est un des premiers groupes de post-rock que j’ai connu et ils sont revenus en 2020 avec un nouvel album, Enter the Mirror.
Where Mermaids Drown. J’avoue que le nom de ce groupe – là où se noient les sirènes – est pour beaucoup dans mon choix d’écouter cet album, Reminisce.
Il est paradoxal qu’un groupe comme Bruit ≤ fasse des albums extrêmement mélodiques, comme c’est le cas ici avec Apologie du temps perdu vol. 1.
Il faudra dire à King Buffalo que trois albums en quinze mois, c’est un peu abusé. Cela dit, Regenerator est la conclusion d’une trilogie psychédélique annoncée.
Je vous avais déjà parlé de Ef, qui vient de sortir We Salute You, and You, and You. Mais si, ne faites pas genre « j’ai oublié », c’était en, euh… 2010.
Je ne raffole pas des splits, ces album où deux groupes se partagent l’espace. J’ai fait une exception ici. Surtout parce qu’il s’agit de Maudits et de Saar.
Le post-rock et moi, c’est compliqué. ἈNÁΓKH, le nouvel album de Cøllapse, ne renversera pas la tendance à lui seul, mais il est très intéressant.
Si on voulait donner dans le cliché le plus éculé, on pourrait parler de régularité allemande pour Long Distance Calling. Eraser est leur huitième album.
Lors du concert d’il y a dix jours, j’ai découvert Oh Hiroshima et acheté leur album, Myriad, dans la foulée. Est-il aussi impressionnant qu’en live?
Ça faisait longtemps. Avant ce concert de God Is an Astronaut à l’Usine de Genève, avec Oh Hiroshima et What Aleph Said, le précédent était il y a six mois.
Le post-rock et moi, c’est compliqué. Mais parfois je tombe sur un album qui sort un peu de l’ordinaire, comme Unmarked Boxes de Daxma.
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